Archives mensuelles : août 2013

-P- Activités 2013 réservées aux porteurs du PASS FONTEVRAUD

Avec désormais plus de 3000 PASSeurs, le Pass Fontevraud ne dément pas son succès ! Et parce que vous êtes fidèle à l’Abbaye de Fontevraud, plusieurs événements vous sont réservés tout au long de l’année ! Des visites exclusives, plusieurs soirées à passer en bonne compagnie et bien sûr le rendez-vous annuel des PASSeurs : une soirée festive dans le jardin de l’Abbaye rien que pour vous.
Détail du fragment du Jugement Dernier de Fontevraud
Le Trésor de Fontevraud
Samedi 9 mars à 15 h

Situé dans le chauffoir, ce nouvel espace muséographique présente une collection d’objets précieux avec notamment la pièce majeure du trésor : le fragment du Jugement Dernier de Fontevraud (XIIe siècle). Cette visite unique, commentée par Julie Guttierez, conservatrice des Monuments Historiques, vous permettra de mieux comprendre l’histoire de ces objets et leurs liens avec Fontevraud.
L’Abbaye à la Révolution
Samedi 27 avril à 15 h

Cette visite évoque les vingt années autour de la Révolution au cours desquelles la cité monastique devient cité pénitentiaire. Bien que transitoire cette époque est richement documentée et permet une lecture très précise de l’histoire de Fontevraud dans le contexte révolutionnaire.
Les jardins au Moyen Âge
Lundi 20 mai à 15 h

Dans les jardins de l’Abbaye, le guide vous relate l’histoire du potager et des herbes aromatiques. La visite se clôture avec une dégustation d’infusions à base des plantes sélectionnées dans le jardin.
Automne 2013
Les fouilles archéologiques

La Madeleine est l’un des quatre monastères historiques composant Fontevraud. Démantelée à la Révolution, les archéologues entreprennent pour la première fois des fouilles dans cette partie de l’Abbaye.
Informations pratiques

Les visites exclusives sont gratuites pour les porteurs du PASS Fontevraud
La réservation est obligatoire dans la limite des places disponibles.
Réservation : 02 41 51 45 11
Soirée annuelle PASSeurs 2012
Soirée annuelle des Passeurs
Vendredi 31 mai

Les détenteurs du PASS sont invités à une grande soirée champêtre. En 2012, la soirée a rassemblé plus de 350 personnes pour un dîner dans les jardins de l’Abbaye. Cette année encore plusieurs ateliers sont organisés ainsi que des visites exclusives.

Vous pourrez notamment découvrir le pôle énergétique, qui fait de Fontevraud, un monument pionnier en matière de gestion énergétique. Au programme, convivialité et bons moments, avec l’Abbaye pour vous, toute une soirée.

http://www.abbayedefontevraud.com/visite/pass-fontevraud/evenements-pass-fontevraud?utm_source=email-visite-tresor&utm_medium=email&utm_campaign=relance-email-visite-tresor

 

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Classé dans Département 49 (a) , Abbaye royale de Fontevraud

-A-Fontevraud, une femme et la fin d’un monde. Histoire de la DERNIERE ABBESSE DE FONTEVRAUD

9782842312190Résumé

L’histoire de Julie Sophie Gillette de Pardaillan d’Antin, entrée à l’âge de 2 ans à l’abbaye royale de Fontevraud. Mais la Révolution l’amène à s’enfuir, déguisée en paysanne, elle qui n’avait quitté l’abbaye qu’une seule fois à 14 ans.
Quatrième de couverture

Entrée à l’âge de deux ans à l’abbaye de Fontevraud, Julie Sophie Gillette de Pardaillan d’Antin est l’arrière-petite-fille de madame de Montespan, dont la sœur, Gabrielle de Rochechouart, était abbesse sous Louis XIV. Quant ses parents la confient à sa tante, Louise Françoise de Rochechouart, alors abbesse du lieu, Fontevraud est une abbaye prestigieuse et une exception remarquable dans le monde monastique. Abbaye royale, c’est le roi qui en désigne l’abbesse, souvent de sang royal, toujours de très haute lignée. Par une deuxième originalité, Fontevraud relève directement du pape, échappant totalement à l’autorité de l’Eglise de France. Enfin, spécificité exhorbitante, l’Ordre fontevriste est un ordre mixte où les hommes sont soumis au pouvoir des femmes.

