Les éditions de Lyon, et celle de 1626 (et celle de 1552), ont substitué au nom de Fonthevrault celui d’abbaye de Coingnaufond. Rabelais, si tant est que ce soit lui qui ait choisi l’abbaye de Fontevrault pour la scène de ce conte, ne savait peut-être pas que cela avait été autrefois un usage singulier dans l’ordre de Fontevrault, que les religieuses se confessassent d’abord à leur abbesse laquelle les, envoyait ensuite à un prêtre pour s’y confesser de nouveau, et en recevoir l’absolution.