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La moutarde »fontevriste » de Lencloître de retour.

En mettant la main sur deux malles oubliées dans le grenier de son château de Saint-Bonnet à Sérigny, Alain Jomier ignorait qu’il allait réveiller quatre trésors, dont un pan du patrimoine culinaire du territoire, oublié depuis un siècle et demi: la moutarde de Lencloître. Aux côtés des cahiers de gestion de domaine agricole du château, des chroniques du greffier du juge de paix du canton, ainsi que des archives de la petite fille du général d’armée de Napoléon, Nicolas de Loverdo, un petit cahier manuscrit intitulé Mémoire sur nos moutardes (probablement écrit par cette dernière) est miraculeusement retrouvé. On y parle des moutardes de Bordeaux, Saint-Maixent, Issoudun, Poitiers, mais, surtout, de la moutarde de Lencloître, inventée derrière les hauts murs du couvent de la ville par les soeurs fontevristes, installées là depuis le 12 siècle.
À la fin du 13 siècle, une jeune soeur nommée Marcelle Aimée de James devient l’apothicaire du couvent. Ses connaissances botaniques lui permettent de préparer tisanes, onguents et potions à destination de sa congrégation. Elle va aussi perfectionner la recette de la moutarde du couvent et en faire une véritable « moutarde de santé bonne pour le corps et l’esprit ».

« Il n’y a pas d’équivalent »

Le 18 août 1792, après sept siècles de présence, les soeurs de Lencloître doivent quitter leur couvent et Aimée de James se voit contrainte de louer une chambre chez un marchand de la ville. Sans ressource, elle va troquer ses derniers mois de loyers contre les recettes de potions et préparations qu’elle détient. Sa recette de « moutarde de santé » en fait partie…
Le bailleur décide alors d’exploiter cette recette tout en la simplifiant. On passe ainsi de douze plantes aromatiques à six mais le goût et, surtout, le mode de fabrication demeure. « Il n’y a pas d’équivalent car, à la moutarde classique, on y ajoute un électuaire, sorte de sirop fait à partir de miel et autres plantes aromatiques », explique Alain Jomier.
Au milieu du 19 siècle, François Naudin, cordonnier, moutardier, chansonnier à ses heures et grand amateur de Béranger, reprend la fabrication de la moutarde de Lencloître. Il invente alors de multiples variantes aromatisées. Il sera le dernier moutardier de Lencloître. Ses recettes, miraculeusement retrouvées en 2019 dans les greniers du château de Saint-Bonnet, ont nécessité deux années de recherches et d’expérimentations pour retrouver les proportions, souvent absentes du manuscrit original. Le propriétaire du château a décidé de reprendre le flambeau en rééditant les sept recettes imaginées par François Naudin. Aujourd’hui parfaitement abouties, elles peuvent de nouveau retrouver les étals du commerce local. Comme jadis.

Dégustation-vente jusqu’au dimanche 24 avril: à Lencloître les samedi 16 et dimanche 17 avril et samedi 23 et dimanche 24 avril de 10h à 18h à la mairie (salle du 3 âge), à Sérigny les autres jours de la semaine de 10h à 18h à l’ancienne école publique de la Belle-Indienne. Mini-conférences de 30 minutes tous les jours à 14h sur le lieu de vente.

Contact: moutarde.de.lencloitre@ gmail.com

Cor.: Éric Mariault

https://www.lanouvellerepublique.fr/vienne/commune/serigny/la-moutarde-de-lencloitre-de-retour

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Une religieuse du prieuré ex fontevriste de Martigné-Briand dote la moutarde de Lencloître inventée par la Fontevriste martyre Marcelle-Aimée de James d’un pot de son invention.