Gillette d’Antin, que tout semble vouer à la vie monacale, quitte pourtant l’abbaye en 1739, à quartoze ans, pour assister, à la cour de Versailles, au mariage de la fille aînée de Louis XV. Confrontée au monde, qui la heurte, elle choisit alors d’assumer son avenir de moniale, et de goûter, dans la clôture, l’extrême liberté d’un destin qu’elle revendique.

Le prix de son engagement sera lourd. Trente-sixième abbesse de Fontevraud, elle en sera aussi la dernière. La Révolution, comme un ouragan, vient détruire un ordre sept fois séculaire. Chassée de l’abbaye en 1792, madame d’Antin s’enfuit, déguisée en paysanne. Elle se fond alors dans l’anonymat de la clandestinité, laissant planer sur ses dernières années, sur la date et les circonstances de sa mort, beaucoup de doutes et un peu de mystère.

http://www.laprocure.com/fontevraud-femme-fin-monde-monique-demagny/9782842312190.html

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Survolez le CLOÎTRE du GRAND MOÛTIER et admirez les peintures de sa SALLE CAPITULAIRE

Ce n’est  qu’avec réticence que nous  vous  communiquons le lien ci-dessous . L’objectivité et la  compréhension de ce qu’était l’ordre monastique de Fontevraud  ne paraissant pas être le fort de ce  blog ainsi que l’on verra à lire les lignes suivantes :

On se demande parfois à qui s’adresse le culte de Fontevraud !…(NDLRB. La  bonne réponse est  que le  culte s’adressait … à Dieu ! )  Abbesses de la haute noblesse, auriez-vous des appartements dignes de la Cour dans l’abbaye ? Regardez donc cette image à 360° ci-dessous…En zoomant, vous pourriez presque rentrer dans la salle capitulaire, que nous allons retrouver tout de suite. Regardez au-dessus de cette salle (droit devant vous) la lucarne renaissance richement sculptée… donnant sur l’appartement de l’abbesse. Un peu incongrue dans une abbaye, vous ne trouvez pas ? Et une cheminée ! Pour le seul appartement chauffé de l’abbaye : celui de l’abbesse bien sûr !… les nonnes n’ont le droit d’avoir chaud que dans une salle commune, le « chauffoir ». Ah ! La « pauvreté » de la règle bénédictine ! Comme elle est respectée !…

Ce site est pourtant d’un grand intérêt pour les quinze images  qu’il donne de la salle capitulaire et pour l’assez  bluffante vue du cloître du Grand moûtier prise  en hauteur.

(N’hésitez surtout pas à vous promener sur cette image, tournez, avancez, reculez…et mettez-la en plein écran)

http://www.histoires-et-aventures-en-pays-de-loire.com/article-43-abbesses-et-pensionnaires-de-fontevraud-48734866.html

 

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-L- PRIEURE DE LONGPRE (02600 Haramont) in Histoire et génèalogie AXONAISE (Aisne)

HARAMONT
Canton : Villers-Cotterêts
Arrondissement : SOISSONS
Variante : ARAMONT.
Ancien nom : Hara ou Harimons, Haramontium, Haraldi mons.
Population : 606
Patron : St Clément, pape et martyr.
Lien :
Mairie : 1 Place Verdun02600 HaramontTél : 03.23.96.22.39lundi, vendredi : 14-19HMardi : 9h-11h

Mercredi : 16h-19h

Informations Utiles
 – Relevés
 – Cotes des microfilms aux AD02
 – Archives notariales
 – Monuments aux morts
 – Cimetières
 – Hommages
 – Articles liés à cette commune
 – Personnalités liées à cette commune
 – Les gens
 – Monographie
 – Visites virtuelles
l’église – Maryse Trannois

Histoire :

Village de l’ancien Valois, bâti au pied d’une haute colline, à 70 k. au S.-O. de Laon et 30 de Soissons, autrefois de l’intendance de cette ville, élection de Crespy, bailliage de Villers-Cotterêts, diocèse de Soissons, aujourd’hui du canton de Villers-Cotterêts, arrond. et diocèse de Soissons.

