Archives de Tag: Abbaye royale de Fontevraud

Travaux 2012-2013 au bénéfice de l’Abbaye royale de Fontevraud

CPER. contrat de plan État-Région Pays de la Loire 2021-2027

État et région ont convenu depuis plusieurs CPER d’allier leurs efforts afin de restaurer ce patrimoine exceptionnel. Les urgences sanitaires et les usages au regard du projet de valorisation et d’animation sont les deux critères qui permettent e phaser les travaux. 

Au titre de l’actuel CPER, il a été convenu de poursuivre les travaux de restauration des bâtiments de la cour d’honneur (Palais de l’Abbesse) ainsi que de restaurer et d’aménager le Noviciat, qui hébergera un centre d’interprétation et des salles d’exposition, tout en permettant un accès inclusif aux PMR de tous les niveaux de l’abbaye. Des urgences sanitaires, telles que les peintures murales de la salle capitulaire, seront aussi traitées. 

Les travaux sont estimés à 14 000 000 € 

Source : https://www.culture.gouv.fr/Regions/Drac-Pays-de-la-Loire/Vos-actualites/Contrat-de-plan-Etat-Region-2021-2027-Pays-de-la-Loire-signature-du-volet-culture-et-patrimoine  


Poster un commentaire

Classé dans Uncategorized

Joelle Ernoul vous attend au presbytère de Fontevraud à une exposition sur Robert d’Arbrissel.

Poster un commentaire

Classé dans Uncategorized

Faut-il construire un échangeur supplémentaire sur l’A 85 pour desservir l’Abbaye royale de Fontevraud ? Peut-être pas.

Brain-sur-Allonnes. Le projet d’échangeur de l’A85 est-il encore pertinent ?
Mise en ligne le : 14/01/2022 | Il y a 0 commentaire
Voici une question qui anime l’est du territoire du Maine-et-Loire. Prévu depuis plus de 30 ans, le projet d’échangeur de l’A85 à Brain-sur-Allonnes divise les communes dont beaucoup se demandent aujourd’hui s’il est encore pertinent.

Voici un dossier qui fait du bruit depuis plusieurs années. Depuis 2018 exactement (relire notre article), l’échangeur de l’A85 au niveau de Brain-sur-Allonnes. Cette sortie de l’autoroute est en effet prévue depuis la création de celle-ci. Le dossier n’est donc pas vraiment nouveau et de nombreuses choses sont déjà prévues. En effet, cet échangeur est déjà financé par Vinci Autoroutes de longues dates et les terrains nécessaires sont d’ores et déjà acquis. Par ailleurs, une étude d’impact est programmée pour 2022 et une mise en service de cet échangeur est envisagée pour 2025. L’objectif de cette sortie est de permettre de rallier plusieurs sites plus facilement comme l’Abbaye de Fontevraud ou le Center Parc des Trois-Moutiers près de Montreuil-Bellay. Cela permettrait de proposer une sortie supplémentaire entre Vivy et Bourgueil, puisque celui-ci se trouverait à 10km de ces deux sorties. En 2018, les 7 communes du SIVM (Syndicat Intercommunal à Vocation Multiple) du Pays Allonnais* avaient alors affirmé leur intérêt pour la réalisation de cet échangeur « qui bénéficiera, au-delà du territoire de proximité et du Saumurois, aux bassins de vie du Bourgueillois et du Chinonais », avaient-ils déclaré. Mais depuis les choses ont changé.

