Archives de Catégorie: Département 78

-C- Chateaubriand fait l’éloge de L’ORDRE de FONTEVRAULT dans le GENIE DU CHRISTIANISME ( Notice du 8 février 2013 refondue le 28 janvier 2015)

 Fontevrault ( écrit de façon contemporaine : Fontevraud) fut une véritable colonie établie par Robert d’Arbrissel dans un pays désert, sur les confins de l’Anjou et de la Bretagne. Des familles entières cherchèrent un asile sous la direction de ces Bénédictins il s’y forma des monastères de veuves, de filles, de laïques, d’infirmes et de vieux soldats. Tous devinrent cultivateurs, à l’exemple des Pères, qui abattaient eux-mêmes les arbres, guidaient la charrue, semaient les grains et couronnaient cette partie de la France de ces belles moissons qu’elle n’avait point encore portées.

Les infirmeries Saint-Benoît de Fontevraud vues de la colline dominant le Prieuré saint Lazare

Le chevet de l’Abbatiale Sainte Marie de Fontevraud

  La colonie fut bientôt obligée de verser au dehors une partie de ses habitants et de céder à d’autres solitudes le superflu de ses mains laborieuses. Raoul de la Futaye, compagnon de Robert, s’établit dans la forêt du Nid-du-Merle , et Vital ( NDLRB . dit Vital de Savigny , autre bénédictin, dans les bois de Savigny – 50640). La forêt de l’Orges, dans le diocèse d’Angers, Chaufournois ( 37360. Rouziers de Touraine) , aujourd’hui Chantenois, en Touraine  ( NDLRB : Orthogrape actuelle, L’encloître en Chaufournais); Bellay, dans la même province ; la Puie, en Poitou (86260) ; l’Encloître (86140), dans la forêt de Gironde ( NDLRB : Orthogrape actuelle, Lencloître) ; Gaisne(86420), à quelques lieues de Loudun ; Luçon( NDLRB . Tusson ? 16390,) dans les bois du même nom ; la Lande, dans les landes de Garnache ; la Madeleine (NDLRB . Orléans -45000-) , sur la Loire ; Bourbon, (NDLRB. Orthographe actuelle,  Boubon- CUSSAC 87150) en Limousin ; Cadouin, en Périgord(24480) ( NDLRB. Ce prieuré a cessé asez  vite d’être  une ilmplantation fontevriste)  ; enfin Haute-Bruyère( Saint-Rémy-l’ Honoré (78690), près de Paris, furent autant de colonies de Fontevrault, et qui pour la plupart, d’incultes qu’elles étaient, se changèrent en opulentes campagnes.François-René de Chateaubriand
Extrait du Génie du christianisme (paru en 1802)http://savignyenveron.free.fr/Fontevraud.htm

Et aussi .

http://fr.wikisource.org/wiki/Génie_du_christianisme/Partie_4/Livre_6/Chapitre_VII

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Bertrade ou Berthe de Montfort ( vers 1060-1117-1118) second épouse du roi Philippe Ier , fondatrice du prieuré des Hautes-Bruyères

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le Prieuré des Hautes-Bruyères (78690. SAINT REMY L’HONORE)

http://www.tombes-sepultures.com/crbst_1053.html

 

 

 

 

 

 

 

http://www.tombes-sepultures.com/crbst_1053.html

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-M-Mesdames , filles de Louis XV, à l’Abbaye de Fontevraud

Au début de l’année 1739, des travaux sont entrepris pour aménager l’ancien logis Bourbon construit par la tante d’Henri IV, Eléonore de Bourbon, tout proche du logis abbatial. On y ajoute une aile supplémentaire. Mais les princesses ne pourront emménager qu’en 1741.

« …Pendant trois ans on logea les princesses par des moyens de fortune : Mesdames Quatrième et Cinquième dans les appartements de l’abbesse, Mesdames Sixième et Septième dans un bâtiment délabré, voisin du logis abbatial. Ce qui devait arriver arriva : dès les premières froidures de l’automne 1738, Mesdames Cinquième, Sixième et Septième tombèrent malades. On craignit même pour la vie de la dernière, et l’on décida de la baptiser sans plus tarder […] La cérémonie eut lieu le 20 décembre 1738, dans l’église paroissiale Saint-Michel, en présence du curé et de Madame [l’abbesse] de Rochechouart. […] la petite fille reçut le nom de Louise-Marie. Vu les circonstances, elle fut placée sous la protection particulière de la Vierge Marie, et, selon la tradition, vouée au blanc pour un an […] Madame Louise une fois revenue à Versailles, n’oublia pas cette paroisse où elle avait aussi reçu la première communion et la confirmation. Les princesses continuèrent d’y faire leurs Pâques chaque année, même après l’achèvement de leur chapelle privée. En 1755, elles envoyèrent au curé un tableau représentant « Saint Joseph tenant dans ses bras l’enfant Jésus ». » (Bernard Hours,« Madame Louise, princesse au Carmel », Cerf, 1987)