L’église est le seul monument remarquable d’Haramont. La nef est large, mais elle est éclairée de petites fenêtres assez curieuses de l’époque romane. Elle contient deux beaux sanctuaires des premières années du XIIIe siècle. Chaque sanctuaire est composé de 2 travées, voutées à arceaux avec gros tores. Des piliers cantonnés de 12 colonnes engagées, chapiteaux à feuilles et crochets. (Bulletin de Soissons XVI, 184).

Les fenêtres géminées à rosace contiennent un reste de vitraux de couleur que l’on attribue aux XIIIe siècle. La porte est plus moderne. Cette église s’est enrichie des dépouilles du couvent de Longpré.

Parmi les choses précieuses qui ornent l’église on remarque :

sept reliquaires,

un tabernacle en marbre blanc du XVIe siècle,

un très vieux tableau sur bois,

un tableau représentant Ste Anne et la Vierge enfant, qui est attribué à Jean Jouvenet.
Il y a à Haramont un endroit appelé « le château Gaillard » où il existait un château ou peut être un fort. Etait-ce château qui fut érigé en fief en faveur de Nicolas de Lancy par lettres patentes de décembre 1635, enregistrées le 5 aout 1638 ? ou ne serait-ce point le château des Fossés ? Nous penchons plutôt pour ce dernier.
Haramont a été souvent célébré par Alexandre Dumas dans ses romans : Ange Pitou et Conscience l’Innocent sont d’Haramont.
Ce village a une industrie particulière : la vannerie. Aussi l’osier est très cultivé et la récolte en est la vrai moisson. Cette récolte qui se fait dans le mois de mai a donné lieu à ce proverbe :
Les poules d’Haramont jeûnent pendant la moisson.
Le château des Fossés, ancienne résidence du comte Desgrigny, a été pendant quelques temps habité par le général Dumas, le père de notre grand romancier.
En dernier lieu, les Fossés, devinrent la propriété de M. Hoertling, ancien ministre plénipotentiaire du grand duché de Mecklembourg Schwerin, qui est décédé il y a quelques mois. Le Château des Fossés, malgré ses beaux arbres fait peine à voir; il est dans un état de délabrement impossible à décrire.

Longpré (Longum pratum) fut autrefois un prieuré de l’ordre de Fontevrault, qui se trouvait dans l’étendu de la paroisse d’Haramont.
Ce couvent fut fondé en 1180 par 1a comtesse Éléonore ; il remplaça un chapitre de clercs réguliers dépendant du monastère de St Médard de Soissons.
En 1184, la comtesse Éléonore et son mari Mathieu de Beaumont, font réparer et augmenter la maison de Longpré, et rebâtir 1’église sous l’invocation de Ste Anne et de la trinité (Muldrac, p. 50).
En 1190, le pape Clément III confirma la nouvelle fondation, et les religieuses s’établirent aussitôt.
Carlier cite une charte de 1225, par laquelle Jacques de Bazoches évêque de Soissons, déclare que Raoul d’Estrées a assuré une rente de 20 muids de bled sur son moulin de Vez à l’église de Longpré en échange d’un vivier.
Cette abbaye possédait les reliques de Ste Léocade que le sieur Lépine curé d’Haramont lui avait données. Ce prêtre les avait retirées des mains d’un soldat royaliste qui les avait recueillies dans le pillage de Vic-sur-Aisne, en 1590.
Les reliques de Ste Léocade étaient fort vénérées. Elles guérissaient tous les maux. On y allait en pèlerinage de tous les environs.
Le 17 décembre 1622 le feu prend au monastère : le cloitre, le réfectoire, les dortoirs et l’église sont la proie des flammes. Les pauvres religieuses sot aux abois et ne savent où se réfugier. En voyant l’incendie atteindre l’église, trois religieuses y pénétrèrent, au milieu des flammes pour sauver les reliques de Ste Léocade. Au moment où elles arrivent, avec la chasse à la porte de l’église, l’incendie cesse tout-à-coup.
C’était là presque un miracle, mais l’historien de Vez qui le rapporte s’étonne que l’incendie ait brulé tant que la sainte est restée dans l’église et qu’il se soit éteint dès qu’elle est sortie (notice sur Vez).
En juin 1624, ce n’est plus le feu, c’est l’eau qui vient s’abattre avec violence sur le couvent. Un épouvantable orage, mêlé de pluie et de grêle, éclate sur la contrée. Bientôt la pluie forme deux torrents qui descendent des hauteurs et se dirigent avec tumulte vers le prieuré, renversant tout sur leurs passages. En un instant, l’onde furieuse envahit le monastère, deux religieuses exposent encore leurs vies pour sauver les reliques de Ste Léocarde, mais cette fois les reliques sont impuissantes. Les bâtiments sont inondés. L’eau amène avec elle des masses de sable et de gravier, la plaine en est couverte ; le corps de logis en est rempli. Des murailles entières s’écroulent renversées par la force du torrent.
Cet ouragan terrible fait d’immense dégâts. Il fallut plus de quinze ans pour les réparer entièrement.
Longpré possède une légende qui se rapporte à peu près à cette époque.

