irarchaeology Irish Archaeology
Eeanor of Aquitaine’s tomb, Fontevrault Abbey, France. Queen consort of both France & England she died in 1204 pic.twitter.com/MECtWGQsGn
https://twitter.com/irarchaeology/status/323535105312317440/photo/1
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Eeanor of Aquitaine’s tomb, Fontevrault Abbey, France. Queen consort of both France & England she died in 1204 pic.twitter.com/MECtWGQsGn
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Avec la construction de son Pôle énergétique, équipé de panneaux photovoltaïques et d’une chaufferie bois, l’Abbaye de Fontevraud ose les énergies renouvelables et concrétise ainsi une vision audacieuse du patrimoine, portée par la Région Pays de la Loire. Celle d’un patrimoine vivant et à vivre conjuguant passé, présent et avenir, patrimoine culturel et patrimoine naturel, qui engage Fontevraud dans le 21e siècle.
Le pôle énergétique, c’est :
la première construction depuis près d’un siècle à l’Abbaye, grand site du Val de Loire
patrimoine mondial,
la première grande réalisation du programme Fontevraud Cité durable,
une expérience unique en France de transition et d’équipement énergétique dans un monument historique,
une performance énergétique exceptionnelle !
Après un an de travaux et trois ans d’étude, le Pôle énergétique de l’Abbaye de Fontevraud, inauguré le 31 mai 2013, est sorti de terre au chevet de l’église abbatiale, lieu emblématique par excellence de l’histoire monastique de l’Abbaye.
Concrétisation exemplaire d’une vision ambitieuse et fonctionnelle du patrimoine au 21esiècle, ce nouveau bâtiment, en partie enterré et totalement intégré dans l’environnement architectural et paysager du site, signe l’audace de la Région Pays de la Loire dans la gestion d’un monument historique, inscrit sur la liste de Prosper Mérimée depuis 1840.
L’investissement financier (6 millions d’€) est à la hauteur des enjeux, inédits et porteurs d’innovation : assurer la transition énergétique du site (13 hectares et 200 000 visiteurs par an) en couvrant 100 % de ses besoins, dans des conditions de confort améliorées, grâce aux énergies renouvelables. Le pôle énergétique est équipé de 92 panneaux photovoltaïques et d’une chaufferie bois (pouvant assurer l’équivalent des besoins de 500 maisons de 4 personnes).
Exemplarité patrimoniale et environnementale
L’Abbaye de Fontevraud devient ainsi le premier monument à intégrer pleinement les défis du développement durable. Loin de faire appel au « droit dérogatoire » des monuments historiques, Fontevraud s’est donné un devoir d’exemplarité en assurant conjointement et indissociablement la préservation et la valorisation du patrimoine naturel et du patrimoine culturel.
Et les premières mesures confirment que les objectifs écologiques principaux sont d’ores et déjà atteints voire dépassés pour certains :
amélioration notable du confort thermique pour l’ensemble des usagers de Fontevraud ;
diminution par 2 de la consommation énergétique par rapport à 2011
diminution par 10 de la contribution à l’effet de serre par rapport à 2011
Empreinte écologique et coût d’exploitation s’en trouvent considérablement réduits. La conception du bâtiment intègre aussi la récupération et la réutilisation des eaux pluviales ; mais aussi, une salle pédagogique et un espace scénique exceptionnel sur son toit terrasse végétalisé, offrant aux concerts et spectacles programmés à Fontevraud le décor remarquable du chevet de l’église abbatiale.
Enfin la « salle des machines » à l’esthétique fonctionnelle et industrielle devient un « incontournable » intégré au parcours de visite de l’Abbaye.
