Archives quotidiennes : 25 août 2011

-R- DES ETRANGES RELATIONS ENTRE LA RELIGIEUSE-MONIALE ET LA RELIGIEUSE-FRIANDISE

Voir la vie dans une religieuse (Le gâteau…). Interprétations.

Dans le but  de participer à la manifestation régionale, Les lycéens s’exposent à Fontevraud en mai 2010, les élèves de première suivant l’enseignement facultatif ont reçu l’incitation suivante : « Traces du sacré« , avec la demande d’inscrire leurs productions dans un dialogue avec le lieu de l’Abbaye de Fontevraud, sans toutefois donner un sens religieux à leur production.

Cette incitation est née du constat que de nombreux artistes contemporains introduisent dans leur œuvre une dimension sacralisante, ou des évocations du sacré, sans pour autant que leurs œuvres aient un contenu religieux défini. Le sacré et la religion sont donc deux choses différentes.

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Le blanc de la chantilly renvoie à la pureté et la légèreté d’une âme. Mais on peut également y voir les moments de joie, où l’on se sent bien et léger.

Le noir du chocolat qui dégouline peut lui faire penser à des larmes, la tristesse, ou à un débordement de savoir ou de secrets d’un être humain, un éclatement.

Le choux gonflé illustre bien ce que l’on pourrait appeler : «le remplissage de toute une vie».

Le socle de la religieuse fait penser à des jambes (des jambes qu’une religieuse ne doit pas montrer).

La dentelle, une pointe de beauté et de féminité dans le travail (une religieusE) .

Mon idée était de traiter du sacré en refusant le côté sérieux et grave qui va avec généralement. Et beaucoup exploité par les autres élèves de la classe

Marion, élève de 1ère L, option facultative

http://www.pedagogie.ac-nantes.fr/1267288976126/0/fiche___ressourcepedagogique/&RH=1161017287687

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