Fontevrault ( écrit de façon contemporaine : Fontevraud) fut une véritable colonie établie par Robert d’Arbrissel dans un pays désert, sur les confins de l’Anjou et de la Bretagne. Des familles entières cherchèrent un asile sous la direction de ces Bénédictins il s’y forma des monastères de veuves, de filles, de laïques, d’infirmes et de vieux soldats. Tous devinrent cultivateurs, à l’exemple des Pères, qui abattaient eux-mêmes les arbres, guidaient la charrue, semaient les grains et couronnaient cette partie de la France de ces belles moissons qu’elle n’avait point encore portées. |
![]() Les infirmeries Saint-Benoît de Fontevraud vues de la colline dominant le Prieuré saint Lazare |
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![]() Le chevet de l’Abbatiale Sainte Marie de Fontevraud |
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La colonie fut bientôt obligée de verser au dehors une partie de ses habitants et de céder à d’autres solitudes le superflu de ses mains laborieuses. Raoul de la Futaye, compagnon de Robert, s’établit dans la forêt du Nid-du-Merle , et Vital ( NDLRB . dit Vital de Savigny , autre bénédictin, dans les bois de Savigny – 50640). La forêt de l’Orges, dans le diocèse d’Angers, Chaufournois ( 37360. Rouziers de Touraine) , aujourd’hui Chantenois, en Touraine ( NDLRB : Orthogrape actuelle, L’encloître en Chaufournais); Bellay, dans la même province ; la Puie, en Poitou (86260) ; l’Encloître (86140), dans la forêt de Gironde ( NDLRB : Orthogrape actuelle, Lencloître) ; Gaisne(86420), à quelques lieues de Loudun ; Luçon( NDLRB . Tusson ? 16390,) dans les bois du même nom ; la Lande, dans les landes de Garnache ; la Madeleine (NDLRB . Orléans -45000-) , sur la Loire ; Bourbon, (NDLRB. Orthographe actuelle, Boubon- CUSSAC 87150) en Limousin ; Cadouin, en Périgord(24480) ( NDLRB. Ce prieuré a cessé asez vite d’être une ilmplantation fontevriste) ; enfin Haute-Bruyère( Saint-Rémy-l’ Honoré (78690), près de Paris, furent autant de colonies de Fontevrault, et qui pour la plupart, d’incultes qu’elles étaient, se changèrent en opulentes campagnes.François-René de Chateaubriand Extrait du Génie du christianisme (paru en 1802)http://savignyenveron.free.fr/Fontevraud.htm Et aussi . http://fr.wikisource.org/wiki/Génie_du_christianisme/Partie_4/Livre_6/Chapitre_VII |
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-C- Chateaubriand fait l’éloge de L’ORDRE de FONTEVRAULT dans le GENIE DU CHRISTIANISME ( Notice du 8 février 2013 refondue le 28 janvier 2015)
Bertrade ou Berthe de Montfort ( vers 1060-1117-1118) second épouse du roi Philippe Ier , fondatrice du prieuré des Hautes-Bruyères
le Prieuré des Hautes-Bruyères (78690. SAINT REMY L’HONORE)
http://www.tombes-sepultures.com/crbst_1053.html
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-M-Mesdames , filles de Louis XV, à l’Abbaye de Fontevraud
Au début de l’année 1739, des travaux sont entrepris pour aménager l’ancien logis Bourbon construit par la tante d’Henri IV, Eléonore de Bourbon, tout proche du logis abbatial. On y ajoute une aile supplémentaire. Mais les princesses ne pourront emménager qu’en 1741.
