Archives de Tag: Abbesses de l’Ordre monastique de Fontevraud

Recueil de certaines des épitaphes des Abbesses de Fontevrault.

Ce second tome recense les incriptions latines et étrangères du Poitou c’est à dire des départements de la Vienne, des Deux-Sèvres et de la Vendée, par période et par commune pour la période médiévale de 987 à 1453. Il donne les traductions et les restitutions éventuelles, édition ADANE, 2011.

Corpus de inscriptions latines et étrangères du Poitou, période médiévale 987-1453 par Jacques Jarry

Maine-et-Loire, Fontevrault ( Fons Ebraldi ). 

 Nous avons ajouté à ce Corpus, suivant l’exemple de la  Gallia Christiana certaines des épitaphes des abbesses de Fontevrault . Bien que Fotnevrault soit situé plutôt en Anjou qu’en Poitou. L’annexion d’Aulna en Saintonge était plus ou moins justifiée car la frontière de la cité des Pictons a oscillé le long de la voie romaine de Rom à Mediolanum Santonum, et par la suite Aul-nay a été rattachée au diocèse de Poitiers. Mais, Fontevrault n’a jamais été rattaché en Gaule romaine à la cité des Pictons. Il relevait de la tribu des Andes. Il a fait partie plus tard de l’Anjou et ne relevait pas des comtes de Poitiers. Par contre, il dépendait bien du diocèse de Poitiers, ce qui nous oblige à le mentionner. Néanmoins la majorité des abbesses de Fontevrault, personnages ex-trêmement huppés et souvent de sang royal, ont eu l’honneur d’une épitaphe mentionnée dans le catalogus abbatissarum

. Pour ne pas donner à Fontevrault une place disproportionnée dans le Corpus d’une province dont il ne relevait pas (même pas sous l’Ancien Régime) nous ne mentionnerons que les épitaphes des huit premières abbesses

https://www.academia.edu/9887807/Corpus_de_inscriptions_latines_et_étrangères_du_Poitou_période_médiévale_987_1453_par_Jacques_Jarry?email_work_card=abstract-read-more

1. Petronilla de Chemillé.

Le huitième jour avant les Calendes de mai a quitté ce monde dame Pétronille, de pieuse mémoire, religieuse vénérable, notre mère incomparable et irremplaçable, qui a été nommée comme pre-mière abbesse par notre patron le maître Robert

2. Mathildis d’Anjou, Fulconis V, comitis Andegavensis, Hierosolymorum postea regis.

 De ejus obitu ita martyrologium Fontebraldense 

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Le vin du château d’Eternes( 86120). Le clos préféré des Abbesses de Fontevraud.

Un château de conte de fée

Il était une fois un château fort…

Idéalement situé aux confins du Poitou, de l’Anjou et de la Touraine, une situation stratégique par excellence, le château d’Éternes est bâti sur un ancien Château fort du IXème siècle.

photo 2

Cité par le Roi Eudes et le Roi Louis IV d’Outre-Mer dans leurs diplômes respectifs du 30 décembre 889 et du  5 janvier 942, Éternes est la propriété aux IXè et Xè siècle des chanoines de l’église de Saint-Hilaire.

Les siècles passent, les actes de propriété aussi… En 1379, il est fait mention du Prieur de St Ladre (autre nom du prieuré de St Lazare de Fontevraud), Éternes est ainsi une dépendance du Prieuré de Saint Ladre et verse la dîme à Fontevraud.

Clos préféré des abbesses de Fontevraud

Créée en 1101 par Robert d’Arbrissel, l‘abbaye de Fontevraud, d’inspiration bénédictine, est l’une des plus grandes cités monastiques d’Europe.

Au Moyen-Age, le vin est un élément clé du quotidien, chaque habitant en consomme environ 3 litres par jour.
L’abbaye, situés non loin du Château d’Éternes, dispose de plus de 8000 hectares rattachés au château, permettant d’obtenir 4 hectolitres de vin blanc par hectare. La petite histoire dit que l’abbesse pouvait aller de Fontevraud à Loudun sans quitter ses terres (+de 20km)

Éternes reste le « clos préféré » des abbesses, si bien qu’un des moments solennels de l’année est la remise des premiers sarments de vigne, tout un symbole.