L’éducation que la petite princesse reçoit des religieuses à qui elle est confiée tend à la préparer au rang qu’elle aura à tenir dans le monde, mais aussi à dompter son orgueil et sa vivacité parfois mordante. A une suivante qui, un jour, tarde à la satisfaire, elle rappelle avec dédain Je suis la fille de votre roi !Et moi, Madame, je suis la fille de votre Dieu ! s’entend-elle répondre. Elle acquiert ainsi une lucidité qui lui permet de se remettre en question et de se corriger. Sans doute se souviendra-t-elle des talents pédagogiques de ses éducatrices quand elle aura elle-même la charge du noviciat à Saint-Denis.

Cloître de Fontevraud

Tout ce qui ne vient pas de Dieu ne saurait être bon et les scrupules ne sont pas de lui. Faisons-nous non une conscience large, mais une conscience paisible.

(Mère Thérèse de Saint-Augustin, conseils à ses novices)

Toute petite, Madame Louise apprend à aimer Dieu, ressentant déjà, de façon enfantine le désir de se donner toute à lui. Sa générosité allant avec l’impétuosité de son tempérament est accompagnée cependant du scrupule d’être indigne de tant d’amour. Cela au point qu’elle appréhende presque le moment de sa première communion : Il n’est pas encore temps d’y penser. La cérémonie a lieu le 21 novembre 1748, jour de la fête de la Présentation de la Vierge. Elle a alors douze ans et en gardera toujours un souvenir ému : A peine mes premières années s’étaient-elles écoulées, à peine les enseignements de votre sainte religion avaient-ils pénétré mon âme, que vous y fîtes naître une piété affectueuse pour le sacrement de vos autels. Je ne soupirai plus qu’après le moment de vous y recevoir, de vous y posséder : une foi vive, un ardent amour, avec de nouveaux dons de votre grâce, accrurent encore mes désirs. Vous les entendîtes pour les exaucer, Dieu de bonté ! Vous les avez couronnés en me donnant votre corps pour nourriture. Ô faveur qui jusqu’au dernier instant de ma vie sera présente à ma reconnaissance ! (« Méditations Eucharistiques, Fête de la présentation de la Sainte Vierge »)

Choeur de Fontevraud

Jamais le couple royal ne fera le voyage pour rendre visite à ses filles. En septembre 1747 cependant, Jean-Marc Nattier est dépêché auprès d’elles pour faire leurs portraits. En découvrant le visage de Louise la reine commente : …je n’ai jamais rien vu de si agréable que la petite. Elle a la physionomie attendrissante et fort éloignée de la tristesse […] elle est touchante, douce spirituelle (Lettre à la duchesse de Luynes, citée par le duc de Luynes, « Mémoires », t. VIII, p. 309). Le peintre a su faire ressortir le charme et la fraîcheur de la petite princesse. Il a aussi habilement « gommé » la déformation de son dos, due à une scoliose ou à une mauvaise chute que Louise aurait faite en voulant descendre seule de son lit alors qu’elle était encore à Fontevraud. Il y a loin du charme de la petite fille à l’apparence, peu avenante il faut bien le dire, de la femme qui plus tard se dépeindra ainsi, avec un humour teinté de cruauté : Votre servante est fort petite, grosse tête, grand front, sourcils noirs, yeux bleu-gris-brun, nez long et crochu, menton fourchu, grasse comme une boule et bossue. (Lettre à la Prieure du carmel de Bruxelles, 6 mars 1783)

Agée de quinze ans, Victoire retourne à Versailles en 1748. Louise et Sophie devront patienter deux années encore.

