Un bijou du patrimoine religieux
Le patrimoine religieux de Fontevraud-l’Abbaye n’est pas entièrement dans l’enceinte de l’abbaye; l’église paroissiale Saint Michel est un petit bijou avec ses auvents et son mobilier exceptionnel.





La photo a été prise lors d’une visite de l’APF dans ce qui est de facto le dernier prieuré fontevriste subsistant.
Merci à Joëlle Gautier-Ernoul qui a bien voulu nous faire parvenir cet émouvant document.
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le Président Chombart de Lauwe est en haut au milieu de la photo avec une cravate rouge. Son épouse est à sa gauche.
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Merci à Joelle Ernoul qui nous a transmis cette photo respectivement trés émouvante. Le président Chombart de Lauwe est au milieu en haut de l’image avec une cravate rouge. A sa gauche est placée son épouse.
Site de Joelle Ernoul https://prieuresfontevristes.fr/
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Joëlle Gautier-Ernoul
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Codes postaux des prieurés fontevristes aux bâtiments reproduits.
Esteil (63156), Sainte-Florine ( 43250), (Vic le comte-63270).
Rassembler les personnes physiques et morales s’intéressant à l’histoire, l’architecture, et la vie monastique dans les prieurés dépendant de l’abbaye de Fontevrault ; effectuer toutes études et toutes recherches historiques, archéologiques, architecturales en rapport avec l’Ordre de Fontevrault
L’identifiant Waldec de cette association dans le Répertoire National des Associations (RNA) est le numéro W361000588
Michel Melot est un ancien conservateur de la Bibliothèque nationale de France (BnF) et ancien directeur de la Bibliothèque publique d’information du Centre G. Pompidou. Après sa sortie de l’École des chartes, il dirigera pendant deux ans le département des estampes et de la photographie à la Bibliothèque nationale en tant que conservateur. Michel Melot est un spécialiste de l’Abbaye royale de Fontevraud. Il est notamment l’auteur de la thèse intitulée “L’abbaye de Fontevrault de la réforme de 1458 à nos jours : étude archéologique”, thèse qui lui permettra d’obtenir le diplôme d’archiviste paléographe en 1967. En juin 2022, il publie le livre intitulé “Histoire de l’abbaye de Fontevraud – Notre-Dame-des-pleurs 1101-1793″ qui raconte, sur près de huit siècles, l’histoire exceptionnelle de l’Abbaye royale de Fontevraud.
Histoire de l’abbaye de Fontevraud – Notre-Dame-des-pleurs 1101-1793, CNRS eds., 2022 https://www.fontevraud.fr/event/conferences-et-dedicaces/
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Dans le dernier numéro de la revue culturelle des Pays de la Loire « 303 arts, recherches, créations », la part belle est faite aux collections du Musée d’art moderne de l’Abbaye de Fontevraud. Ce dernier volume de la revue est consacré au Masques. Sujet étonnant et on ne peut plus large. Ce terme nous évoque aujourd’hui une période pas si lointaine où cet objet, dont on ne prononçait autrefois quasiment jamais le nom, est devenu l’un des accessoires les plus importants de notre quotidien.
Le masque est un objet très particulier qui nous protège, sur le plan sanitaire, sur le plan de l’identité, sur le plan des émotions… Du carnaval, à la médecine en passant par le monde du travail et l’art, la revue « embrasse la diversité des masques, et leur pouvoir de reconfigurer notre rapport à soi et à l’autre. » Dans les premières pages, la plume a été confiée à Dominique Gagneux, directrice du Musée d’art moderne de Fontevraud. Sur plusieurs très belles pages, elle revient sur l’étonnante et hétéroclite collection du musée fondée grâce à une donation des époux Cligman, amoureux (d’art). Parmi les peintures, sculptures et autres créations, on trouve d’innombrables masques aux origines multiples et aux temporalités tout aussi variées. Ces quelques pages sont donc l’occasion de se plonger dans ces collections et plus particulièrement dans ces objets d’art, leur histoire, leur symbolique, leur présence dans la collection du couple de collectionneurs… Pour en apprendre davantage, retrouvez l’article complet dans la dernière revue 303 disponibles à partir du 17 novembre 2022. https://www.editions303.com/le-catalogue/masques/
A propos de Dominique Gagneux : Spécialiste de l’histoire de l’art du 20e siècle, Dominique Gagneux a été conservatrice en chef au musée d’Art Moderne de Paris. En 2018, elle a été nommée pour préfigurer puis diriger le musée d’art moderne de Fontevraud, collections nationales Martine et Léon Cligman inauguré en 2021.
Dans la dernière revue des éditions 303 consacrée aux « masques », plusieurs pages sont dédiées aux collections du musée d’art moderne de l’Abbaye de Fontevraud sous la plume de la directrice du musée.
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« L’église s’était écroulée au début des années 1800« , explique Agnès Chombart de Lauwe. « C’était complètement en ruine, il n’y avait plus rien. Des arbres avaient poussé, il y avait des mauvaises herbes… Il ne restait que les quatre murs de la structure, qui se détérioraient chaque hiver à cause du gel. Nous nous sommes dit, avec mon mari : si nous ne faisons rien, ce sera perdu pour l’éternité. » En 2006, le couple fait donc appel aux services de la DRAC (direction régionale des affaires culturelles) pour déblayer et estimer la valeur des ruines. Car sous les gravats, se cachent plusieurs colonnes qui composaient auparavant la structure de l’église. « Les experts de la DRAC sont venus à deux ou trois et nous on dit : on n’a jamais vu autant de chapiteaux inconnus, c’est absolument incroyable, c’est une caverne d’Ali Baba. On va vous aider à restaurer« , se rappelle Agnès Chombart de Lauwe.
Les travaux commencent alors, co-financés en partie par la DRAC et le Conseil départemental. Mais ils sont surtout le fruit d’un lourd investissement personnel, raconte la propriétaire : « Nous financions le reste des travaux, et de toutes façons, il fallait avancer le prix. C’est vraiment un gros « fil à la patte » et beaucoup d’abnégation que de se lancer dans une telle entreprise. Il ne faut pas croire que ça se fait comme ça, en claquant des doigts. Et les travaux ont duré sept ans. » Le prieuré retrouve sa splendeur d’antan en 2014. Depuis, les propriétaires s’engagent à l’ouvrir à la visite quarante jours par an, afin de continuer à percevoir les aides des pouvoirs publics.
Agnés et François Chombart de Lauwr devant une des oeuvres de leur vie. Le pieuré de Longefont.
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