À cette époque, il n’y a pas de seigneur d’Éternes. Le domaine est mis en location par l’abbaye à des fermiers et les baux durent 5, 7 ou 9 ans. Dans ces baux, l’abbaye décrit tout ce qui doit être fait par le locataire : de l’entretien des fossés aux pratiques culturales et à la plantation des céréales. On apprend que les vignes d’Eternes, contrairement à la coutume, étaient faites à « long bois » et que la taille nécessitait l’embauche de journaliers (mais pas trop, l’abbaye veillait aux dépenses superflues). Ce sont les moines de St Jean de l’Habit qui se chargent de l’administration des domaines. Un logement à été construit en 1635 pour les héberger, notamment ceux « commis aux comptes et aux réparations ». 

La Révolution marque un tournant dans l’histoire du domaine

En 1790, l’inventaire d’Éternes mentionne : un logement de maître, celui du fermier et du métayer, le logement de 1635 pour les moines, une cour, un jardin, une cave, 37 arpents de vignes, un pressoir, un colombier. Le domaine fait 510 hectares à cette époque.

La Révolution donne naissance à une légende d’Éternes : les religieuses de Fontevraud (contrairement aux moines) refusent de se soumettre aux révolutionnaires et ce jusqu’en 1792 ! Aucune d’elles ne prononce le « serment civique », sauf une. Cette dernière obtient la permission de quitter l’abbaye. La légende dit qu’elle se serait donc sauvée avec une partie du trésor de Fontevraud, qu’elle aurait caché à Éternes… pour l’instant, il n’a jamais été retrouvé

Vendu comme d’autres monuments, le château est racheté en 1881 par le Colonel Charles Léonce Delavau (1827-1889), maire de Saix de 1884 à 1889.  Il réalise des travaux dans le style « néo-renaissance ». Lors de son décès, le château revient à son aîné Guy (1889-1899), puis à son frère, le général Gaston Delavau (1864-1951), maire de Saix de 1935 à 1945.

Pendant la deuxième moitié du XXème siècle, le château change de propriétaire régulièrement, jusqu’en juillet 1992, où il est acheté par Robert Marteling, qui s’investit dans la restauration de l’édifice et surtout la reconstitution du vignoble autrefois disparu.

Le temps des projets oenotouristiques

Robert Marteling était certainement prédestiné à cette vie de château !

Ce n’est pas son aïeul qui dirait le contraire : un noble chevalier, originaire de Marteling dans le Luxembourg, parti en croisade en Blason1099 avec Godefroy le Bouillon.

En 1992, le rêve devient réalité, avec ce coup de cœur pour le château d’Éternes. Il y séjourne depuis 2009, tout en continuant de gérer sa société spécialisée dans l’événementiel et l’agencement intérieur.

 

Faire vivre son château : tel est son crédo !

Éternes est un lieu magique propice aux soirées d’exception.
Alliance du charme, du patrimoine, de l’insolite, Éternes est un décor parfait pour les séminaires, les mariages, les soirées événementielles, avec entre autres deux salles toutes équipées de 220 et 100 personnes à disposition : Si vous êtes intéressé par la privatisation de salles du château nous vous invitons à prendre contacte directement avec le châtelain M. Marteling ! (si vous préférez le vin que la pierre alors contactez nous !)

Un vignoble de 35 hectaresphoto 3

Depuis 20 ans, Robert Marteling s’attelle à reconstituer son vignoble avec son équipe : investissement, plantation de vignes…
Aujourd’hui, pari réussi avec un vignoble qui a retrouvé son prestige d’antan et des cuvées puissantes et généreuses : Saumur blanc, Saumur rouge, Saumur Puy Notre Dame.