Nous voulons parler de l’aventure du Baudelot blanc , que nous avons raconté amplement dans un feuilleton du Progrès de l’Aisne (N° des 30 novembre et 2 décembre 1866).

En voici en deux mots l’analyse.
Le couvent du Lieu Restauré près Vez était un monastère d’hommes. Or, rapporte la légende, les moines du Lieu Restauré visitaient fréquemment les nonnes de Longpré.
Quand le chemin était beau, ils suivaient, la sente du fond de la vallée et personne, ne les voyait; mais si le chemin était impraticable, ce qui avait lieu par les temps de pluie ou de neige, ils étaient obligés de passer sur la hauteur et couraient grand risque d’être vus.
Pour éviter des rencontres importunes, un des moines imagina de se couvrir d’un vêtement blanc et lorsqu’un fâcheux s’approchait, le moine marchait « à 4 pattes » de sorte que le paysan qui, d’abord avait aperçu « un Baudelot blanc » se signait, s’imaginant assister une apparition diabolique.
La peur du Baudelot blanc, dura longtemps, puisqu’elle est encore toute vivace chez la plupart des habitants de Vez.

Nous avons parlé de la fermeture du couvent en 1790. Il sert aujourd’hui de ferme, et n’a pas conservé grand chose de son antique splendeur.
On voit cependant encore la porte de l’église dont les colonnettes avec chapiteaux sont du XIIe siècle ; deux cotés délabrés ont sans doute été compris dans les restaurations faites après l’inondation et l’incendie, de même que la salle capitulaire dont les 6 travées sont soutenues par des colonnes. Un escalier à moulure renaissance, et de petites portes dans la cour du même style.
La porte d’entrée, plus moderne, est des premières années du XVIIIe siècle. (Bulletin de la Société archéologique de Soissons.)
Le couvent de Longpré, avait un sceau qui a été retrouvé il y a quelques années seulement. Ce sceau a fait longtemps partis de la collection de M. Tronchet fils, et est devenu depuis la propriété du musée de Soissons. On lit autour : Sigillum conventus de tango prato.
Sous un dais aux draperies ouvertes parait Ste Anne tenant la Vierge dans ses bras; sur la droite, deux religieuses à genoux l’adorent. Dans le bas, les armes d’Orléans.

