« Henri II fit construire sur la Vienne prés de Chinon le pont aux Nonnains ainsi nommé dit-on parce que le roi le traversait souvent pour aller voiir les religieuses de Fontevrault dont la chasteté était véhémentement soupçonnée Ce pont commémoratif de ces excursions galantes existait encore il y a soixante ans ».
« Beaucoup pleuraient à le voir passer – dans sa bière , pour être inhumé à l’Abbaye royale – une dernière fois sur ce Pont aux Nonains, qu’en son amour pour le Moustier, il avait jeté sur la Vienne. »
Mémoires de la société impériale d’agriculture, sciences et arts d’Angers (Ancienne Académie d’Angers) nouvelle période tome neuvième — première partie (1866)p. 232
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