http://www.carmel.asso.fr/Fontevraud.html

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-R- De quelques rapports entre l’EGLISE et le PRIEURE FONTEVRISTE DE HAUTE-BRUYERE. Saint Remy L’Honoré (78690)

plan_eglise_200x0L’église de St Rémy l’honoré a été confortée par les religieuses de Haute-Bruyère dans la seconde moitié du XII siècle, c’est à dire peu d’années après leur arrivée au prieuré  Elle était desservie par le Prieur de Haute-Bruyère, qui était en même temps curé de la paroisse. Il est presque certain qu’avant la construction de cette église, il devait y avoir un autre lieu de culte, chapelle ou petit sanctuaire, puisque le village existait et qu’il portait déjà l’appellation de « Saint Rémy ». On n’en trouve pas de trace. C’est sur son emplacement, très probablement, que fut élevée l’église actuelle, transformée au cours des siècles, mais dont il subsiste certaines parties, qui datent de cette époque.
Une nouvelle consécration de l’église eut lieu lors de l’ajout du bas coté sud (XVIe siècle) : 12 pierres sculptées croix de consécration fleurdelyssées sont visibles dans la nef, le bas coté et le vestibule d’entrée de la tour-clocherEn 1793, plusieurs œuvres d’art furent transportées du prieuré des hautes bruyères dans l’église paroissiale de Saint Rémy l’Honoré (4 grands tableaux, l’horloge, ..)

http://www.saintremylhonore.fr/A_voir_A_visiter.php

et aussi :

http://jeanalain.monfort.free.fr/78/HauteBruyere.htm

 

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-C- De quelques TRAITS de CARACTERE de Madame LOUISE, fille de Louis XV, élevée à l’Abbaye royale de Fontevraud

Dernière  fille du roi, Madame Louise est née le 15 juillet 1737 et fut élevée avec trois de ses sœurs à l’abbaye de Fontevrault. Elle y fut portée à l’âge de onze mois ; peu de temps après son arrivée, elle souffrit d’une indisposition si grave qu’on songea, puisqu’elle avait été ondoyée, à parfaire sur-le-champ les cérémonies du baptême et à la placer sous la protection spéciale de la Sainte Vierge… et le mal céda.

Tout est attirant dans le caractère de cette petite fille qui déclarait à l’âge de quatre ans : « J’aime beaucoup le bon Dieu ; je lui donne mon cœur. Que me donnera-t-il en retour ? » Ces défauts eux-mêmes la poussaient à une humilité plus grande. Une de ses suivantes, qui portait un bandeau sur un œil malade, lui faisait une observation inexacte :

« Si vous y mettiez vos deux yeux, dit assez méchamment la princesse, vous ne me verriez peut-être pas faire ce que je ne fais pas.

– J’ai assez d’un œil, Madame, répliqua la servante, pour voir au moins que vous êtes bien orgueilleuse. »

Madame Louise en resta tout interdite :

« Vous avez raison. Me pardonnez-vous ? »

Et elle ajouta, avec un soupir très convaincu :

« Hélas ! Il faudra que je m’en confesse. »

http://www.crc-resurrection.org/1074-madame-louise.html

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Classé dans Département 49 (a) , Abbaye royale de Fontevraud, Département 78

-M- Prieuré Saint-Georges de Mantes-La-Jolie (78200) dépendant pour partie (?) de l’Abbaye de Fontevrault

LE PRIEURE SAINT GEORGES DE MANTES 998-1791

Pour continuer notre lancée sur les édifices religieux de la ville de Mantes, abordons aujourd’hui succinctement, l’Histoire du prieuré Saint-Georges, l’un des moins connu, car n’ayant pris aucune part dans l’administration de la ville car dépendant d’une abbaye Normande : celle de Fécamp, mais peut être dépendant aussi, pour une partie, de l’abbaye de Fontevrault..

Ce petit prieuré représentait malgré tout en 1700, 1500 Livres de revenus pour sa maison mère, se trouvait édifié, sur l’ancienne place du marché aux blés et nous pouvons nous faire une parfaite image de sa position et surtout de son élévation par un bail emphytéotique en date du 8 mai 1779, mais aussi un magnifique plan conservé aux Archives Départementales des Yvelines en série 24 H 4 dressé au 17e siècle.

Entrons donc de plain-pieds dans ce magnifique édifice, aujourd’hui complètement disparu de l’horizon mantais,  mais dont certaines iconographies nous permettent de le mieux situer.

http://histoiremantois.canalblog.com/archives/2010/01/19/16576644.html

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-V- Au château de Versailles(78000), un secrétaire à pente offert à une des filles de Louis XV à son retour de Fontevraud

Au château de Versailles, les Appartements de Mesdames, filles du roi Louis XV, restaurés et remeublés, sont ouverts au public depuis le 25 avril 2013.