La communauté de Longpré était composée avant la révolution, selon l’état civil et ecclésiastique de Houllier, de 17 dames de choeur et de 8 soeurs de la vocation de Marthe. Elle était gouvernée au dedans par une prieure élective et triennale et au dehors par un prêtre de l’ordre pour le spirituel – et pour le temporel par un procureur, au choix de la maison, ainsi que le chapelain. Les religieuses vivaient sons la règle de St Benoît et se prétendaient exemptes et franches des dîmes (Houllier, Etat du diocèse de Soissons, p. 471.) Culture en 1760, 300 arp. de terres.

http://www.genealogie-aisne.com/fiche_commune.php?code_insee=02368

 

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-P- l’ABBAYE de FONTEVRAUD: « Perle des Abbayes »

L’Abbaye de Fontevraud fut longtemps considérée comme « la perle des abbayes ». En effet, étaient recrutées ici essentiellement  des religieuses de sang noble. Trente-six abbesses se succédèrent, elles provenaient toutes de la plus haute aristocratie, en 1739 ce sont les filles de Louis XV qui y vinrent pour parfaire leur éducation. Qui à l’époque pouvait imaginer qu’un jour ce serait un pénitencier qui succèderait à l’abbaye, et qu’on enfermerait là les bagnards en partance pour Cayenne

http://ligerien.christian.pagesperso-orange.fr/ABBAYE%20DE%20FONTEVRAUD.htm

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-P- Le PORTAIL PRINCIPAL de l’Abbatiale Sainte-Marie de Fontevraud

61352274

http://doucetpiquante2.canalblog.com/albums/jardin_de_la_france____/photos/61352274-fontevraud___29_janvier_2011.html

 

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-C- Prieuré de LA CHAISE-DIEU (27580 CHAISE-DIEU-DU-THEIL)

27580  CHAISE-DIEU-DU-THEIL

Eglise Notre -Dame   du Theil

Les communes de Chaise-Dieu qui signifie « casa » ou « maison de Dieu » et du Theil ont été réunies en 1836. Présence d’un ancien Prieuré du XIIe, de l’Ordre de Fontevrault, bâtiments conventuels en damier de pierre, brique rouge et silex. Certains bâtiments persistent et sont bien conservés, par contre il ne reste de l’église prieurale que des vestiges du XIIe. Église Notre Dame du Theil XIIe, remaniée au XVI et XIXe.  Statuaire des XVe, XVIe et XVIe.

http://patrimoine-religieux-eure.a3w.fr/DetailElement.aspx?numStructure=54784&numElement=30154

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« LUCIE » s’est intéressée aussi à L’ABBAYE DE FONTEVRAUD dans son « Tour du monde »

L’abbaye de Fontevraud: une abbaye mixte dirigée par des femmes

Posted by Lucie on Wednesday, September 21, 2011 avec quatre photos que  vous retrouverez  , l’article et les photos, grâce au lien ci-après.

http://mytourduglobe.com/2011/09/21/labbaye-de-fontevraud-une-abbaye-mixte-dirigee-par-des-femmes/#respond

 

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-O-Occurence des mots « Fontevrault » et « Prieuré » dans le DICTIONNAIRE HISTORIQUE DES COMMUNES  » Site des ARCHIVES départementales de la VENDEE ».

Dans la  base  de données  Dictionnaire historique des commune sur le  site des archives départementales de la Vendée  , l’interrogation sur les deux mots clefs  suivants ; « fontevrault », «  prieuré »  par le  biais du lien suivant

http://communes-archives.vendee.fr/recherches/simple?q=fontevrault+prieur%C3%A9&donnees_identitaires=0&donnees_identitaires=1&geographie_historique=0&geographie_historique=1&institution_locales=0&institution_locales=1&monuments_equipement=0&monuments_equipement=1&activites_industrielles=0&activites_industrielles=1&enquetes=0&enquetes=1&personnalites=0&personnalites=1&evenements=0&evenements=1&references=0&references=1

fait apparaître les deux résultatssuivantes :

Fougeré (85480)
Montaigu (85600)

D’où les pistes de recherches ultérieures suivantes :

Pour  Fougeréhttp://www.google.fr/search?client=opera&rls=fr&q=fouger%C3%A9&sourceid=opera&ie=utf-8&oe=utf-8&channel=suggest#bav=on.2,or.r_qf.&channel=suggest&fp=258db81d5882eb5&q=fouger%C3%A9+fontevrault&rls=fr&safe=off

 

Pour  Montaigu:   http://www.google.fr/search?client=opera&rls=fr&q=fouger%C3%A9&sourceid=opera&ie=utf-8&oe=utf-8&channel=suggest#bav=on.2,or.r_qf.&channel=suggest&fp=258db81d5882eb5&q=montaigu+fontevrault&rls=fr&safe=off

 

 

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-L- Le prieuré de LA REGRIPPIERE-EN-VALLET (44330) DETRUIT en 1793 par LES COLONNES INFERNALES

Commune née en 1863 d’une scission de la Commune de VALLET par décret impérial du 25 février 1863, agrandie en 1891 par une portion du territoire de la CHAUSSAIRE, commune contiguë du Maine et Loire.