« …Pendant trois ans on logea les princesses par des moyens de fortune : Mesdames Quatrième et Cinquième dans les appartements de l’abbesse, Mesdames Sixième et Septième dans un bâtiment délabré, voisin du logis abbatial. Ce qui devait arriver arriva : dès les premières froidures de l’automne 1738, Mesdames Cinquième, Sixième et Septième tombèrent malades. On craignit même pour la vie de la dernière, et l’on décida de la baptiser sans plus tarder […] La cérémonie eut lieu le 20 décembre 1738, dans l’église paroissiale Saint-Michel, en présence du curé et de Madame [l’abbesse] de Rochechouart. […] la petite fille reçut le nom de Louise-Marie. Vu les circonstances, elle fut placée sous la protection particulière de la Vierge Marie, et, selon la tradition, vouée au blanc pour un an […] Madame Louise une fois revenue à Versailles, n’oublia pas cette paroisse où elle avait aussi reçu la première communion et la confirmation. Les princesses continuèrent d’y faire leurs Pâques chaque année, même après l’achèvement de leur chapelle privée. En 1755, elles envoyèrent au curé un tableau représentant « Saint Joseph tenant dans ses bras l’enfant Jésus ». » (Bernard Hours,« Madame Louise, princesse au Carmel », Cerf, 1987)
L’éducation que la petite princesse reçoit des religieuses à qui elle est confiée tend à la préparer au rang qu’elle aura à tenir dans le monde, mais aussi à dompter son orgueil et sa vivacité parfois mordante. A une suivante qui, un jour, tarde à la satisfaire, elle rappelle avec dédain Je suis la fille de votre roi !… Et moi, Madame, je suis la fille de votre Dieu ! s’entend-elle répondre. Elle acquiert ainsi une lucidité qui lui permet de se remettre en question et de se corriger. Sans doute se souviendra-t-elle des talents pédagogiques de ses éducatrices quand elle aura elle-même la charge du noviciat à Saint-Denis.
(Mère Thérèse de Saint-Augustin, conseils à ses novices)
Toute petite, Madame Louise apprend à aimer Dieu, ressentant déjà, de façon enfantine le désir de se donner toute à lui. Sa générosité allant avec l’impétuosité de son tempérament est accompagnée cependant du scrupule d’être indigne de tant d’amour. Cela au point qu’elle appréhende presque le moment de sa première communion : Il n’est pas encore temps d’y penser. La cérémonie a lieu le 21 novembre 1748, jour de la fête de la Présentation de la Vierge. Elle a alors douze ans et en gardera toujours un souvenir ému : A peine mes premières années s’étaient-elles écoulées, à peine les enseignements de votre sainte religion avaient-ils pénétré mon âme, que vous y fîtes naître une piété affectueuse pour le sacrement de vos autels. Je ne soupirai plus qu’après le moment de vous y recevoir, de vous y posséder : une foi vive, un ardent amour, avec de nouveaux dons de votre grâce, accrurent encore mes désirs. Vous les entendîtes pour les exaucer, Dieu de bonté ! Vous les avez couronnés en me donnant votre corps pour nourriture. Ô faveur qui jusqu’au dernier instant de ma vie sera présente à ma reconnaissance ! (« Méditations Eucharistiques, Fête de la présentation de la Sainte Vierge »)
Jamais le couple royal ne fera le voyage pour rendre visite à ses filles. En septembre 1747 cependant, Jean-Marc Nattier est dépêché auprès d’elles pour faire leurs portraits. En découvrant le visage de Louise la reine commente : …je n’ai jamais rien vu de si agréable que la petite. Elle a la physionomie attendrissante et fort éloignée de la tristesse […] elle est touchante, douce spirituelle (Lettre à la duchesse de Luynes, citée par le duc de Luynes, « Mémoires », t. VIII, p. 309). Le peintre a su faire ressortir le charme et la fraîcheur de la petite princesse. Il a aussi habilement « gommé » la déformation de son dos, due à une scoliose ou à une mauvaise chute que Louise aurait faite en voulant descendre seule de son lit alors qu’elle était encore à Fontevraud. Il y a loin du charme de la petite fille à l’apparence, peu avenante il faut bien le dire, de la femme qui plus tard se dépeindra ainsi, avec un humour teinté de cruauté : Votre servante est fort petite, grosse tête, grand front, sourcils noirs, yeux bleu-gris-brun, nez long et crochu, menton fourchu, grasse comme une boule et bossue. (Lettre à la Prieure du carmel de Bruxelles, 6 mars 1783)
Agée de quinze ans, Victoire retourne à Versailles en 1748. Louise et Sophie devront patienter deux années encore.
