Archives mensuelles : juin 2013

-P- Poésie. Le château ou Prieuré de Longefont (36800 OULCHES)

Longefont. Château de Prosper Blanchemain

Ce fut, dit-on, jadis un paisible couvent
Coquettement caché sur les bords où la Creuse
Avec un bruit d’écluse, en serpentant se creuse
Un lit sonore et frais sous le saule mouvant.

Des grands arbres perçant la voûte ténébreuse,
Sa tour jumelle luit sous le soleil levant…
Je ne l’ai jamais vu, mais en rêve souvent
J’ai suivi les détours de son allée ombreuse.

Près du parterre en fleurs, un homme au front serein,
Où le génie a mis son cachet souverain,
Contemple avec amour l’ange de sa famille ;

Son fils est là, tout près, qui se penche à demi
Sur trois gais chérubins jouant sous la charmille…
Je n’en connais aucun, mais je suis leur ami. 

    Louis Honoré Fréchette

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-F- Fiefs dans la paroisse d’Eguzon (36270) relevant du prieuré de LONGEFONT (36800 OULCHES)

PRIEURE DE LONGEFONT, fief  d’Argentiére, La Ferrière  , Jordessoule.

Les religieuses de Longefont possédaient dans la paroisse d’Eguzon, des terres dans les villages d’Argentière, de La Ferrière et de Bordessoule.

Le livre terrier du Prieuré de Longefont fait mention de la métairie d’Argentière (1554).

Quelques mots d’abord sur ce prieuré : Longefont, prieuré de femmes dépendant de Fontevrault, situé sur la Creuse, à moitié chemin d’Argenton au Blanc, anciennement paroisse de Pezay, actuellement commune d’Oulches, tire son nom d’une vaste fontaine au bord de laquelle le couvent fut établi, vers 1115, par Isambert, seigneur de Cors, qui le donna à Robert d’Arbrissel, fondateur de l’ordre de Fontevrault.

Les principaux bienfaiteurs du prieuré furent Gérault ou Giraud de Cors et Renée de Brenne, Fulcher ou Foucher Duredent, Gaudin de Romefort, Guillaume de La Marche, seigneur d’Eguzon, Raoul de Prunget, etc…

Les dames de Longefont eurent beaucoup à souffrir durant les guerres de religion. Leur couvent, plusieurs fois pillé, fut incendié en 1638, et elles durent s’établir dans le château de Cors (36)   http://www.chateau-fort-manoir-chateau.eu/chateaux-indre-chateau-a-oulches-chateau-de-cors.html qu’elles quittèrent le 2 septembre 1644 pour s’installer dans les ruines du château d’Argenton. Elles revinrent à Longefont en 1645, lorsque Coudray voulut rétablir la forteresse d’Argenton.

Bien que la communauté ait vu une grande partie de ses titres dispersés ou brûlés, et, par suite, quantité de redevances contestées et perdues, elle possédait encore, en 1727, de grands biens et de nombreuses rentes sur les paroisses de Pezay, Chitray, Ciron, St Marcel, St Plantaire, Eguzon, Baraize, Cromay, Buzançais, Tendu, Langé, Vendoeuvre, Mézières-en-Brenne et à Scoury.

Le revenu accusé par elle consistait alors en 4 151 livres 14 sols d’argent et en 3 048 boisseaux de blé.

Dans un Etat du prieuré de Longefont daté du 8 août 1727 et dressé en exécution de l’arrêt du conseil d’état du 29 avril de la même année, on trouve : « Les rentes d’Argentière et ses environs, ses paroisses de St Plantaire et Aiguzon avec une portion dans les dixmes de Baraize, affermée 50 livres par sous seins privé de 1721. » (Archives nationales G-9-640. Communiqué par M.Pierre).

Le fief d’Argentière devait des rentes nobles dans la province de la Marche : « 80 boisseaux de seigle et 30 d’avoine, mesure de Crozant, dont deux boisseaux ne font qu’un à la mesure d’Argenton (1702). » (Archives de l’Indre).

Arpentements des Tenues des villages d’Argentière, La Ferrière et Bordesoule – Le 17 août 1805, à la requête de messire Sylvain Galland, chevalier, seigneur des Lignières et autres lieux, maître Michel Poitrenaud, garde des eaux et forêts du Roy, faisant tant pour lui qu’en qualité de tuteur des enfants mineurs de feu François Poitrenaud ; Joseph Dérigoin, sergent en la justice d’Eguzon, etc.