Intégré dans une approche globale du site, prenant en compte tous ses usages possibles au présent et dans le futur, et concrétisant une vision innovante du patrimoine, le Pôle énergétique de l’Abbaye de Fontevraud traduit de façon spectaculaire l’entrée de ce site dans le 21e siècle Avec la construction de son Pôle énergétique, équipé de panneaux photovoltaïques et d’une chaufferie bois, l’Abbaye de Fontevraud ose les énergies renouvelables et concrétise ainsi une vision audacieuse du patrimoine, portée par la Région Pays de la Loire. Celle d’un patrimoine vivant et à vivre conjuguant passé, présent et avenir, patrimoine culturel et patrimoine naturel, qui engage Fontevraud dans le 21e siècle.
Le pôle énergétique, c’est :
la première construction depuis près d’un siècle à l’Abbaye, grand site du Val de Loire
patrimoine mondial,
la première grande réalisation du programme Fontevraud Cité durable,
une expérience unique en France de transition et d’équipement énergétique dans un monument historique,
une performance énergétique exceptionnelle !
Après un an de travaux et trois ans d’étude, le Pôle énergétique de l’Abbaye de Fontevraud, inauguré le 31 mai 2013, est sorti de terre au chevet de l’église abbatiale, lieu emblématique par excellence de l’histoire monastique de l’Abbaye.
Concrétisation exemplaire d’une vision ambitieuse et fonctionnelle du patrimoine au 21esiècle, ce nouveau bâtiment, en partie enterré et totalement intégré dans l’environnement architectural et paysager du site, signe l’audace de la Région Pays de la Loire dans la gestion d’un monument historique, inscrit sur la liste de Prosper Mérimée depuis 1840.
L’investissement financier (6 millions d’€) est à la hauteur des enjeux, inédits et porteurs d’innovation : assurer la transition énergétique du site (13 hectares et 200 000 visiteurs par an) en couvrant 100 % de ses besoins, dans des conditions de confort améliorées, grâce aux énergies renouvelables. Le pôle énergétique est équipé de 92 panneaux photovoltaïques et d’une chaufferie bois (pouvant assurer l’équivalent des besoins de 500 maisons de 4 personnes).
Exemplarité patrimoniale et environnementale
L’Abbaye de Fontevraud devient ainsi le premier monument à intégrer pleinement les défis du développement durable. Loin de faire appel au « droit dérogatoire » des monuments historiques, Fontevraud s’est donné un devoir d’exemplarité en assurant conjointement et indissociablement la préservation et la valorisation du patrimoine naturel et du patrimoine culturel.
Et les premières mesures confirment que les objectifs écologiques principaux sont d’ores et déjà atteints voire dépassés pour certains :
amélioration notable du confort thermique pour l’ensemble des usagers de Fontevraud ;
diminution par 2 de la consommation énergétique par rapport à 2011
diminution par 10 de la contribution à l’effet de serre par rapport à 2011
Empreinte écologique et coût d’exploitation s’en trouvent considérablement réduits. La conception du bâtiment intègre aussi la récupération et la réutilisation des eaux pluviales ; mais aussi, une salle pédagogique et un espace scénique exceptionnel sur son toit terrasse végétalisé, offrant aux concerts et spectacles programmés à Fontevraud le décor remarquable du chevet de l’église abbatiale.
Enfin la « salle des machines » à l’esthétique fonctionnelle et industrielle devient un « incontournable » intégré au parcours de visite de l’Abbaye.
Intégré dans une approche globale du site, prenant en compte tous ses usages possibles au présent et dans le futur, et concrétisant une vision innovante du patrimoine, le Pôle énergétique de l’Abbaye de Fontevraud traduit de façon spectaculaire l’entrée de ce site dans le 21e siècle
Le sentier de l’étang d’Arbonneau (Ceaux en Loudun, à l’ouest de Loudun)
En 1697, Basché était qualifié « d’hôtel fort » ; il était « clos de murailles, fossés, eaux vives », et doté d’un pont-levis. Pour les plus courageux, un crochet par la petite route sur laquelle débouche le chemin, offrira une meilleure vue sur la façade principale du château.