-R- De quelques rapports entre l’EGLISE et le PRIEURE FONTEVRISTE DE HAUTE-BRUYERE. Saint Remy L’Honoré (78690)
Une nouvelle consécration de l’église eut lieu lors de l’ajout du bas coté sud (XVIe siècle) : 12 pierres sculptées croix de consécration fleurdelyssées sont visibles dans la nef, le bas coté et le vestibule d’entrée de la tour-clocherEn 1793, plusieurs œuvres d’art furent transportées du prieuré des hautes bruyères dans l’église paroissiale de Saint Rémy l’Honoré (4 grands tableaux, l’horloge, ..)
http://www.saintremylhonore.fr/A_voir_A_visiter.php et aussi : http://jeanalain.monfort.free.fr/78/HauteBruyere.htm
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-C- De quelques TRAITS de CARACTERE de Madame LOUISE, fille de Louis XV, élevée à l’Abbaye royale de Fontevraud
Dernière fille du roi, Madame Louise est née le 15 juillet 1737 et fut élevée avec trois de ses sœurs à l’abbaye de Fontevrault. Elle y fut portée à l’âge de onze mois ; peu de temps après son arrivée, elle souffrit d’une indisposition si grave qu’on songea, puisqu’elle avait été ondoyée, à parfaire sur-le-champ les cérémonies du baptême et à la placer sous la protection spéciale de la Sainte Vierge… et le mal céda.
Tout est attirant dans le caractère de cette petite fille qui déclarait à l’âge de quatre ans : « J’aime beaucoup le bon Dieu ; je lui donne mon cœur. Que me donnera-t-il en retour ? » Ces défauts eux-mêmes la poussaient à une humilité plus grande. Une de ses suivantes, qui portait un bandeau sur un œil malade, lui faisait une observation inexacte :
« Si vous y mettiez vos deux yeux, dit assez méchamment la princesse, vous ne me verriez peut-être pas faire ce que je ne fais pas.
– J’ai assez d’un œil, Madame, répliqua la servante, pour voir au moins que vous êtes bien orgueilleuse. »
Madame Louise en resta tout interdite :
« Vous avez raison. Me pardonnez-vous ? »
Et elle ajouta, avec un soupir très convaincu :
« Hélas ! Il faudra que je m’en confesse. »
-M- Prieuré Saint-Georges de Mantes-La-Jolie (78200) dépendant pour partie (?) de l’Abbaye de Fontevrault
LE PRIEURE SAINT GEORGES DE MANTES 998-1791
Pour continuer notre lancée sur les édifices religieux de la ville de Mantes, abordons aujourd’hui succinctement, l’Histoire du prieuré Saint-Georges, l’un des moins connu, car n’ayant pris aucune part dans l’administration de la ville car dépendant d’une abbaye Normande : celle de Fécamp, mais peut être dépendant aussi, pour une partie, de l’abbaye de Fontevrault..
Ce petit prieuré représentait malgré tout en 1700, 1500 Livres de revenus pour sa maison mère, se trouvait édifié, sur l’ancienne place du marché aux blés et nous pouvons nous faire une parfaite image de sa position et surtout de son élévation par un bail emphytéotique en date du 8 mai 1779, mais aussi un magnifique plan conservé aux Archives Départementales des Yvelines en série 24 H 4 dressé au 17e siècle.
Entrons donc de plain-pieds dans ce magnifique édifice, aujourd’hui complètement disparu de l’horizon mantais, mais dont certaines iconographies nous permettent de le mieux situer.
http://histoiremantois.canalblog.com/archives/2010/01/19/16576644.html
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-V- Au château de Versailles(78000), un secrétaire à pente offert à une des filles de Louis XV à son retour de Fontevraud
Au château de Versailles, les Appartements de Mesdames, filles du roi Louis XV, restaurés et remeublés, sont ouverts au public depuis le 25 avril 2013.
Situés au rez-de-chaussée du corps central, les appartements de Mesdames étaient, après ceux du souverain, les plus beaux de Versailles. Ils ont été occupés pendant vingt ans, de 1769 jusqu’à la Révolution française, par les princesses Adélaïde et Victoire, filles de Louis XV.
On peut y voir dans La bibliothèque de Madame Victoire un petit bureau à pente, documenté ci-dessous http://www.chateauversailles.fr/decouvrir-domaine/chateau/le-chateau/appartements-de-mesdames
Petit bureau ou Secrétaire à pente d’une des filles de Louis XV à Versailles par CAREL
– Carel Jacques-Philippe (1688- vers 1755)
– Livré par Gaudreau, ébéniste du roi, le 8 Janvier 1751 dans les appartements de Mesdames Sophie et Louise, deux des filles de Louis XV lorsqu’elles revinrent à Versailles,en 1760, à leur retour de l’Abbaye de Fontevrault.