J’ai François Clément, arpenteur et apréciateur roial, soussigné, certifie et raporte à tout ce qu’il appartiendra m’être exprès transporté jusqu’au village d’Argentière, de La Ferrière et Bordesoule, paroisse d’Eguzon,assisté de Claude Mitau, faisant aussi la profession d’arpenteur, lesquels dits trois villages ont été mis et joints ensemble pour en faire qu’une seule et même tenue…..

Lesquels dits villages j’ai mesuré et arpenté, et trouvé en tout 273 setrées et deux boisselées, mesure de Crozant, à raison de 100 chaînées par setrée et chacune chaînée de 22 piés de roi en carré, et ce y compris l’évaluation des bâtiments et autres meilleures terres ; lesquels dits villages et terres joignent d’une part à la croix des Lignières suivant le long du chemin par lequel du village de Puérault à Eguzon jusqu’au coin de la Bouige à Viollet et de la aux chesnes de la Bertoulade. Le dit chesne de là au milieu de la fosse à Boué, puis à un chatenier qui est au coin du grand pâtural dépendant d’Eguzon puis au Pin des Gorses et de là au coin de la forêt du Faisseau et coulant tout le long de ladite forêt jusqu’au village de La Ferrière, et de là tout de le long du ruisseau qui descend de ladite forêt jusqu’au pré du dit seigneur d’Eguzon appelé le pré de la Forge et de la tombant ledit ruisseau dans la rivière de l’Abloux et de là à la planche de la Chaume et au pré des RR. PP. Augustins de la maison Dieu de Montmorillon, et de là au pré dudit seigneur des Lignières et aux terres d’icelluy appelées les coutumes grandes et de là au coin dudit seigneur des Lignières.

Première confrontation – Au delà desquelles confrontations il y a des héritages qui étaient sujets aux tiers et quart des fruits qui ont été affranchis par les dames religieuses de Longefont moyennant 15 boisseaux de seigle de cens et rentes portant lots et rentes êtres surplus.

Il y a en tout trois tenues.

1° Le village d’Argentière est au devoir de 80 boisseaux de seigle, 16 boisseaux d’avoine, touts lesdits grains mesure de Crozant, 3 poules et demies et 10 sols en argent.

La 2° tenue, de Bordesoule, sujet au devoir par chacun an de 7 sous onze deniers et 14 poules et demies.

La 3° tenue, de la Ferrière, sujet par an de 12 deniers et une poule.

———————-

Touts lesquels dits devoirs ont été joints ensemble et se montant au nombre de 95 boisseaux de seigle, 16 boisseaux d’avoine, mesure de Crozant, 19 poules et 19 livres. Les poules estimées à 5 sols pièce.

Le tout de cens et rente noble directe et féodale portant lots et rentes selon la coutume du péis et comté de la Marche, et payable au jour de fête de St Michel.

Un bail à ferme de la maison d’Argentière remonte à 1448. (Archives de l’Indre).

Toutes les terres appartenant à l’abbaye de Longefont furent vendues comme biens nationaux en 1791, en même temps que celles appartenant à la cure d’Eguzon.

http://apoitr.pagesperso-orange.fr/Eguzon/025-Prieure%20de%20Longefont.htm

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-R- Robert d’Arbrissel à ARBRISSEL, PARIS, ANGERS et LA ROË

Robert d’Arbrissel

Robert d’Arbrissel, appelé du nom du village d’Arbrissel (Ille-et-Vilaine) dans le diocèse de Rennes en Bretagne où il est né vers 1047, est un religieux breton fondateur de l’ordre de Fontevraud et des abbayes de Fontevraud et de la Roë.

Le père de Robert d’Arbrissel était un prêtre nommé Damalioch et sa mère se nommait Orguen, étant descendants probables des Bretons venus de Grande-Bretagne et installés aux lisières romanes de l’Armorique, peut-être dans un but défensif sur la demande des ducs ou rois de Bretagne.
Robert d’Arbrissel aurait succédé à son père dans la charge de recteur d’Arbrissel (actuel village d’Ille et Vilaine, à 35 km au Sud Est de Rennes) et aurait comme lui vécu avec une femme (ce n’est qu’au Ier concile du Latran de 1123 que le mariage ou le concubinage des prêtres ont été réprimés en faisant de leurs enfants des bâtards interdits d’héritage).

