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Archives mensuelles : juin 2012
-S- VENDREDI 29 JUIN 2012. 40 LISEURS dont 2 Canadiens, 1 Brésilien , 1 Suisse et 1 Luxembourgeois.
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-G-Des avis divergents sur Alexandre GUERRIER moine défroqué (?) de Saint jean de l’habit ( Fontevraud) et ancien maire de la commune …
Voici ce que nous savions jusqu’ici d’Alexandre Guerrier et qui était mis en ligne par l’intermédiaire du lien ci-aprés :
HISTOIRE DE L’ORDRE DE FONTEVRAUD , de ses fondateurs , de ses protecteurs et de ses Abbesses. https://dictionnaireordremonastiquedefontevraud.wordpress.com/lordre-monastique-de-fontevraud/
V. La révolution française (XVIII e siécle); Le temps des outrages
Le 30 avril 1790, Alexandre Guerrier, religieux de saint-jean de l’Habit et curé de Fontevrault devenu maire (qui allait se défroquer le 27 novembre 1793 (?) se rendit à Saint-Jean de l’habit afin d’en faire l’inventaire. Excepté le prieur (Jean) Hilaire-François GUILLON DU PLESSIS et ses quelques fidèles, la plupart des fréres acceptérent de quitter l’abbaye avec la pension promise (5 à 600 livres). Le 18 juillet, Guerrier , qui allait se défroquer se rendit au au Grand Moûtier ou l’Abbesse Julie-Gillette GONDRIN DE PARDAILLAN D’ANTIN comme ses filles affirmèrent toutes, sauf une indécise, leur désir de rester dans l’Abbaye. Le 15 janvier 1791, le nouveau maire Perrin informa les religieuses du remplacement des titres d’Abesse et de Grande Prieure par ceux de Supérieure et d’économe.
Fontevraut eut aussi à souffrir lors de l’affaire Etienne-Philippe Renard qui vit guillotiner sept de ses habitants. Ceux-ci accusés d’avoir correspondu avec les Vendéens , d’avoir signé comme officiers municipaux des passeports au nom de Louis XVII, d’avoir vendu un arbre de la liberté , furent condamnés à mort lors de l’audience du 7 octobre 1794. Périrent ainsi Etienne Philippe Renard, Paul-Alexandre Chabrignac de Condé, François Drouin, Pierre Bourreau, Hilaire-François Guillon du Plessis -ancien Prieur de Saint -Jean de l’Habit- Alexandre Guerrier, Moine fontevriste défroqué, ancien Maire de Fontevraud , Jean Billard.
Et voici ce qu’indique, et qui ne correspond pas avec les lignes précédentes.
Les martyrs de la foi pendant la Révolution française, ou martyrologue des Pontifes, prêtres, Religieux, Religieuses, Laïcs de l’un et del’autre sexe qui périrent alors pour la Foi par Aimé Guillon de Montléon. Volume 3 P. 247
« Guerrier (Alexandre), curé de Fontevrault en Anjou, prés Saumur, diocése d’Angers, et né à Vic-sur-Allier (actuel Vic-le-Comte; 63270) prés Billom dans le diocèse de Clermont en 1747 , était resté dans sa cure sous les auspices de l’armée catholique et royale. Après que les troupes de la Convention en eurent été chassées par les vendéens, le 25 juin 1793, Guerrier qu’elles avaient forcé à se tenir sévérement caché , consentit, pour l’avantage de sa paroisse, à faire partie d’un comité royaliste qui s’y forma aussitôt pour remplir les fonctions municipales ; mais les troupes de la Convention ayant fondu sur cette ville, il y fut pris et mené prisonnier à Saumur, d’où , le 8 juin 1794, on l’ envoya au tribunal révolutionnaire de Paris, avec plusieurs autres membres du même comité . Cependant, il resta comme oublié , de même qu’eux dans les prisons. Le fameux neuf thermidor an II (31 juillet 1794) suvint mais ne les délivra pas ; leur vie , au contraire, n’en fut que plus en danger. Deux mois douze jours après, c’est-à dire le le 17 vendémiaire an III (8 octobre 1794), le curé guerrier fut condmné à la peine de mort , à l’âge de 47 ans comme « ayant tenté de rétablir en France la royauté ». Il périt avec eux ,dans les vingt-quatre heures , sur la place de Grève.
-S- JEUDI 28 JUIN 2012. 32 LISEURS dont 3 Turcs … et c’est la première fois que des liseurs se connectent depuis ce pays.
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-M- MARTIGNAS-SUR-JALE (33127) possède un COLLEGE ALIENOR D’AQUITAINE.
Remise de prix au collège Aliénor d’Aquitaine de Martignas-surJalle
Dirigé par le principal Jean François Boulagnon, le collège Aliénor d’Aquitaine compte près de 400 élèves. Parmi eux, plusieurs ont participé à des concours sportifs ou culturels et 82 collégiens ont été récompensés pour leur résultat. Lundi après-midi, pour la 1e fois, le principal a organisé une petite cérémonie pour la remise des prix aux élèves concernés.
http://webetab.ac-bordeaux.fr/clgalienoraquitainemartignas/
Une intéressante historique de la vie de l’ héritière d’Aquitaine, reine de France puis d’Angleterre grâce au lien suivant: http://webetab.ac-bordeaux.fr/clgalienoraquitainemartignas/index.php?id=3375
Classé dans Département 33
-S- MERCREDI 27 JUIN 2012. 22 LISEURS dont 2 Tchêques,1Canadien, 1 Suisse et 1 Américain.