– N° d’inventaire : V4710
-S- Style de références bibliographiques afférent à « UNE GUERISON MIRACULEUSE » d’une religieuse fontevriste du prieuré des Hautes-Bruyères (78640).
NDLRB. Contrairement à ce qu’une lecture (trop) rapide pourrait vous laisser croire, les cinq références bibliographiques ci- dessous ne sont pas identiques même si l’information initiale qu’elles ont à transmettre est naturellement la même. Mais ce qui doit être plus particulièrement souligné c’est que l’exemple choisi pour apprendre à utiliser des références bibliographiques correctes soit en rapport avec l’ordre monastique de Fontevraud.
Quant au fond de cette guérison, vous trouverez ci-après le lien qui vous permettra de prendre connaissance de ce que ce dictionnaire monastique de l’ordre de Fontevrault a mis en ligne à son sujet: P- UNE RELIGIEUSE FONTEVRISTE* DU PRIEURE DE HAUTES-BRUYERES (78690) guérie « miraculeusement » grâce au Diacre Paris. https://dictionnaireordremonastiquedefontevraud.wordpress.com/2012/02/04/p-une-religieuse-fontevriste-du-prieure-de-la-chaise-dieu-du-theil-27580-guerie-miraculeusement-grace-au-diacre-paris/
* le nom de cette religieuse est parfois orthographié : « le Moine » et non « Lemoine » en un seul mot comme dans cette mise en ligne.
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Styles de références bibliographiques pour « Déclaration de Madame Lemoine, religieuse de Hautebruiere, ordre de Fontevraud; au sujet de sa guérison miraculeuse operée au tombeau & par l’intercession de M. de Paris, dans le cours d’une neuvaine commencée le 20 septembre 1731. Avec les certificats des médecins, chirurgiens, & autres personnes qui ont eu connoissance de sa maladie. »
APA (6th ed.)
Lemoine, M. A. (1731). Declaration de Madame Lemoine, religieuse de Hautebruiere, ordre de Fontevraud: Au sujet de sa guérison miraculeuse operée au tombeau & par l’intercession de M. de Paris, dans le cours d’une neuvaine commencée le 20 septembre 1731. Avec les certificats des médecins, chirurgiens, & autres personnes qui ont eu connoissance de sa maladie. Paris?.
Chicago (Author-Date, 15th ed.)
Lemoine, Marie Anne. 1731. Declaration de Madame Lemoine, religieuse de Hautebruiere, ordre de Fontevraud; au sujet de sa guérison miraculeuse operée au tombeau & par l’intercession de M. de Paris, dans le cours d’une neuvaine commencée le 20 septembre 1731. Avec les certificats des médecins, chirurgiens, & autres personnes qui ont eu connoissance de sa maladie.
Harvard (18th ed.)
LEMOINE, M. A. (1731). Declaration de Madame Lemoine, religieuse de Hautebruiere, ordre de Fontevraud; au sujet de sa guérison miraculeuse operée au tombeau & par l’intercession de M. de Paris, dans le cours d’une neuvaine commencée le 20 septembre 1731. Avec les certificats des médecins, chirurgiens, & autres personnes qui ont eu connoissance de sa maladie.
MLA (7th ed.)
Lemoine, Marie A. Declaration De Madame Lemoine, Religieuse De Hautebruiere, Ordre De Fontevraud: Au Sujet De Sa Guérison Miraculeuse Operée Au Tombeau & Par L’intercession De M. De Paris, Dans Le Cours D’une Neuvaine Commencée Le 20 Septembre 1731. Avec Les Certificats Des Médecins, Chirurgiens, & Autres Personnes Qui Ont Eu Connoissance De Sa Maladie. Paris?, 1731. Print.
Turabian (6th ed.) Lemoine, Marie Anne. Declaration de Madame Lemoine, religieuse de Hautebruiere, ordre de Fontevraud; au sujet de sa guérison miraculeuse operée au tombeau & par l’intercession de M. de Paris, dans le cours d’une neuvaine commencée le 20 septembre 1731. Avec les certificats des médecins, chirurgiens, & autres personnes qui ont eu connoissance de sa maladie. 1731.