A partir du hameau de La Judellière, après avoir franchi le modeste « pont d’Arbonneau » autrefois jeté sur les marais, et dont la maison en ruine portait le nom, un chemin vous ramène vers les bois.
Sur la droite, côté Assay, vous entrevoyez « La Pinalière », grosse ferme entourée de murs avec des tours carrées aux angles ; deux sont encore debout, dont une visible depuis le chemin ; « La Pinalière » était citée comme « chastel » en 1471. A partir du gros peuplier « têtard » F , vous empruntez un chemin forestier qui ramène à l’étang ; n’hésitez pas à vous y engager si le terrain n’est pas trop humide : la fin vous réserve une surprise ! Dans le cas contraire, vous retrouvez la route qui ramène au chemin de l’étang, à partir de « La Besnarderie ».
A l’issue du chemin, vous laissez sur la droite le pré où s’élevait autrefois « La Briffaudière », ferme dépendante de Fontevraud, puis d’Artigny après la Révolution. Les bâtiments qui conservaient des ouvertures à meneaux et à accolades ont aujourd’hui complètement disparu.
Quelques mètres de sentier fléché permettent de rejoindre l’étang d’Arbonneau, créé de toutes pièces par un groupe d’habitants de Ceaux pendant l’hiver 1972-1973, en même temps que le chemin d’accès que vous empruntez pour le rejoindre.
Si vous avez envie de prolonger la promenade, vous pouvez à partir du peuplier « têtard », vous engager sur le chemin qui longe le bois, jusqu’à la Besnarderie. Le chemin longe, ici, côté Indre-et-Loire, l’ancienne paroisse de Grazay. Après avoir emprunté le chemin qui part dans le coude de la route, vous bifurquerez vers le pavillon carré de « La Garennerie », ancienne demeure des garde-chasse des abbesses de Fontevraud, puis vers les bois d’Artigny, en laissant sur votre droite un puits perdu au milieu des champs, seul vestige d’une ancienne borderie (petite métairie), « Le Chardon-Blanc », dont la pièce de terre conserve le nom.
Classé dans Département 86
D’autre part, Benoît ne nous parle malheureusement pas de l’organisation de son infirmerie, mais on peut imaginer que, comme à Vivarium, des moines se sont spécialisés dans la médecine. Cassiodore nous parle en effet plusieurs fois de ce sujet dans ses Institutiones, de l’existence de médecins mais, surtout, pour encourager les études médicales : voir le chapitre de la culture médicale. Il faudra cependant attendre le plan de Saint-Gall pour nous éclairer sur la structure de l’infirmerie monastique du moyen-âge. C’est le modèle que ce document sera appelé à devenir pour les communautés monastiques d’Occident qui doit retenir notre attention et, d’évidence, ce modèle nous parle de l’infirmerie comme d’un ensemble hospitalier dont l’auteur du modèle recherche l’autonomie. Suivant ce modèle le plus idéalement possible (mais pas du tout à la lettre), les grandes abbayes se doteront de véritables quartiers autonomes possédant leur église, leur cloître, leurs cuisines etc., véritables monastères en réduction, ce qui sera valable aussi pour le noviciat. On trouve de telles structures à Cluny, Fontevraud, Saint-Denis, Saint-Riquier, etc.
http://www.encyclopedie-universelle.com/abbaye-medecine-soins.html
Au château de Versailles, les Appartements de Mesdames, filles du roi Louis XV, restaurés et remeublés, sont ouverts au public depuis le 25 avril 2013.
Situés au rez-de-chaussée du corps central, les appartements de Mesdames étaient, après ceux du souverain, les plus beaux de Versailles. Ils ont été occupés pendant vingt ans, de 1769 jusqu’à la Révolution française, par les princesses Adélaïde et Victoire, filles de Louis XV.