Une question qui divise

Si du côté de Brain-sur-Allonnes on montre un enthousiasme certain, le conseil municipal s’étant très majoritairement positionné favorablement car cela serait un levier de développement majeur pour la commune avec un accès direct à l’autoroute, ce sentiment n’est pas partagé par tous. La question se pose également du franchissement de la Loire et de l’engorgement des communes traversées. Si l’idée de cet échangeur est de faciliter le trafic et l’arrivée de touristes, cela devrait mécaniquement entraîner une augmentation du trafic routier. Le 15 novembre dernier, la commune de Varennes-Sur-Loire s’est prononcée lors d’un conseil municipal pour répondre à un avis consultatif sur ce projet d’échangeur qui arrivait à terme en cette fin d’année 2021. Après avoir pesé les pour et les contres, les élus ont délibéré à 16 voix contre, 1 pour et 2 blancs que ce projet apporterait plus de nuisances que de bienfaits. En effet, si l’échangeur est situé sur le territoire de Brain-sur-Allonnes, il se trouve beaucoup plus près de Varennes-sur-Loire. Dans un courrier adressé aux maires du secteur concerné, à la présidente du département et au président de l’agglomération le maire de Varennes-sur-Loire, Gilles Talluau, indique : « Conscient des enjeux économiques pouvant résulter d’une sortie d’autoroute et qui renforcerait l’attractivité du territoire, j’ai exposé le pour et le contre. Toutefois les conseillers municipaux ont surtout argumenté sur les nuisances apportées par l’augmentation du trafic routier dans le bourg, avec des retombées économiques qui leur paraissent faibles. Ils ont également fait remarquer que la construction d’un échangeur nécessiterait une emprise foncière trop importante sur les prairies agricoles. »

Le véritable atout de Varennes : la tranquillité

Joint par la rédaction le maire de Varennes argumente : « C’est un sujet qui partage les communes. À mon sens, il s’agit là d’un projet un peu daté qui n’a plus vraiment de sens aujourd’hui. Le projet est prévu depuis 30 ans à l’époque où l’Abbaye n’était pas le lieu touristique qu’il est aujourd’hui. À ce jour, cet investissement me semble lourd sur l’aspect financier, mais aussi environnemental. Est-ce que le jeu en vaut la chandelle ? L’autoroute est déjà dotée de deux sorties à Bourgueil et Vivy, à 10km chacune de celle prévue à Brain-sur-Allonnes. Par ailleurs, il me semble que l’augmentation du trafic routier n’entraînerait pas d’intérêt pour les commerces de la commune qui fonctionnent déjà très bien. Il me semble que ce qui fait l’atout de notre commune est la tranquillité, la facilité de stationnement et la sécurité. Enfin, la création d’une sortie entraînerait un chantier d’envergure qui me semble indispensable pour absorber et sécuriser le trafic : la création d’un nouveau pont entre Varennes et Montsoreau ou l’élargissement de celui existant. Là encore, cela représenterait un coût énorme, pour quelles retombées véritables ? Il me parait souhaitable aujourd’hui d’abandonner ce projet. » Mais abandonner ne semble pas si évident, puisque dans le cahier des charges de l’autoroute, il était prévu une sortie à Brain-sur-Allonnes, obligeant Vinci à la créer au risque de devoir payer des indemnités à l’Etat. « Ce sera une discussion que Vinci et l’Etat devront avoir, puisque la commune d’Ingrandes en Touraine souhaiterait elle une sortie, peut-être qu’un arrangement peut être trouvé », poursuit-il.

Des positionnements mitigés

D’autres communes concernées ont également rendu leur verdict, notamment la commune de Montsoreau, commune sur laquelle se trouve le pont pour franchir la Loire et qui serait directement impactée par ce trafic. Cet échangeur apporterait en effet à la commune un flux intéressant de voitures et touristes favorables aux commerçants, artisans, hôteliers, restaurateurs… Mais quid du franchissement du pont particulièrement étroit qui serait peu propice à supporter un trafic intense, notamment pour les véhicules les plus larges. À Fontevraud la question est autre. Cet échangeur serait en effet en partie créé pour faciliter l’accès à l’Abbaye et augmenter le nombre de visiteurs. Or le site historique et culturel accueille d’ores et déjà 250 000 visiteurs chaque année et la commune arrive à saturation en termes de logistique, de trafic routier et de stationnement.