Situés au rez-de-chaussée du corps central, les appartements de Mesdames étaient, après ceux du souverain, les plus beaux de Versailles. Ils ont été occupés pendant vingt ans, de 1769 jusqu’à la Révolution française, par les princesses Adélaïde et Victoire, filles de Louis XV.

http://patrimoine.blog.pelerin.info/2013/04/26/versailles-les-appartements-des-filles-du-roi-louis-xv-restaures-et-ouverts-a-la-visite/

On peut y voir  dans La bibliothèque de Madame Victoire  un  petit bureau à pente, documenté  ci-dessous                   http://www.chateauversailles.fr/decouvrir-domaine/chateau/le-chateau/appartements-de-mesdames

Petit bureau  ou Secrétaire à pente d’une des filles de Louis XV à Versailles par CAREL

– Carel Jacques-Philippe (1688- vers 1755)
– Livré par Gaudreau, ébéniste du roi, le 8 Janvier 1751 dans les appartements de Mesdames Sophie et Louise, deux des filles de Louis XV lorsqu’elles revinrent à Versailles,en 1760, à leur retour de l’Abbaye de Fontevrault.

– N° d’inventaire : V4710

http://galerieperrin.com/historique/

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-S- Style de références bibliographiques afférent à « UNE GUERISON MIRACULEUSE » d’une religieuse fontevriste du prieuré des Hautes-Bruyères (78640).

NDLRB. Contrairement à ce qu’une lecture  (trop) rapide pourrait  vous laisser  croire, les cinq références  bibliographiques ci- dessous ne sont pas identiques même si l’information initiale qu’elles ont à transmettre  est naturellement la même. Mais ce qui doit être plus particulièrement  souligné c’est que l’exemple choisi pour apprendre à utiliser des références  bibliographiques correctes soit en rapport avec l’ordre  monastique de Fontevraud.

Quant au fond  de cette guérison, vous trouverez  ci-après le lien qui vous permettra de prendre connaissance  de ce  que ce  dictionnaire monastique  de l’ordre de Fontevrault a mis en ligne à son sujet:                                                                                                                                                                                                                            P- UNE RELIGIEUSE FONTEVRISTE* DU PRIEURE DE HAUTES-BRUYERES (78690) guérie « miraculeusement » grâce au Diacre Paris. https://dictionnaireordremonastiquedefontevraud.wordpress.com/2012/02/04/p-une-religieuse-fontevriste-du-prieure-de-la-chaise-dieu-du-theil-27580-guerie-miraculeusement-grace-au-diacre-paris/

* le nom de cette religieuse est parfois orthographié : « le Moine » et non « Lemoine » en un seul mot  comme dans cette mise en ligne.

————-

Styles de références bibliographiques pour « Déclaration de Madame Lemoine, religieuse de Hautebruiere, ordre de Fontevraud; au sujet de sa guérison miraculeuse operée au tombeau & par l’intercession de M. de Paris, dans le cours d’une neuvaine commencée le 20 septembre 1731. Avec les certificats des médecins, chirurgiens, & autres personnes qui ont eu connoissance de sa maladie. »

APA (6th ed.)
Lemoine, M. A. (1731). Declaration de Madame Lemoine, religieuse de Hautebruiere, ordre de Fontevraud: Au sujet de sa guérison miraculeuse operée au tombeau & par l’intercession de M. de Paris, dans le cours d’une neuvaine commencée le 20 septembre 1731. Avec les certificats des médecins, chirurgiens, & autres personnes qui ont eu connoissance de sa maladie. Paris?.

Chicago (Author-Date, 15th ed.)
Lemoine, Marie Anne. 1731. Declaration de Madame Lemoine, religieuse de Hautebruiere, ordre de Fontevraud; au sujet de sa guérison miraculeuse operée au tombeau & par l’intercession de M. de Paris, dans le cours d’une neuvaine commencée le 20 septembre 1731. Avec les certificats des médecins, chirurgiens, & autres personnes qui ont eu connoissance de sa maladie.

Harvard (18th ed.)
LEMOINE, M. A. (1731). Declaration de Madame Lemoine, religieuse de Hautebruiere, ordre de Fontevraud; au sujet de sa guérison miraculeuse operée au tombeau & par l’intercession de M. de Paris, dans le cours d’une neuvaine commencée le 20 septembre 1731. Avec les certificats des médecins, chirurgiens, & autres personnes qui ont eu connoissance de sa maladie.