On peut y voir dans La bibliothèque de Madame Victoire un petit bureau à pente, documenté ci-dessous http://www.chateauversailles.fr/decouvrir-domaine/chateau/le-chateau/appartements-de-mesdames
Petit bureau ou Secrétaire à pente d’une des filles de Louis XV à Versailles par CAREL
– Carel Jacques-Philippe (1688- vers 1755)
– Livré par Gaudreau, ébéniste du roi, le 8 Janvier 1751 dans les appartements de Mesdames Sophie et Louise, deux des filles de Louis XV lorsqu’elles revinrent à Versailles,en 1760, à leur retour de l’Abbaye de Fontevrault.
– N° d’inventaire : V4710
( 1693-2013) ; 320 eme anniversaire de la mort de Mainferme (Jean de La), religieux de Fontevrault auteur de Bouclier de l’ordre de Fontevrault naissant, en trois vol. in 8. Le principal objet de cet ouvrage est de justifier Robert d’Arbrissel d’avoir été trop famillier avec ses religieuses.
Voir aussi :
ACCORD PASSÉ ENTRE JEAN, COMTE DE RETHEL ET LA PRIEURE DE LONGEAU AU SUJET DES DROITS ACCORDÉS AU PRIEURÉ PAR HUGUES II ET FÉLICITÉ, COMTE ET COMTESSE DE RETHEL – CONFIRMATION PAR L’ABBESSE DE FONTEVRAULT.
Acte n° 204148 dans Les espaces de la charte , Cédric GIRAUD, Jean-Baptiste RENAULT et Benoît-Michel TOCK, éds., Nancy : Centre de Médiévistique Jean Schneider ; éds électronique : Orléans : Institut de Recherche et d’Histoire des Textes, 2010. (Telma). [En ligne] http://www.cn-telma.fr/chartae-galliae/charte 204148 /. Date de mise à jour : Première version, 10 juin 2010.
Bibliographie
SAIGE (Gustave) et LACAILLE (Henri), Trésor des chartes du comté de Rethel, t. 1, Monaco, 1902, n° 110, p. 180-181
NDLRB. Le lien ci-dessus apparait inactif mais il est heureusement toujours possible de retrouver le texte décrit ci-dessus grâce au lien ci-aprés:http://www.cn-telma.fr/chartae-galliae/charte204148/
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LES SEIGNEURS DE BRETEUIL EN BEAUVAISIS PAR A. DE DION PARIS 1884
p. 50.
BRANCHE DES SEIGNEURS DE VILLEPREUX ET LA FERTÉ-ARNAUD.
D. Hugues, chanoine de Chartres, élu doyen le 26 mai 1224, fut nommé évêque de cette ville en 1235. Il se démit l’année suivante et se retira à Fontevrault auprès de sa soeur Mabille et y mourut le 19 août 1239.
G. Mabille, abbesse de Fontevrault en 1236 et 1239.
NDLRB. Nous ne connaissons qu’une abbesse pouvant correspondre à cette indication. Il s’agit de la 12 éme abbesse de l’Ordre: Mabile de la Ferté (ou de Blois) (1244-1265)
Rabelais extrait de la variété et de l’abondance de la nature des images qu’il réinvestit dans une figure composite, fruit du dévoiement de la fécondité naturelle. La corne d’abondance naturelle se mue en corne stérile, image de la mauvaise foi dévastatrice des idéologues. Les idéologues de tous bords sont attaqués : le réformé Calvin qui s’en était pris nommément à Rabelais dans son ouvrage Des Scandales (Genève, 1550), et le religieux de l’abbaye de Fontevraud, docteur à la faculté de Paris, Gabriel de Puy-Herbault qui avait fait, dans son Theotimus (1549), un portrait épouvantable de l’auteur de la geste pantagruélique. L’ecclésiastique y présentait un Rabelais « imitant le singe à la longue queue », souillant « son papier d’infamies », vomissant « un poison qui infecte peu à peu toutes les contrées » . Au portrait-charge traditionnel, Rabelais oppose sa créativité et son audace. Il répond à ces attaques par un extraordinaire renouvellement des procédés du bestiaire satirique. http://imagesrevues.revues.org/385