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-C- Mise en Ligne d’une CHRONOLOGIE FONTEVRISTE ACTUALISEE
Z- ESSAI DE CHRONOLOGIE FONTEVRISTE
De 1101 à 1460… 23 dates à découvrir ou à redecouvrir
https://dictionnaireordremonastiquedefontevraud.wordpress.com/z-chronologie-fontevriste/
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-S- MARDI 26 JUIN 2012. 33 LISEURS dont 3 « Anglais »,1 Belge et 1 Suisse.
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DES EX-RELIGIEUSES FONTEVRISTES S’INSTALLENT en 1645 ou 1647 A LA TRINITE DE CLISSON (44190)
La Trinité de Clisson était originellement un prieuré Bénédictin avec paroisse (Charte de 1105) , dépendant de Saint-Jouin-de-Marnes. Plus tard, la maison fut occupée par quatre prêtres, gagés par le pri eur, pour ou faire la desservance. …. Enfin le 2 juin 1647, une petite colonie de religieuses Fontevristes, de la Regrippière en Vallet (44330), composée de deux dames et une soeur converse, vint s’y établir. Ces religieuses avaient quitté l’ordre de Fontevrault, avec la permission de Madame Jeanne (-Baptiste) de Bourbon, légitimée de France, leur supérieure (Abesse de l’Ordre) , pour suivre la règle adoucie de Saint-Benoit.
CLISSON ET SES MONUMENTS, Comte Paul de Berthou, 1910 p. 68 et 69. Numérisation Odile Halbert, 2007, tous droits de reproduction réservés .
Au XVIIème siècle (1645), une petite communauté de bénédictines de Fontevrault s’ installe dans le prieuré, crée un collège et y reste jusqu’à la Révolution.
La Trinité est incendiée en 1794, passage des Colonnes Infernale
Classé dans Département 44
-S- LUNDI 25 JUIN 2012. 46 LISEURS dont 7 Belges et 1 Colombien.
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-F- LA FORET DE FONTEVRAULT, une forêt frontière au confluent de trois Provinces.
I. CHEMIN-FRONTIERE DANS LA FORET de FONTEVRAULT
La forêt de Fontevrault, aujourd’hui démembrée, trouée de larges essarts et de landes qui témoignent d’incendies répétés éclate en morceaux sur la feuille de la carte de Saumur et la Carte d’Etat major. Ce fût autrefois une forêt frontière entre les Andegaves, les Turones et les Pictones.Les limites départementales entre le Maine-et-Loire, l’Indre-et-Loire et la Vienne, héritières de celles de l’Anjou, de la Touraine et du Poitou, la traversent maintenant et s’y rencontrent à 2 KM au sud de Fontevrault.
Un vieux chemin suit ces limites administratives, passant au lieu dit La Folie ; un toponyme qui a plus de chances de s’appliquer ici, comme dans la plupart des cas, à un lieu dit d’origine « celtique » qu’à une résidence champêtre du XVIe ou du XVII e siècle.
Suivons ce chemin.IL vient du Sud, où il a failli se perdre dans un lacis de chemins ruraux, puis il gagne vers le Nord, à travers la forêt d’abord puis dans les champs et dans les vignes du plateau qui domine Candes.Candes, Condate, le confluent de la Vienne et de la Loire. C’est vers ce site très anciennement habité qu’il conduisait. Car il ne conduit plus nulle part.Il sert à la desserte des champs et des bois. ; On ne le suit plus de bout en bout. Jadis, il allait rejoindre le grand chemin qui longeait la Loire et la Vienne sur leur rive gauche, et dont la route moderne a pour une très large part hérité.
A 1500 mètres au Sud-est de Fontevrault, ce chemin coupe une petite route, héritière elle –même d’un ancien chemin. Elle mène de Fontevrault à Couziers et au-delà, après avoir conduit à la chapelle de saint –Mainboeuf. Au carrefour, en plein bois, un gros chêne passe ici pour marquer l’emplacement où se rencontraient jadis, de temps en temps, les évêques des trois diocèses d’Angers, de Tours et de Poitiers. Tradition orale, invérifiable sans doute; mais chêne borne, tout au moins, comme le chemin lui-même est un chemin-frontière qui marque des limites départementales après en avoir marqué d’autres au cours des âges, limites de provinces et limites de cités. L’arbre n’a bien sûr pas l’Antiquité qu’on lui prête généreusement. Mais il eut des prédécesseurs qui moururent là tour à tour, après avoir assumé la même fonction.
Non loin sur la lisière Ouest du bourg de Fontevrault, un autre chemin s’enfonce en tranchée dans le tuffeau, longeant le Grand Enclos qui fut l’une des dépendances de la célèbre abbaye fondée en 1099 par Robert d’Arbrissel. Il porte le nom de « creux chemin », et sa largeur, ses sections pavées, ses parois taillées dans le roc par l’outil sont anormales pour un simple chemin rural. Ce fut en effet, au XVIII e siècle, encore, un tronçon de la route Saumur-Poitiers. De nos jours, la nationale 147 passe un peu plus loin vers l’Est, évitant la forte déclivité du creux-chemin.Ce dernier n’est plus qu’un « raccourci » de piétons et de charrettes, un chemin de desserte emprunté par les cultivateurs et les habitants du bas-bourg.
Marcel Gautier . L’information géographique Année 1953 Volume 17 ; Numéro 17-3 Un chapitre négligé de la géographie agraire : Les enseignements des chemins ruraux. P. 93 et 94.