Découvrez nos vins sur ce site

Le chai, créé en 1999 a été décoré par l’artiste peintre hongrois Geza Szekelyi. Chaque cuve est numérotée (les Abbesses, la Chapelle, le Pigeonnier, le Clos des Aubreis, la Parcelle de la fuie, le Haut clos) et de magnifiques tableaux illustrent chaque saison.

http://www.chateau-d-eternes.com/le-domaine/notre-histoire/

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La galerie des portraits des 32 abbesses de Fontevrault, nobles, illustres et saintes devancière de Marie-Madeleine Gabrielle Adélaïde de Rochechouart de Mortemart .

Ainsi qu’il est dit dans l’article de ce blog au quel conduit le lien suivant : https://dictionnaireordremonastiquedefontevraud.wordpress.com/2014/04/30/g-gardelles-jean-baptiste-de/

G- Gardelles (Jean-Baptiste de) l’ermite.

Né en 1607 de Henri IV et de Jacqueline de Bueil,  Antoine de Bourbon, comte de Moret,  se retira de  bonne heure du monde. Il établit un ermitage à Gardelles, à proximité de l’abbaye d’Asnières (49700. Cizay-la-Madeleine) et non loin  de Fontevraud. Il prit alors le nom de frère Jean-Baptiste. Il ne sortait  jamais de sa retraite. Cependant, il fit  exception pour aller rendre  visite à Fontevraud et  ceci grâce à l’intervention de M. de Dreux, marquis de Brezé, porte-parole des religieuses. Jean-Baptiste fut reçu par l’Abbesse  Marie-Madeleine Gabrielle de Rochechouart-Mortemart  qui fit faire  la peinture  de la salle capitulaire les représentant  tous les deux.

Et voici maintenant quelques échos de cette visite telle que la relate la 6 éme livraison en date du Samedi 7 novembre 1840 de La Mode: revue des modes ;

https://books.google.fr/books?id=15qcDBIt2lEC&pg=PA159&lpg=PA159&dq=La+mode.+Revue+des+modes.+p%C3%A9tronille+mathilde&source=bl&ots=Wkwoc7SQSP&sig=5Cd2srA2y7eLw0oOR-4AgWY2l04&hl=en&sa=X&ved=2ahUKEwiItMGQ_8neAhUDixoKHcPeDvYQ6AEwCnoECAIQAQ#v=onepage&q=La%20mode.%20Revue%20des%20modes.%20p%C3%A9tronille%20mathilde&f=false

(P. 159) Pour parvenir au parloir de celle qui commandait à tant de volontés, il fallait parcourir dans toute sa longueur la galerie des portraits des 32 abbesses de Fontevrault, nobles, illustres et saintes devancière de Marie-Madeleine Gabrielle Adélaïde de Rochechouart de Mortemart .

Le premier de ces portraits était celui de Pétronille de Chemillé , contemporaine du bienheureux Robert d’Arbrissel, fondateur de l’ordre, qui lui avais remis la crosse du pouvoir abbatial comme la plus digne de commander aux hommes et aux femmes qui s’étaient faits ses disciples. Elle était morte en 1149

Le seconde montrait sous les voûtes du couvent un jeune front de 15 ans. front,qui avait préféré le voile de Récluse à la couronne de reine , celui de Mathilde d’Anjou fille de Foulques, roi de Jérusalem et comte d’Anjou. Ella avait épousé à 14 ans Guillaume ; fils de Henri I er, roi au d’Angleterre. A près le naufrage de la Blanche nef ( NDLRB. Le 25 novembre 1120) dans laquelle périt son mari et toute une foule de Princes, de princesses, de comtes et de chevaliers elle se retira à Fontevraud pour pleurer les morts et prier pour eux . Elle mourut en 1151.

(P. 169) Mathilde de Flandres…

Puis une autre Mathilde…

Marie de Champagne …

Après elle, Alix de Bourgogne

Alisson de Champagne

Adèle

Jeanne de Brenne

Isabeau d’Avoir

Aliènor de Bretagne

Alix ou Adelain de Ventadour

Aliènor de Parthenay

Marie d’Harcourt

Marguerite de Montmorency

Marie de Montmorency

Marie de Bretagne

Anne d’Orléans

Renée de Bourbon

Louise de Bourbon

Jeanne-Baptiste de Bourbon

Le dernier portrait de cette précieuse collection, celui qui était placé prés de la porte du parloir de l’Abbesse était celui de la titulaire vivante ; Sur la toile, au dessous des armoiries , était écrite la date de sa nomination, et tout à côté une place restait vide et attendait la date de sa mort.

