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Archives mensuelles : août 2012
S- JEUDI 30 AOUT 2012. 69 LISEURS illustrent une myriade de provenances, dont le Mexique pour la première fois .
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-N-Violette NOZIERE (1915-1966) La PARRICIDE condamnée à mort en 1934 et réhabilitée en 1963 EPOUSA en secondes noces le fils d’un COMPTABLE de la CENTRALE DE FONTEVRAUD.
Eugène Garnier : le véritable nom de famille est modifié.
Eugène Garnier est né le 20 février 1887. Fils unique, il exerçait le métier de scieur de long , comme son père et les générations précédentes. L’une des filiations ascendantes est originaire de la haute-Loire département d’où vient la famille de Violette Nozière, sa future belle-fille …
Au cours de la Premiére Guerre mondiale , Eugène Garnier incorpore le 80 e régiment d’infanterie de ligne Le 27 août 1916, il est blessé par balles sur la ligne de front, à Fleury dans le département de la Meuse, pendant la bataille de Verdun . Eugène est hospitalisé plusieurs mois et à sa démobilisation, il n’a plus la capacité physique pour reprendre sa profession. Il intègre l’administration pénitentiaire et obtient sa première affectation le 17 mars 1919 à la maison centrale de Fontevraud dans le Maine-et-Loire, en qualité de gardien stagiaire. Titulaire à ce poste le 23 juillet 1919, il devient surveillant le 7 février 1920. Eugène souhaite s’orienter vers la comptabilité. Par un arrêté du 20 septembre 1922, il est promu commis-deniers à la maison centrale de Clairvaux …. Le 13 août 1941, les allemands occupent la citadelle, évacuent le personnel et une partie des détenus vers la Centrale de Fontevraud. Eugène Garnier se retrouve dans la Centrale de l’Anjou, là même où il avait commencé en 1919.. De son mariage avec Marguerite le 29 avril 1911, sont nés treize enfants de 1912 à 1935.
La nouvelle année 1945, revêt deux événements importants pour Violette : celui de sa libération tant attendue et l’arrivée à Rennes le 7 janvier 1945, du nouveau greffier-comptable : Eugène Garnier dont elle épousera le fils Pierre Garnier (né le 19 février 1919) à Neuvy-sur-Loire (58450) , le 16 décembre 1946 . Cinq enfants naitront de cette union.
-S- MERCREDI 29 Août 2012. 36 LISEURS dont 5 Hollandais, 1 Polynésien et 1Autrichien.
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-P-NOTRE-DAME-DE-PITIE; « Un oratoire secret, au Grand Moutier lié ».
Fontevrault la Royale, Abbaye magnifique,
Dissimule en son sein un trésor oublié :
Loin des lieux à touristes, sur un chemin magique,
Un oratoire secret, au Grand Moutier lié.
De sa butte cachée, la vue fuit vers la plaine,
L’ensemble monacal apparaît tout entier;
On y entend appels de misères et de peines,
La chapelle ayant nom : Notre-Dame de Pitié.
Combien de pélerins, depuis la Renaissance,
En montant ont refait le Chemin de la Croix !
Pleins de supplications vers Dieu, le Roi des Rois,
Cherchant Miséricorde au coeur de la souffrance.
Saint Michel est présent en ce lieu préservé,
Sur le mur de la ferme, il perce le dragon,
Le pénitent le prie, marchant vers le pardon,
Il s’élance tout joyeux : son âme sera sauvée !
I..Pincemaille 26 Août 2012 (retour de Fontevrault)
-S- MARDI 27 Août 2012. 33 LISEURS dont 3 Hollandais, 2 Guyanais (une grande première!) et 1 Américain.
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-F- UNE FILLE- et non deux- DE LOUIS XV INHUMEE EN L’ABBAYE ROYALE DE FONTEVRAUD.
9. Thérèse Félicité de France
Fille de France, dite Madame Sixième.
Née au château de Versailles le 16 mai 1736.
(NDLRB. Elevée à l’abbaye de Fontevrault à partir de 1738)
Morte à l’abbaye de Fontevrault le 28 septembre 1744.
Inhumée dans l’abbaye de Fontevrault.
10. Louise Marie de France
Fille de France, dite Madame Septième puis Madame Louise (1738), religieuse carmélite à Saint-Denis sous le nom de soeur Thérèse de Saint-Augustin (1770), élue prieure (1773).
Née au château de Versailles le 15 juillet 1737.
(NDLRB. Elevée à l’abbaye de Fontevrault à partir de 1738)
Morte au couvent des Carmélites à Saint-Denis (Paris) le 23 décembre 1787.
Inhumée dans l’abbaye de Fontevrault.
http://generoy.free.fr/blouis15.htm
La mention de l’inhumation de Louise-Marie de France ( Supra point 10) à Fontevrault paraît être erronée comme en témoigne l’épitaphe de la princesse au couvent des Carmélites à Saint-Denis (93210) reproduite ci-dessous :
Ici repose
Le corps de la Très-révérende-Mère
THERESE DE SAINT-AUGUSTIN,
LOUISE-MARIE DE FRANCE
Fille
Du roi Très Chrétien, Louis XV
Et
Prieure de ce Monastère
-S- LUNDI 27 Août 2012. 58 LISEURS dont 10 Hollandais, 3 Suisses, 1 Italien et 1 Serbe (une grande première!).