Compromis dans l’élection irrégulière d’un évêque, il s’exile à Paris où il est converti à la réforme promue par le pape Grégoire VII. Il vint de bonne heure à Paris, où il fit des progrès rapides dans les lettres, et fut reçu docteur en théologie.

Les dignités d’archiprêtre et d’official
Son évêque, Silvestre de la Guerche, le rappela auprès de lui, s’aida de ses lumières, lui conféra les dignités d’archiprêtre et d’official, et eut la satisfaction de le voir combattre avec succès la simonie, l’incontinence et les autres vices de son clergé.

1- archiprêtre : Dans l’Église catholique, archiprêtre est un titre honorifique attribué à un prêtre, en général le curé d’une église importante, telle qu’une cathédrale ou une basilique. Anciennement, ce titre fut aussi porté par un prêtre qui remplaçait un évêque.
2- official : L’official ou vicaire judiciaire est un juge ecclésiastique.
3- La simonie est, pour les chrétiens, l’achat et la vente de biens spirituels, tout particulièrement d’une charge ecclésiastique.

 » L’exil  » à Angers
Après avoir travaillé pendant quatre ans à l’extirpation de ces désordres, Robert se vit exposé, par la mort de son protecteur, au ressentiment des ecclésiastiques qu’il avait humiliés ; et Marboclus, successeur de la Guerche, qui apparemment n’aimait pas autant que celui-ci les réformes et les réformateurs, le remercia de ses soins, et le laissa partir pour Angers, où il alla enseigner la théologie.

Il se lie à Angers avec Marbode, futur évêque de Rennes et Geoffroi, abbé de Vendôme qui apprécient ses qualités intellectuelles et religieuses.

Peu avant la fin du XIe siècle, Robert d’Arbrissel fait siens les principes de pauvreté prônés par Grégoire VII et, cédant à son goût pour la vie solitaire, va vivre en ermite dans la forêt de Craon, à proximité de la Bretagne et de son village d’origine, vers 1091.

La concession de sept masures
Le 11 février 1096 , le pape Urbain II, qui a lancé, un an auparavant, l’appel à la première croisade, était à Angers, accompagné de nombreux prélats et des plus nobles seigneurs de la région.

Robert d’Arbrissel se trouva à cette illustre assemblée ; il avait prêché la veille devant le pape à la consécration de l’église de Saint-Nicolas de Craon. C’est à Angers qu’Urbain II, qui l’entend prêcher, est si content de ses sermons, qu’il lui confére le titre de prédicateur apostolique.

Geoffroy de Mayenne, évêque d’Angers, le reçut dans sa chambre avec Renaud Ier de Craon, fils de Robert le Bourguignon, seigneur de Craon, et ses fils.

C’est là qu’eut lieu la concession de sept masures dans la forêt où les chanoines purent s’établir en paix.

L’Abbaye de La Roë
Bientôt, une foule d’ermites, appelés anachorètes, sont attirés par la renommée de ses vertus et de la sainte austérité de sa vie, le rejoignent.

Rassemblés sous la direction de leur chef, qui leur donna la règle des chanoines réguliers récemment réformée et refondue par Yves de Chartres, ils devinrent cénobites *

Sa réputation de sainteté se répand et de nombreux clercs et laïcs le rejoignent, ce qui conduit à créer des logements qui deviennent l’Abbaye de la Roë.

*Aux premiers temps du christianisme, le cénobitisme était une forme de vie monastique en communauté, propre aux cénobites. Par opposition, les anachorètes ou ermites, vivaient seuls une vie consacrée à la prière et la contemplation.

http://www.la-roe.com/index.php?pg=11&PHPSESSID=ba4ad0d87d666c52e5b40ada17124499Ë

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Classé dans Département 35, Département 49 (a) , Abbaye royale de Fontevraud

-C- Le CELLIER du prieuré de Haute -Bruyère sis à EPERNON (28230)

Origine de l’image  ci-dessous :  http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Pressoirs

280px-Épernon_Les_Pressoirs_2

Origine de la notice  ci-dessous : http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=REF&VALUE_1=PA00097101