 

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17 octobre 2015. FONTEVRAUD ET LES RÉFORMATEURS: QUELLE RÉFORME ?

Label CERF  ( Centre d’Etudes et de Recherches Fontevristes)

17 octobre 2015. FONTEVRAUD ET LES RÉFORMATEURS: QUELLE RÉFORME ?

Après avoir échangé avec Martin AURELL sur les origines de la puissance fontevriste, Michel MELOT s’attarde sur le rôle politique de l’Ordre de Fontevraud lors de la Réforme à la fin du 15e siècle, une période critique de l’histoire de France.

FONTEVRAUD / UNE EXCEPTION DANS L’HISTOIRE MONASTIQUE

Comment l’Ordre de Fontevraud, de petite envergure comparé aux autres, a-t-il survécu et conservé son indépendance pendant que beaucoup d’autres disparaissaient ? Son prestige et la position sociale de ses abbesses lui ont sans doute permis de jouer un rôle politique non négligeable du Moyen Âge à la Renaissance. Cependant, ni sa richesse, ni sa vocation à recueillir des femmes de haut rang ne lui sont spécifiques.

MICHEL MELOT / UN CYCLE DE CONFÉRENCES POUR COMPRENDRE

Michel MELOT propose un cycle de conférences consacrées à des périodes charnières de l’histoire de France où l’Ordre de Fontevraud joua un rôle politique important. Il sera notamment question de la Réforme et des guerres de religion ainsi que de la Contre-réforme, aux 16e et 17e siècles.

DEUXIÈME TABLE RONDE / FONTEVRAUD ET LES RÉFORMATEURS : QUELLE RÉFORME ?

Le 17 octobre, Kathleen WILSON-CHEVALIER, professeur à l’Université américaine de Paris, spécialiste des mouvements réformateurs à l’époque de Louis XII et de François 1er et Annalena MÜLLER, professeur à l’université de Bâle et auteure d’une thèse sur Fontevraud, répondent aux questions de Michel MELOT sur la place de Fontevraud dans la Réforme en France à la fin du 15e siècle.

http://www.fontevraud.fr/Planifier-sa-journee/Evenement/Fontevraud-et-les-reformateurs-quelle-Reforme

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Classé dans Abbesses de l'Ordre, Département 49 (a) , Abbaye royale de Fontevraud, Ordre monastique de Fontevraud en son ensemble

Un train de vie fort convenable pour « Mesdames », filles de Louis XV en l’abbaye royale de Fontevraud

Malgré les préoccupations parcimonieuses qui avaient, dit-on, inspiré au cardinal de Fleury, alors ministre, la résolution de faire élever, par les Bénédictines de Fontevrault, les petites princesses, dont le séjour à Versailles eût occasionné de plus grands frais en nécessitant un coûteux état de Maison, Mesdames de France ne laissaient cependant pas d’être fort convenablement traitées à l’abbaye.

Ainsi l’abbesse, la seconde madame de Mortemart, fille du maréchal duc de Vivonne, avait été créée duchesse par brevet personnel afin d’avoir ses entrées et son tabouret chez les princesses ; elle-même, et, après elle, ( NDLRB . L’Abbesse) madame de Montmorin Saint-Hérem, les servaient debout à table. Le monastère touchait de la Cour quinze mille livres de pension pour chacune de Mesdames, et chacune d’elles recevait deux mille livres comme argent de poche ; elles avaient à leur service dix femmes de chambre, un écuyer de bouche, un maître d’hôtel, douze gardes-du-corps payés extraordinairement dix sols par jour, un exempt, M. d’Autichamps, payé cinq livres par jour, un professeur de musique, M. de Caix, et un professeur de danse qui leur apprenait le Menuet couleur de rose, un piqueur de la petite écurie, deux carrosses et une voiture légère appelée gondole, avec cochers, postillons, palefreniers, valets de pied, trente-deux chevaux et quatre ânes harnachés pour les promenades… mais elles n’avaient pas de médecin !