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Maximilien SOULARD . ENFERME deux fois à la CENTRALE DE FONTEVRAUD (1873, 1883)
Application de la Loi du 27 mai 1885 sur la relégation des récidivistes
Indications générales
SOULARD Maximilien
Né le 12 juin 1847 à Tresson (72)
Sans profession
sans domicilie fixe
Signalement
Taille : 1 m 720 (ou 1 m 730 selon les pages)
Longueur du pied gauche : 0.262
Couleur de l’oeil gauche : Bleu azur moyen pigmenté marron clair – Bleu ardoisé
Nez vu de profil : Dos rectiligne, base horizontale
Nez vu de face : Petit, charnu de bout
Barbe : Châtain clair
Cheveux : Chatain m(oyen ?)
Traits caractéristiques : Front couvert, droit, sourcils châtains clairs, teint légèrement coloré, bouche moyenne, menton rond, cou ordinaire.
Marques et signes particuliers :
– Petites tâches jaunâtres sur le front et autour des yeux
– Cicatrice de coupure sur le pouce droit (2e phalange)
– Tâche bleuâtre sur la face interne de la cuisse droite à 0,10 au dessus du genoux
– hernier inguinale droite
Condamnations
* Tribunal correctionnel de Saint-Calais (72) :
1 an et 1 jour de prison pour Vol et Escroquerie
Entré le 15 mai 1873, peine commencée le 13 juin 1873, transféré à la maison centrale de Fontevrault le 26 juillet 1873, mis en liberté le 14 juin 1874.
* Tribunal correctionnel de Saint-Malo (35) :
3 mois de prison pour Vol et Escroquerie
Entré le 21 février 1877, peine commencée le 8 mars 1877 et subie à Saint-Malo, mis en liberté le 8 juin 1877.
N’a été l’objet d’aucune décision gracieuse.
* Tribunal correctionnel de Bressuire (79) :
3 mois de prison pour Loterie non autorisée – 150 francs d’amende
22 mars 1880.
Cette peine n’a pas été subie, elle a été prononcée par défaut.
* Tribunal correctionnel de Civray (86) :
4 mois de prison pour Grivellerie, Vagabondage et Loterie non autorisée.
Entré le 20 mai 1880, peine commencée le 12 juin 1880 à Civray, transféré à Poitiers le 19 juillet 1880, mis en liberté le 12 octobre 1880.
* Tribunal correctionnel de Mayenne (53) :
6 mois de prison pour Escroquerie, Coups et Loterie non autorisée.
Entré le 20 novembre 1882peine commencée le 8 décembre 1882 à Mayenne, transféré à la prison d’Angers le 15 décembre 1882 pour appel d’un jugement de 13 mois d’emprisonnement qui avait été prononcée par défaut par le tribunal du Mans. La Cour d’Appel d’Angers a confirmée cette peine et n’a pas prononcée la confusion. Commencement de la peine de 13 mois le 26 décembre 1882. Transféré à la Maison centrale de Fontevrault le 15 janvier 1883, transféré le 31 janvier 1884 à la prison de Laval pour purger le reste de la peine de six mois prononcée par le tribunal de Mayenne le 8 décembre 1882. Mis en liberté le 8 juillet 1884.
Escroquerie et coups commis au cours de 1881 à La Suze.
* Tribunal correctionnel de Châtellerault (86) :
4 mois de prison pour Vol.
Entré le 25 août 1885, peine commencée le 31 août, transféré à Poitiers le 30 septembre, mis en liberté le 31 décembre 1885.
N’a été l’objet d’aucune décision gracieuse.
* Cour d’Appel de Poitiers (86) :
4 mois d’emprisonnement pour Loterie non autorisése, vagabondage et outrage à la gendarmerie.
Arrêt du 16 avril 1886, n’a été l’objet d’aucune mesure gracieuse. Pourvoi en cassation rejeté le 27 mai 1886. sa peine expirera le 27 septembre 1886.
Non admis à la relégation individuelle.
Comdamné à la relégation collective à l’Île des Pins le 27 mai 1886.
………..
-S- DIMANCHE 26 Août 2012. 20 LISEURS dont 1 canadien,1 Belge et 1 Brésilien.
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Pays Vues France
17 Canada
1 Belgique
1 Brésil
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-H- L’HOSPICE DE LA SAINTE FAMILLE A FONTEVRAUD
La marquise de Montespan avait fondé à Fontevrault dès 1691 un hospice de la Sainte Famille pour cent indigents, administré par onze Sœurs de Charité. La marquise s’établissait ainsi à proximité de sa sœur, Marie-Madeleine Gabrielle de Rochechouart de Mortemart, 32 e abbesse de Fontevrault (1670-1704).
Il ne reste de cette institution qu’une inscription sur une arcade, réutilisée sur une maison particulière.
Dix ans plus tard elle le transférait à Oiron (79100) . Elle installa le nouvel hospice dans les bâtiments édifiés à cette fin, en face mais un peu retrait de l’actuel Champ de Foire ( route de Loudun) pour un coût de 40 000 livres. Elle signa le 3 juillet 1704 un nouvel acte de fondation ; celle-ci fut confirmée en mai de l’année suivante par lettres patentes du roi. Ces archives ont été conservées dont le règlement de l’établissement fixé par la marquise, qui précisait les conditions d’admission, l’emploi du temps, l’enseignement à donner aux enfants et le texte des prières à réciter.
Roger de Gaignières (1644-1715) , qui séjournait à Fontevrault en 1699 en même temps que la marquise, fit dessiner par Louis Boudan , dessinateur et graveur, quelques années plus tard une Veüe de l’hospital d’Oyron.
Veüe de l’hospital d’Oyron, bâti et // fondé par Madame de Montespan // en poictou a 2 lieues de Thouars, et a 3. de // Loudun : [dessin] / [Louis Boudan?]