La présidente du Département contre également

De son côté, la présidente du Département de Maine-et-Loire a fait entendre son désaccord en adressant un courrier au Premier ministre, Jean Castex. La présidente précise qu’elle s’inscrit dans la droite ligne de son prédécesseur Christian Gilet qui avait déjà alerté les ministères de la transiiton écologique et des Transports sur ce sujet. Elle estime que ce projet est « disproportionné » et rappelle que celui-ci a été prévu il y a 30 ans et ne serait certainement pas « pertinent » aujourd’hui. Elle souligne également que cela impliquerait la création d’un « nouveau franchissement sur la Loire », et donc un investissement majeur pour le Département, « sans évoquer le recalibrage du réseau départemental ». Elle s’inquiète enfin de l’impact environnemental, rappelant « l’abandon de projets disproportionnés », comme Notre-Dame-des-Landes, l’élargissement du contournement nord d’Angers…

  • Allonnes, Brain-sur-Allonnes, la Breille-les-Pins, Neuillé, Varennes-sur-Loire, Villebernier, Vivy.

http://saumur-kiosque.com/article.php?id_actu=73016

1 commentaire

Classé dans Département 49 (a) , Abbaye royale de Fontevraud

Noél 2021 en musique. Abbaye royale de Fontevraud.

NOËL À FONTEVRAUD
2021
Cette cinquième édition du parcours artistique Noël à Fontevraud suit la ligne fixée depuis le premier opus : rendre plus sensible et perceptible le génie du lieu en y invitant des créateurs maniant différentes techniques. En faisant émerger des passerelles entre les arts et les publics, ils renouvellent le regard sur ce lieu patrimonial hors du commun. En fil rouge, l’esprit de Noël flotte sur toutes les œuvres et installations, pour créer une ambiance féérique.

Le parcours artistique se déroule depuis la façade de l’église abbatiale jusqu’à la chapelle Saint-Benoît, en passant par le chœur de l’église, le cloître, le réfectoire et la cour Saint-Benoît. À chaque espace sont associés une forme artistique – livre objet, exposition, installation, etc. – et un artiste. Les dispositifs, créés spécialement pour Noël à Fontevraud, prennent des formes variées, mais toutes font résonner le lieu, soulignent l’architecture ou une des facettes du site. 

De la table de Noël imaginée par Marie-Aurore Stiker-Metral jusqu’à l’installation d’Anna-Eva Berge, dans la chapelle Saint-Benoît, en passant par les ondes des cloches de Fontevraud recomposées par Mika Oki dans le cloître, les artistes et leurs œuvres invitent à une nouvelle forme de déambulation dans l’Abbaye. L’esprit de Noël entre en scène, pour une expérience magique.

Poster un commentaire

Classé dans Uncategorized

Ce qui reste ( Hélas vraiment trés peu de choses) de la chapelle Notre-Dame de Liesse à Fontevraud l’Abbaye.

Porte d ‘accès à la chapelle via  un petit porche d’entrée depuis l’allée Sainte Catherine.

Les vestiges de la chapelle Notre-Dame-de-Liesse, et notamment la porte, ( NDLRB.  donnant  sur l’allée Sainte Catherine) témoignent modestement d’un bâtiment disparu qui devait être des plus remarquables.

La porte conservée traduit plus particulièrement le sens que prenait la clôture dans l’ordre fontevriste dans la séparation entre clercs et des laïcs, mais aussi entre religieux et religieuses. Cette simple porte témoigne à elle seule la complexité des cheminements induits notamment par les nécessités du culte.

https://gertrude.paysdelaloire.fr/dossier/chapelle-notre-dame-de-liesse-vestiges-rue-du-logis-bourbon-fontevraud-l-abbaye/2e5cf211-8f4b-4dba-adce-68600720098d

Historique

 Quelques années après que l’abbesse Éléonore de Bourbon ait intégré le clos dès lors dénommé « Bourbon » à l’ensemble monastique (1578), elle fait édifier là une chapelle entre 1589 et 1591, pour 10.914 livres : Notre-Dame-de-Liesse, dite aussi chapelle de Bourbon. Cette chapelle ne semble pas connaître d’autres phases majeures de travaux dans les deux siècles qui suivent.

        Saisie comme bien national, elle est vendue au sein du lot qui comprend tous les bâtiments du Clos Bourbon, en 1796. Encore en place à cette date, elle est déjà détruite en 1813 (absente du cadastre napoléonien) : sa démolition (sans doute vers 1800-1810) est probablement à mettre en relation avec l’activité de salpêtrier qu’exerçait le nouveau propriétaire du Clos, le notaire Jean Hudault.Les vestiges de la chapelle ont été classés parmi les monuments historiques par arrêté du 12 octobre 1962 (protection confirmée par un second arrêté du 28 août 1989).