P. 4 de l’ouvrage de Léon de la Brière ; Madame Louise de France Considerate lilia… quomodo crescunt. ( Math, VI, 28 ) D’après l’édition Victor Retaux, Paris, 1900

http://florilege_historique.perso.sfr.fr/livres/MADAME%20LOUISE%20DE%20FRANCE%20par%20L%E9on%20de%20la%20Bri%E8re.pdf

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-O- Oraison funèbre de MARIE-MADELEINE-GABRIELLE DE ROCHECHOUART-MORTEMART ( Notice du 16 /12/2011 refondue le 4 mars 2015)

Manuscrits de la bibliothèque interuniversitaire de la Sorbonne (Paris)

  • Manuscrits de la bibliothèque Victor-Cousin
  • MSVC 10-43 Documents historiques
  • MSVC 13  Notes sur Mme de Hautefort

Oraison  funèbre de Marie-Madeleine-Gabrielle de Rochechouart-Mortemart, abbesse de Fontevrault, rédigée sous la forme d’une lettre adressée par Sr Louise-Françoise de Rochechouart-Mortemart, grande prieure, aux religieuses de l’Ordre ; Fontevrault, 15 sept. 1704

  • Cote : MSVC 13 Notes sur Mme de Hautefort
  • Langue: Français
  • Auteur : Rochechouart-Mortemart  ( Louise-Françoise de)
  • Sujet : Rochechouart -Mortemart (  Marie-Madeleine-Gabrielle  de)

NDLRB.

  • A propos de l’auteur . Louise-Françoise de Rochechouart-Mortemart,  (1664- 1742) Grande Prieure, puis 33 éme Abbesse de l’Ordre de Fontevraud
  • A propos du sujet  . Marie-Madeleine-Gabrielle de Rochechouart-Mortemart (1645-1704) 32 éme Abbesse de l’Ordre de Fontevraud surnommée « la reine des Abbesses »
  • A propos de  Madame Marie  de Hautefort  (1616-1691) .http://www.calames.abes.fr/pub/#details?id=UNIC10432

NB.  Les abbesses Louise-Françoise de Rochechouart-Mortemart (et Louise-Claire de Montmorin) eurent à leur charge l’éducation des quatre  filles cadettes du roi  Louis XV à Fontevraud.

 

  

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-A-Mére Sophie-Julie Gondrand de Pardaillan d’Antin, 36 éme et derniére Abbesse (1765-1792) de l’Ordre de Fontevraud

 

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-A- Costume d’une abbesse de F ontevraud

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par | 26 novembre 2014 · 10:00

-B- 1695. Lorsque Bossuet recevait à sa « campagne » de Germigny (77910) la reine des Abbesses, Marie-Madeleine Gabrielle de Rochechouart-Mortemart

En 1695, Bossuet avait reçu à sa campagne ( Germigny l’évêque -77910-) Mme de Montespan,  retirée de la cour, et sa soeur  Marie-Madeleine Gabrielle Adélaïde de Rochechouart de Mortemart, 32 e   abbesse de Fontevrault.

Bulletin de la Société d’Archéologie , sciences  arts et lettres  du département de Seine –et-Marne . Dixième  volume 1894 P. 106

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5478166g/texteBrut

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-H- Pétronille de Chemillé, parmi les hautes figures féminines de la chrétienté médiévale.

D’Héloïse à Hildegarde  de Bingen on ne compte pas les hautes figures féminines de la chrétienté médiévale. Au XIIe siècle, la première abbesse de Fontevraud, Pétronille de Chemillé, nommée à vingt-deux ans, commande un monastère regroupant une communauté d’hommes et une communauté de femmes. Les moines ne se sont jamais plaints d’être dirigés par une femme…

La femme au Moyen Age et sous l’Ancien Régime 2

http://www.christ-roi.net/index.php/La_femme_au_Moyen_Age_et_sous_l%27Ancien_R%C3%A9gime_2

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