Historique de la commune

A la Regrippière, dès la préhistoire, du mésolithique au néolithique, certains sites sont déjà occupés. Un peu plus tard, à l’époque protohistorique, des traces d’occupation sont patentes, en témoignent les nombreuses haches en pierre polie exhumées ici et là, il y a encore quelques décennies, sur le territoire de la commune par les laboureurs qui avaient encore le temps de regarder le sillon s’ouvrir, aux pas lents de leurs bœufs…

Au début du moyen âge, les terres qui sont aujourd’hui le bourg et ses dépendances les plus proches, n’étaient pas encore habitées de façon permanente. Elles étaient dites « les Landes de Clisson » et étaient livrées aux bêtes sauvages : Sangliers, loups, et autres cerfs et chevreuils…
A la lecture des textes anciens, notamment le cartulaire de Fontevrault (en 1108) en son folio 685, apparait le nom d’Escoublant, premier toponyme de notre actuelle commune.

C’est précisément à cette époque (début du XII° siècle) que Robert d’Arbrissel, moine ermite, reclus au Lac Roger (commune de la Chaussaire) vint installer un oratoire dépendant de l’Abbaye Royale de Fontevrault. Cette nouvelle fondation pris le nom de Prieuré, sis au « Régis Perrieri » (les carrières du Roi, en latin) qui deviendra par transformations linguistiques successives « La Regrippière ».

A cette époque et pour encore plusieurs siècles, cette terre dépendra de la Paroisse de Vallet.

A proximité se situait la seigneurie de la Ragotière, ou l’on peu encore voir quelques vestiges du domaine féodal, notamment la chapelle de l’ancien château.

Le prieuré, au fil des siècles, connu parfois une vie mouvementée peu respectueuse de la règle conventuelle, certaines Prieures eurent des démêlées avec leur suzeraine, l’Abbesse de Fontevrault, qui dû remettre de l’ordre, tant chez les moniales, que chez les moines qui, pendant un temps, se sont partagé le domaine Prieural.

A la révolution une loi fut votée (en 1792) ordonnant la fermeture des maisons religieuses, le prieuré de la Regrippière allait disparaitre, il fut effectivement détruit, en 1793 par les colonnes infernales.

Il reste très peu de ruines pouvant témoigner de la présence du prieuré… quelques pans de murs derrière la médiathèque, et les contreforts de l’actuelle église, c’est tout !…

La paroisse fut crée en 1820 et la commune, par décret impérial du 25 février, en 1863, dès cette époque le nom de la Regrippière prévalut sur tous les autres toponymes (Escoublant, Escoufflant…)

Pour la petite histoire, il est intéressant de noter qu’en droit féodal, le prieuré de la Regrippière rendait hommage à l’Abbesse de Fontevrault, qui le reportait directement au Saint Siège… Les Papes étaient donc, en ces temps là, les suzerains du prieuré de la Regrippière !…

Encore récemment, il n’y a guère plus d’un siècle, par bref Pontifical du 16 octobre 1895, le Pape Léon XIII titra Jean-Baptiste Joseph Lord de la Ragotière « Duc d’Escoublant Héréditaire ». Il est à noter qu’en 2004, un de ses descendants, Jacques Lord de la Ragotière à été admis dans » la Réunion de la Noblesse Pontificale » (association internationale qui regroupe les descendants des familles titulaires d’un titre Pontifical).

http://www.mairie-laregrippiere.fr/index.php/Outils/imprimer?idpage=544&idmetacontenu=

 

 

 

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