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Priére pour que la plus jeune des enfants de Louis XV,déclarée vénérable en 1873, puisse être béatIfiéee

1935410_951646281576685_5219106476196895231_nPost de Jean Blaise sur la page FB de « Vieille France »
23 décembre, 23:04

Vénérable Mère Thérèse de Saint-Augustin

Naissance: 15 juillet 1737 (Versailles)
Décès: 23 décembre 1787 (Saint-Denis)

Prions pour la béatification de la vénérable Mère Thérèse de Saint-Augustin,
“Madame Louise-Marie de France,” la plus jeune des enfants de Louis XV et de Marie Leszczyńska ( NDLRB. Elevée  avec  trois de ses soeurs en l’abbaye royale de Fontevraud)
Elle entra au Carmel de Saint-Denis en 1770 sous le nom de Thérèse de Saint-Augustin, et y eut la charge de maîtresse des novices puis d’économe. Elle fut élue prieure à trois reprises. Décédée en 1787, elle est déclarée vénérable en 1873.
« Fíliæ regum in honóre tuo, ástitit regína a dextris tuis in vestítu deauráto, circúmdata varietate. » (Ps. XLIV, 10)
(Les filles des rois sont dans votre gloire, la reine se tient à votre droite en vêtements tissés d’or, couverte de broderies. )

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Classé dans Département 49 (a) , Abbaye royale de Fontevraud, Département 93

-C- De quelques TRAITS de CARACTERE de Madame LOUISE, fille de Louis XV, élevée à l’Abbaye royale de Fontevraud

Dernière  fille du roi, Madame Louise est née le 15 juillet 1737 et fut élevée avec trois de ses sœurs à l’abbaye de Fontevrault. Elle y fut portée à l’âge de onze mois ; peu de temps après son arrivée, elle souffrit d’une indisposition si grave qu’on songea, puisqu’elle avait été ondoyée, à parfaire sur-le-champ les cérémonies du baptême et à la placer sous la protection spéciale de la Sainte Vierge… et le mal céda.

Tout est attirant dans le caractère de cette petite fille qui déclarait à l’âge de quatre ans : « J’aime beaucoup le bon Dieu ; je lui donne mon cœur. Que me donnera-t-il en retour ? » Ces défauts eux-mêmes la poussaient à une humilité plus grande. Une de ses suivantes, qui portait un bandeau sur un œil malade, lui faisait une observation inexacte :

« Si vous y mettiez vos deux yeux, dit assez méchamment la princesse, vous ne me verriez peut-être pas faire ce que je ne fais pas.

– J’ai assez d’un œil, Madame, répliqua la servante, pour voir au moins que vous êtes bien orgueilleuse. »

Madame Louise en resta tout interdite :

« Vous avez raison. Me pardonnez-vous ? »

Et elle ajouta, avec un soupir très convaincu :

« Hélas ! Il faudra que je m’en confesse. »

http://www.crc-resurrection.org/1074-madame-louise.html

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Classé dans Département 49 (a) , Abbaye royale de Fontevraud, Département 78