  Monuments historiques
édifice / site Ancien cellier dit Les Pressoirs
localisation Centre ; Eure-et-loir ; Epernon (28230)
destinations successives école
dénomination cellier
éléments protégés MH pressoir
époque de construction 13e siècle
historique Autrefois nommé Cellier de Haute Bruyère, il appartenait avant la Révolution aux religieuses de Haute Bruyère qui possédaient de nombreuses vignes dans les environs d’Epernon. Le cellier était une dépendance du prieuré, de l’ordre de Fontevrault, fondé au 12e siècle. L’édifice des pressoirs était la maison d’exploitation des droits et des biens que possédaient à Epernon les dames de Haute Bruyère. Deux pressoirs recevaient les vendanges. En 1792, les pressoirs alors dénommés pressoirs banaux, furent vendus comme biens nationaux. Le cellier, bâti en grès, présente à l’intérieur une rangée de contreforts et d’ouvertures irrégulières. Il est divisé en trois nefs, dont les voûtes sont supportées par deux rangées de piliers, disposés six par six et couronnés de chapiteaux grossièrement sculptés.
décor sculpture
propriété propriété de la commune
protection MH 1926/07/10 : classé MH
  Cellier dit Les Pressoirs (ancien) : classement par arrêté du 10 juillet 1926
visite ouvert au public
type d’étude Recensement immeubles MH
référence PA00097101
  © Monuments historiques, 1992
date versement 1993/09/14
date mise à jour 2005/07/18
Contact service producteur
voir aussi Arrêté de protection numérisé

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Classé dans Département 28

-C- Une plaquette de l’Association HISTOIRE et ARCHEOLOGIE du pays de Châlus consacrée au PRIEURE de BOUBON (CUSSAC-87150-)

Ces six pages  extraites du bulletin N° VII de l’Association sont précieuses, malgré l’habitude non isolée, de  qualifier  d’Abbaye  ce  qui, dans  l’Ordre de Fontevrault est un Prieuré ( seule  L’Abbaye royale de Fontevraud  a  rang et titre d’Abbaye) .

Voir  pour d’autre exemples : https://dictionnaireordremonastiquedefontevraud.wordpress.com/2013/04/14/s-le-syndrome-abbatial-de-quelques-prieures-fontevristes/

Voici le plan de cette  étude consultable sur place au siège social de l’association à Châlus

Boubon ou l’histoire d’une Abbaye de 900 ans                                         3 éme prieuré  fondé en 1106 par Robert d’Arbrissel aidé par l’Abbbesse  Pétronille de Chemillé, ruiné par les anglais en 1460, reconstruit  en 1528 ,  érigé en paroisse  en 1692,  fermé révolutionnairement  le 20 décembre 1791.

Quant  on arrive  à Boubon                                                                                                               De surprises en trésors                                                                           L’histoire  prestigieuse de locus Bobonis

 

La  vie à Boubon

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Classé dans Département 87

-S- Recueil des actes de l’Abbaye de la Roë (XI-XIIe siècles). SELECTION des ACTES concernant Robert d’ARBRISSEL

Archives en ligne

Cartulaire de l’Abbaye Notre-Dame de la Roë

Recueil des actes de l’Abbaye de la Roë (XI-XIIe siècles).

L’abbaye de la Roë, établissement de chanoines réguliers, fut fondée en 1096 par Robert d’Arbrissel dans la forêt de Craon, sur les confins de l’Anjou, de la Bretagne et du Maine. Robert d’Arbrissel est également le fondateur de l’abbaye de Fontevrault.
Ce cartulaire comporte 244 chartes, allant de 1096 à 1190 environ. Le volume, qui comprend 100 feuillets de parchemin, a été écrit presqu’entièrement dans la seconde moitié du XIIe siècle.
Reproduction exhaustive de ce cartulaire, qui est un des plus anciens documents conservés aux Archives de la Mayenne (cote H 154).
Le cartulaire a fait l’objet d’une édition par Mme Marie Hamon-Jugnet pour une thèse de l’École des Chartes soutenue en 1972 : « Cartulaire de l’abbaye Notre-Dame de la Roë : édition critique »  (non publiée et non communicable).
Tous les actes relatifs à Robert d’Arbrissel ont été analysés et sont consultables dans l’étude de M. Jean Bienvenu : « Genèse d’une abbaye canoniale : Notre-Dame de La Roë au tournant des années 1100 » , Angers, multigr., 1989, , 65 p. (Mémoire de maîtrise, Université catholique de l’Ouest) et « Genèse d’une abbaye canoniale Notre-Dame-de-la-Roë au tournant des années 1100 », dans La Mayenne: archéologie, histoire , 1991, n° 14, p. 9-37.
Cette étude est également consultable sur le blog de M. Jean Bienvenu : http://mes-recherches-en-histoire-medievale.over-blog.com/

http://www.lamayenne.fr/fr/Archives53/Archives-en-ligne/Cartulaire-de-l-Abbaye-Notre-Dame-de-la-Roe