MLA (7th ed.)
Lemoine, Marie A. Declaration De Madame Lemoine, Religieuse De Hautebruiere, Ordre De Fontevraud: Au Sujet De Sa Guérison Miraculeuse Operée Au Tombeau & Par L’intercession De M. De Paris, Dans Le Cours D’une Neuvaine Commencée Le 20 Septembre 1731. Avec Les Certificats Des Médecins, Chirurgiens, & Autres Personnes Qui Ont Eu Connoissance De Sa Maladie. Paris?, 1731. Print.

Turabian (6th ed.)                                                                                                                                                                                                                                                                              Lemoine, Marie Anne. Declaration de Madame Lemoine, religieuse de Hautebruiere, ordre de Fontevraud; au sujet de sa guérison miraculeuse operée au tombeau & par l’intercession de M. de Paris, dans le cours d’une neuvaine commencée le 20 septembre 1731. Avec les certificats des médecins, chirurgiens, & autres personnes qui ont eu connoissance de sa maladie. 1731.

http://www.worldcat.org/title/declaration-de-madame-lemoine-religieuse-de-hautebruiere-ordre-de-fontevraud-au-sujet-de-sa-guerison-miraculeuse-operee-au-tombeau-par-lintercession-de-m-de-paris-dans-le-cours-dune-neuvaine-commencee-le-20-septembre-1731-avec-les-certificats-des-medecins-chirurgiens-autres-personnes-qui-ont-eu-connoissance-de-sa-maladie/oclc/224363803?page=citation

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-B- Bertrade de Montfort FONDATRICE DU PRIEURE DES HAUTES BRUYERES . Saint Remy L’Honoré (78690)

Bertrade de Montfort (née v. 1070  – morte le 14 février 1117) est successivement, par ses différents mariages, comtesse d’Anjou, et reine de France par mariage (1092) avec le roi Philippe Ier (né en 1052  – mort en 1108), Elle était fille de  Simon  Ier , seigneur de Monfort et d’Agnés d’Evreux .

Rentrée à Paris après qu’elle se soit  convertit  suite aux objurgations de Robert d’Arbrissel, Bertrade nouvelle élue de Dieu signifie au roi Philippe qu’elle se soumet à l’Église, quitte la cour et se rend aux confins de l’Anjou et de la Touraine, dans un village de huttes autour d’une source nommée la fontaine d’Evrault. Ce village, fondé par Robert d’Arbrissel pour accueillir des pénitents se developpa avec l’aide d’un fils de  Bertrade et d’une fille de son premier mari Foulques IV le Réchin , Ermengarde d’Anjou (1072-1146) et devient par la suite l’Abbaye de Fontevraud

La sentence d’excommunication est levée le 1 er décembre 1104  Bertrade s’éteint vers  1117  après avoir fondé le prieuré des Hautes-Bruyères, sur des terres que son frère  Amaury III lui avait cédé à Saint-Rémy l’Honoré.

https://www.paypal.com/fr/cgi-bin/webscr?cmd=_flow&SESSION=pKVzzu-hJX__aEf8pq8-MmHZBQxgGld3hHt7cYFlrc4eP5rEZZ0X1Pyz8Na&dispatch=50a222a57771920b6a3d7b606239e4d529b525e0b7e69bf0224adecfb0124e9b61f737ba21b0819882a9058c69cf92dc71e9280d88db39c4#pageState=login&pageDispatch=50a222a57771920b6a3d7b606239e4d529b525e0b7e69bf0224adecfb0124e9b61f737ba21b0819882a9058c69cf92dc71e9280d88db39c4&pageSession=pTfwi-rbbAK2a-mVd-KXHM47sD-d7v8pa-XLNQ0Zw5zrc9fESzZCKmsTCzq

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Classé dans Département 49 (b) , Commune de Fontevraud-L’Abbaye excepté l' abbaye, Département 78

-H-Françoise HABERT, Moniale fontevriste au Prieuré de Hautes-Bruyères. Saint Remy L’Honoré (78690)

La famille Habert de Montmor . Armoiries familiales, « D‘azur au chevron d’or accompagné de trois anilles d’argent »

Six enfants naquirent de l’union entre Louis Habert, , né en 1530, successivement secrétaire des finances du roi (1566), trésorier général des galères (1582) puis trésorier de l’extraordinaire des guerres (1584), enfin conseiller d’Etat (1588) et chevalier de l’ordre de Saint-Michel (1620),  et Marie Rubentel.                                                                                                                                                                                                                                                                       <—- Leur dernière fille, Françoise, née 1584,  religieuse au  de l’ordre de Fontevrault mourut à l’âge de 50 ans.

http://mesnil.saint.denis.free.fr/habertde.htm

Autres mentions :