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-B- Bertrade de Montfort FONDATRICE DU PRIEURE DES HAUTES BRUYERES . Saint Remy L’Honoré (78690)
Bertrade de Montfort (née v. 1070 – morte le 14 février 1117) est successivement, par ses différents mariages, comtesse d’Anjou, et reine de France par mariage (1092) avec le roi Philippe Ier (né en 1052 – mort en 1108), Elle était fille de Simon Ier , seigneur de Monfort et d’Agnés d’Evreux .
Rentrée à Paris après qu’elle se soit convertit suite aux objurgations de Robert d’Arbrissel, Bertrade nouvelle élue de Dieu signifie au roi Philippe qu’elle se soumet à l’Église, quitte la cour et se rend aux confins de l’Anjou et de la Touraine, dans un village de huttes autour d’une source nommée la fontaine d’Evrault. Ce village, fondé par Robert d’Arbrissel pour accueillir des pénitents se developpa avec l’aide d’un fils de Bertrade et d’une fille de son premier mari Foulques IV le Réchin , Ermengarde d’Anjou (1072-1146) et devient par la suite l’Abbaye de Fontevraud
La sentence d’excommunication est levée le 1 er décembre 1104 Bertrade s’éteint vers 1117 après avoir fondé le prieuré des Hautes-Bruyères, sur des terres que son frère Amaury III lui avait cédé à Saint-Rémy l’Honoré.
-H-Françoise HABERT, Moniale fontevriste au Prieuré de Hautes-Bruyères. Saint Remy L’Honoré (78690)
La famille Habert de Montmor . Armoiries familiales, « D‘azur au chevron d’or accompagné de trois anilles d’argent »
Six enfants naquirent de l’union entre Louis Habert, , né en 1530, successivement secrétaire des finances du roi (1566), trésorier général des galères (1582) puis trésorier de l’extraordinaire des guerres (1584), enfin conseiller d’Etat (1588) et chevalier de l’ordre de Saint-Michel (1620), et Marie Rubentel. <—- Leur dernière fille, Françoise, née 1584, religieuse au de l’ordre de Fontevrault mourut à l’âge de 50 ans.
http://mesnil.saint.denis.free.fr/habertde.htm
Autres mentions :
* Cabinet des singularités d’architecture, peinture, sculpture, et gravure. Par Florent Le Comte M. DC.XCIX http://books.google.fr/books?id=FoD96JnR8eoC&pg=PA383&lpg=PA383&dq=%22fran%C3%A7oise+habert%22+fontevrault&source=bl&ots=KUpra5ftxC&sig=rqB1d5i5ZppFbBLTzAIbabt3uPk&hl=fr&sa=X&ei=BiWEUKOBI-mb0QXS24H4Aw&ved=0CCIQ6AEwAA#v=onepage&q=%22fran%C3%A7oise%20habert%22%20fontevrault&f=false
Portraits de Claude Mellan , Scavoir p. 383
*[catalogue][http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31207587t [Françoise Habert, abbesse de Fontevrault?] NDLRB. Françoise Habert n’a jamais été abbbesse de Fontevrault
La famille Habert de Montmor
Armoiries familiales, « D’azur au chevron d’or accompagné de trois anilles d’argent
Six enfants naquirent de l’union entre Louis Habert, , né en 1530, successivement secrétaire des finances du roi (1566), trésorier général des galères (1582) puis trésorier de l’extraordinaire des guerres (1584), enfin conseiller d’Etat (1588) et chevalier de l’ordre de Saint-Michel (1620), et Marie Rubentel.
Leur dernière fille, Françoise, née 1584, religieuse au prieuré royal de Hautes-Bruyères de l’ordre de Fontevrault mourut à l’âge de 50 ans.
http://mesnil.saint.denis.free.fr/habertde.htm
Autres mentions :
* Cabinet des singularités d’architecture, peinture, sculpture, et gravure. Par Florent Le Comte M. DC.XCIX
Portraits de Claude Mellan , Scavoir
p. 383
*[catalogue][http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31207587t [Françoise Habert, abbesse de Fontevrault?
NDLRB. Françoise Habert n’a jamais été abbbese de Fontevrault
Classé dans Département 78