La chapelle précédée d’un petit porche est visible au milieu de l’image.

Description

1. La chapelle Notre-Dame-de-Liesse (ensemble détruit)

La chapelle Notre-Dame-de-Liesse n’est connue que par quelques plans, dont un seul est très précis (le plan de l’abbaye dit de 1762) et par une vue de la collection de François-Roger de Gaignières (où on ne la distingue que partiellement).

Alignée sur l’axe du clos, la chapelle n’est pas strictement orientée. Ses dimensions sont d’environ 9 m de large par 17,50 m de long (20 m, si l’on compte un petit porche d’entrée peut-être réalisé dans un second temps). Les vestiges des fondations et assises basses conservées sont en moyen appareil de tuffeau, ce qui devait être le cas de tout l’édifice. Au vu de ces vestiges, on note que la chapelle était légèrement surélevée, reposant sur un sous-sol partiellement dégagé dont on ne connaît pas l’affectation.

Le toit, couvert d’ardoises, était à longs pans et pignon découvert ; il était surmonté, au niveau du chœur, d’un clocheton. Cette chapelle est constituée d’une nef d’une seule travée et d’une travée de chœur avec courte abside semi-circulaire.

La nef accueillait l’abbesse ou d’autres religieuses qu’une grille séparait du chœur, dont l’accès depuis l’extérieur de l’enceinte était réservé au seul desservant voire à quelques laïcs : dans les registres paroissiaux on trouve ainsi la mention de rares mariages ou baptêmes célébrés là aux XVIIe et XVIIIe siècles.

La position des contreforts qui raidissent l’abside laisse penser qu’il devait y avoir une baie axiale et deux baies latérales dans le chœur ; de même, des baies hautes ajouraient la nef et la travée de chœur, au sud. La façade principale, à l’ouest, était percée d’une grande baie haute. Au nord, il se peut qu’il y ait eu également de telles fenêtres hautes, mais la chapelle était ici flanquée, au niveau du chœur d’une petite galerie (environ 6 m de long) menant à une porte qui, à travers le mur de clôture, ouvrait sur le cimetière paroissial ; de même, un corps de bâtiment en appentis qui abritait au rez-de-chaussée une pièce à cheminée occupait l’espace situé entre la nef et le mur de clôture, au nord. Ce flanquement habitable est peut-être un ajout ultérieur, mais il pourrait aussi correspondre à ce que l’on désigne comme le Petit-Logis du Clos Bourbon ou Petit-Bourbon, réalisé dans la même campagne de travaux que la chapelle, en 1589-1591. Il est plus vraisemblable, toutefois, que le Petit-Logis ait été un peu plus grand et plutôt situé au nord-est du clos et que ce logement-ci ait plutôt abrité une religieuse ou une converse chargée d’assister l’abbesse ou d’autres sœurs lors de la célébration de l’office à Notre-Dame-de-Liesse.

Dans l’angle sud-ouest, la nef était flanqué d’un clocher, petite tourelle de section carrée qui abritait probablement un escalier.

 

SUR CE DESSIN EXTRAIT DE LA COLLECTION GAIGNIERES ; De gauche à droite : 1) la chapelle Notre-Dame de Liesse ( »Le petit Bourbon chapelle »); 2) La chapelle Ste Catherine ( actuelle lanterne des morts); 3) L’église Saint-Michel ( subsistante); 4) Le logis de l’Abbesse  (subsistant); 5) le logis des confesseurs au premier plan ( subsistant); 6) Les cuisines romanes  avec leur cheminée ( Subsistantes).

2. Les vestiges de la chapelle Notre-Dame-de-Liesse

De la chapelle elle-même, presqu’intégralement ruinée, on ne voit plus aujourd’hui que quelques assises basses et le sous-sol partiellement dégagé.