* Cabinet des singularités d’architecture, peinture, sculpture, et  gravure. Par Florent Le Comte M. DC.XCIX                                                                           http://books.google.fr/books?id=FoD96JnR8eoC&pg=PA383&lpg=PA383&dq=%22fran%C3%A7oise+habert%22+fontevrault&source=bl&ots=KUpra5ftxC&sig=rqB1d5i5ZppFbBLTzAIbabt3uPk&hl=fr&sa=X&ei=BiWEUKOBI-mb0QXS24H4Aw&ved=0CCIQ6AEwAA#v=onepage&q=%22fran%C3%A7oise%20habert%22%20fontevrault&f=false

Portraits de Claude Mellan , Scavoir p. 383

*[catalogue][http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31207587t     [Françoise Habert, abbesse de Fontevrault?]                                                                                                               NDLRB. Françoise Habert n’a jamais été abbbesse de Fontevrault

http://www.google.fr/imgres?q=berceau+bébé&um=1&hl=fr&safe=off&client=safari&sa=N&rls=en&biw=1094&bih=761&tbm=isch&tbnid=z1YENySliC5m6M:&imgrefurl=http://challans.olx.fr/bebe-fute-challans-lit-couffin-berceau-bois-neuf-iid-82723259&docid=n8K6wXihw2KfwM&imgurl=http://images03.olx.fr/ui/5/41/59/1269463064_82723259_1-Photos-de–BEBE-FUTE-CHALLANS-lit-couffin-berceau-bois-NEUF.jpg&w=625&h=625&ei=XDCEUPKEE6q40QWE54CIDQ&zoom=1&iact=hc&vpx=281&vpy=331&dur=112&hovh=225&hovw=225&tx=157&ty=115&sig=105543807108412242209&page=2&tbnh=147&tbnw=147&start=24&ndsp=30&ved=1t:429,r:5,s:20,i:214

 

La famille Habert de Montmor

Armoiries familiales, « D’azur au chevron d’or accompagné de trois anilles d’argent

 

Six enfants naquirent de l’union entre Louis Habert, , né en 1530, successivement secrétaire des finances du roi (1566), trésorier général des galères (1582) puis trésorier de l’extraordinaire des guerres (1584), enfin conseiller d’Etat (1588) et chevalier de l’ordre de Saint-Michel (1620),  et Marie Rubentel.

Leur dernière fille, Françoise, née 1584,  religieuse au prieuré royal de Hautes-Bruyères de l’ordre de Fontevrault mourut à l’âge de 50 ans.

 

http://mesnil.saint.denis.free.fr/habertde.htm

 

 

Autres mentions :

* Cabinet des singularités d’architecture, peinture, sculpture, et  gravure. Par Florent Le Comte M. DC.XCIX

http://books.google.fr/books?id=FoD96JnR8eoC&pg=PA383&lpg=PA383&dq=%22fran%C3%A7oise+habert%22+fontevrault&source=bl&ots=KUpra5ftxC&sig=rqB1d5i5ZppFbBLTzAIbabt3uPk&hl=fr&sa=X&ei=BiWEUKOBI-mb0QXS24H4Aw&ved=0CCIQ6AEwAA#v=onepage&q=%22fran%C3%A7oise%20habert%22%20fontevrault&f=false

Portraits de Claude Mellan , Scavoir

p. 383

 

 

*[catalogue][http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31207587t                                               [Françoise Habert, abbesse de Fontevrault?

NDLRB. Françoise Habert n’a jamais été abbbese de Fontevrault

http://www.google.fr/imgres?q=berceau+bébé&um=1&hl=fr&safe=off&client=safari&sa=N&rls=en&biw=1094&bih=761&tbm=isch&tbnid=z1YENySliC5m6M:&imgrefurl=http://challans.olx.fr/bebe-fute-challans-lit-couffin-berceau-bois-neuf-iid-82723259&docid=n8K6wXihw2KfwM&imgurl=http://images03.olx.fr/ui/5/41/59/1269463064_82723259_1-Photos-de–BEBE-FUTE-CHALLANS-lit-couffin-berceau-bois-NEUF.jpg&w=625&h=625&ei=XDCEUPKEE6q40QWE54CIDQ&zoom=1&iact=hc&vpx=281&vpy=331&dur=112&hovh=225&hovw=225&tx=157&ty=115&sig=105543807108412242209&page=2&tbnh=147&tbnw=147&start=24&ndsp=30&ved=1t:429,r:5,s:20,i:214

 

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