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Classé dans Département 49 (a) , Abbaye royale de Fontevraud, Département 53, Ordre monastique de Fontevraud en son ensemble

-H-L’HOPITAL de « la » MONTESPAN à Fontevraud l’Abbaye

Lisez l’inscription sur la façade du n° 1 de la rue de la Corderie,  dans le bourg de Fontevraud, où se trouve l’ancien hôpital de Mme de Montespan, l’une des favorites de Louis XIV. Elle fit pénitence à Fontevraud auprès de sa sœur, qui en fut la 32ème abbesse. (NDLRB. de 1645 à 1704 , Marie-Madeleine Gabrielle  de Rochechouart de Mortemart) 

Elle y fit construire son ermitage en 1687 et le fit agrandir en hôpital en 1689.

Page 11 de la brochure  à laquelle  conduit le lien ci-dessous :  http://www.parc-loire-anjou-touraine.fr/fr/decouvertes/les-randonnees-et-circuits/images-decouvertes/circuit-patrimoine-fontevraud/image_view_fullscreen

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Classé dans Département 49 (b) , Commune de Fontevraud-L’Abbaye excepté l' abbaye, Ordre monastique de Fontevraud en son ensemble

-L- Livret PDF Bienvenue au Prieuré de Relay (37200. Pont-de-Ruan)

Au cœur de la Touraine, dans la vallée du Lys et à quelques kilomètres des châteaux de Balzac et d’Azay-le-Rideau se trouve le Prieuré de Relay. Ce sanctuaire du XIIème siècle qui était précédemment une dépendance de l’Abbaye royal de Fontevraud, est nichée aux confins de la forêt de Villandry.

Il est entouré par des hectares de campagne et de bois offrant des paysages de grande envergure dans un endroit véritablement exceptionnel. Les bâtiments restants de cette ancienne abbaye ont été reconstitués en partie et il est maintenant possible de visiter les différents ensembles classés tels que l’église et le pigeonnier et de découvrir ce site qui fut un passage des rois de France, de Charlemagne à Louis XIV, de Jeanne d’Arc et des pèlerins de  Compostelle.

La propriété se situe au bout d’un petit chemin à environ 10 min d’Azay-le-Rideau et 20 min de Tours. Saché, le village voisin de 3 Km, ou Balzac (Le Lys dans la vallée) résidait, dispose de quelques commodités. (Boulangerie, café, poste, ainsi qu’un marché le dimanche.) On y trouve également le fameux restaurant l’« Auberge du XIIème siècle ».

Livret PDF avec photos  des  bâtiments anciens  dont l’intérieur et l’extérieur de la chapelle Notre-Dame, page 2 et 3 du livret ;

http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=14&ved=0CEAQFjADOAo&url=http%3A%2F%2Fwww.prieure-de-relay.com%2Fbrochure%2Fbrochure%2520francaise%2520prieure.pdf&ei=GFDFUdL0LcvWPMrNgPAH&usg=AFQjCNF1fXfWa4Z-Xp5iKoZ1lbdbGGWCGQ&bvm=bv.48293060,d.ZWU

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Classé dans Département 37

Incertitudes concernant des lettres d’amortissement confirmées par une abbesse en mai 1258.

Mai 1258

Jehanne, abbesse de Fontevrault, confirme les lettres d’amortissement de la prieure de Haute Bruyère

  • B Bibl. nat. de France, lat. 5657, fol. 88.
  • a Cartulaire de l’Hotel-Dieu de Pontoise, éd. Joseph Depoin, Pontoise, 1886.
D’après a.

http://elec.enc.sorbonne.fr/cartulaires/Pontoise-Hotel-Dieu/0035

 

Attention.  la 12  e Abbbesse de l’Ordre 12441265 est  Mabile de la Ferté (ou de Blois) et non Jehanne http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_abbesses_de_Fontevraud

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Classé dans Ordre monastique de Fontevraud en son ensemble

-C- COLORIAGE Abbaye de Fontevraud

abbaye-de-fontevraud

http://www.fond-ecran-image.com/115957-coloriage-abbaye-de-fontevraud-france-maine-et-loire.php

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Classé dans Département 49 (a) , Abbaye royale de Fontevraud