L’élément le plus notable est la porte ouverte dans la clôture qui menait, par un petit corridor, du cimetière au chœur de la chapelle. Simplement couverte d’un arc segmentaire côté chapelle, elle présente une riche ornementation côté cimetière, en partie haute, même si ce décor est aujourd’hui très érodé. Cette porte est en effet couverte d’un arc en anse de panier à extrados à crossettes en escalier, sur impostes rehaussées d’un bandeau. L’archivolte est ornée d’un fin corps de moulures où est gravée l’inscription interrompue par la clef : « CHAPPELLE DE NRE / DAME DE LIESSE » (ce dernier mot ne se lit quasiment plus). L’arc est surmonté d’un entablement à denticules portant un fronton ; l’ensemble repose sur des chapiteaux doriques eux-mêmes portés par des consoles à volutes feuillagées. Presque totalement disparu du fait de bûchage et de desquamation, un décor de rinceaux sculptés en relief (peut-être accompagnés d’ornements héraldiques) couvrait le front de l’arc.

Cette porte, longtemps murée, fut rouverte en 2013.

 

Poster un commentaire

Classé dans Département 49 (b) , Commune de Fontevraud-L’Abbaye excepté l' abbaye

JOURNAL DES A.G. de l’APF (Association des Prieurés Fontevristes )

Vous n’êtes pas seul à vous intéresser  aux Prieurés Fontevristes,

Pour en savoir plus , contactez : fontevristes@gmail.com

– 2014 (16 mai) . Prieuré d’ORSAN (18170-Maisonnais)
– 2015 (12 juin) . Prieuré de RELAY (37200-Pont-de-Ruan)
– 2016 ( 3 juin). Prieuré de MARTIGNE-BRIAND (49540)
– 2017 (16 juin). Archives départementales d’ANGERS (49000)
– 2018 (22 juin) . Abbaye royale de FONTEVRAUD (49500)
– 2019 (14-15 juin). Prieurés de TUSSON (16140)

Poster un commentaire

Classé dans Département 16, Département 18, Département 37, Département 49 (a), Département 49 (a) , Abbaye royale de Fontevraud

Plan du bourg (englobant l’Abbaye royale) de Fontevraud ; Comment y venir et conditions de visite.

                     Fermeture annuelle du 8 au 25 janvier 2018.

Poster un commentaire

Classé dans Département 49 (a) , Abbaye royale de Fontevraud, Focus sur

Régine Catin , Maire de Fontevraud : « Redonner du sens à l’histoire de l’abbaye ».

Le 14 décembre 2015. Maire de Fontevraud, Régine Catin (Les Républicains) entre à la Région au sein de la nouvelle majorité menée par Bruno Retailleau (elle était 10e sur la liste en Maine-et-Loire).

……

« En terme de développement culturel, Fontevraud peut encore davantage porter le territoire. Le Centre Culturel de l’Ouest (CCO) a un peu confondu les choses. Fontevraud-l’Abbaye doit retrouver ses vraies racines. Il faut faire travailler ensemble au quotidien : l’abbaye, le village et les habitants. Les Fontevristes ne se sont pas forcément retrouvés dans le CCO. Il faut faire en sorte qu’il n’y ait plus de rempart en ouvrant à des manifestations qui redonnent du sens à l’histoire de l’abbaye. Il faut un projet encore plus resplendissant. »

http://www.courrierdelouest.fr/actualite/saumur-regine-catin-lr-en-reaction-contre-les-extremes-14-12-2015-249081

Poster un commentaire

Classé dans Département 49 (a) , Abbaye royale de Fontevraud, Département 49 (b) , Commune de Fontevraud-L’Abbaye excepté l' abbaye

L’Abbaye royale de Fontevraud communique heureusement sur son histoire

Poster un commentaire

Classé dans * Commémoration fontevriste, Abbaye royale de Fontevraud, Département 49 (a) , Abbaye royale de Fontevraud, Ordre monastique de Fontevraud en son ensemble

Ouvrage « Abbaye royale. Entre Chinon et Saumur »

http://images-eu.amazon.com/images/P/2951296819.08.LZZZZZZZ.jpg

2951296819

 

Poster un commentaire

Classé dans Département 49 (a) , Abbaye royale de Fontevraud