Publié le 16/04/2022 à 06:26 | Mis à jour le 16/04/2022 à 06:26

Sœur Claire Cachia réalise les prototypes du pot de moutarde en poterie.
Sœur Claire Cachia réalise les prototypes du pot de moutarde en poterie.
© Photo NR

En cherchant un atelier de potier dans la région pour y mettre sa moutarde, Alain Jomier, a découvert l’atelier Saint-André, dépendant du monastère des sœurs bénédictines de Saint-Bathilde à Martigné-Briand (Maine-et-Loire). « Il est situé au 1, place Robert-d’Arbrissel. C’est le nom du fondateur de l’Ordre fontevriste et du couvent de Lencloître… C’était un signe ! », sourit Alain Jomier, devenu le moutardier de Sérigny.
Il poursuit : « J’ai rencontré sœur Claire Cachia, une personne incroyable débordant d’énergie puisque, en plus de sa vie spirituelle, elle est aussi altiste, spécialiste de la musique baroque, mais aussi professeure de théologie et, bien sûr, potière. Elle a tout de suite manifesté de l’intérêt pour le projet. »
Quelques semaines après leur première rencontre, les premiers prototypes du pot de moutarde, réalisés avec les techniques de tournage et d’émaillage identiques à celles utilisées au 19e siècle, sont arrivés. « Début juin, la moutarde de Lencloître sera donc aussi disponible dans son pot original », affirme le propriétaire du château de Saint-Bonnet, dans la commune de Sérigny.

Dégustations-ventes. On peut déguster les recettes créées par François Naudin, le dernier moutardier de Lencloître au 19e siècle. De nouvelles recettes de moutarde douce (aux fleurs d’hibiscus et gingembre ou encore aux pointes d’orties) sont à goûter. Dates de dégustations-ventes : ce samedi et de dimanche salle du 3e âge à la mairie de Lencloître ; de ce lundi au vendredi 22 avril dans l’ancienne école publique de la Belle-Indienne à Sérigny ; samedi 23 et dimanche 24 avril salle du 3e âge à la mairie de Lencloître.

Voir aussi : https://dictionnaireordremonastiquedefontevraud.wordpress.com/2022/08/06/la-recette-de-la-moutarde-de-lencloitre86140-temoignage-culinaire-post-mortem-dune-religieuse-fontevriste-du-lieu/

et encore :

-J- Marcelle-Aimée de James. Ascendance , Histoire et armoiries d’une martyre fontevriste https://wordpress.com/post/dictionnaireordremonastiquedefontevraud.wordpress.com/8637

https://www.centre-presse.fr/article-844366-la-moutarde-oubliee-miraculeusement-retrouvee.html

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La recette de la moutarde de Lencloître(86140). Témoignage culinaire post mortem d’une religieuse fontevriste du lieu.

Alain Jomier, propriétaire du château de Saint-Bonnet, a annoncé lors de la soirée « De cours en jardins » en août qu’il avait trouvé dans les archives du château deux malles. Avec trois trésors : des documents uniques. Les premiers relatent l’invasion de l’Algérie par le général Nicolas de Loverdo, les deuxièmes, la vie quotidienne de la ferme du château de 1840 à 1942 et les troisièmes sont culinaires. En l’occurrence, un mémoire sur les moutardes locales a été retrouvé. Il y a la moutarde de Parthenay, la violette, celle au moût de raisin, la moutarde de Bordeaux, d’Issoudun et celle de Lencloître, conçue à la fin du 18e siècle derrière les murs du couvent par une jeune sœur nommée Aimée de James.(Article dela Nouvelle République du Centre-Ouest ?- du printemps 2022)

Document communiqué par ma cousine Marie

Un mois plus tard, profitant du vide-greniers du comité des fêtes, à La Belle-Indienne, Alain Jomier a expliqué lors de deux micro-conférences, les origines et l’histoire fabuleuse de cette moutarde. Après avoir remercié le maire et le conseil pour la mise à disposition de la cuisine de l’ancienne école, dimanche après-midi, devant une trentaine de personnes, il a relaté l’histoire. « Il y avait 8 recettes, dont 7 aromatisées. J’ai puisé des infos dans les livres de Gwénael Murphy, historien de Châtellerault, qui vit à Nouméa. Parmi ses écrits, La santé des religieuses de Lencloître

Marcelle-Aimée de James de Longueville entre au couvent Fontevriste de Lencloître a 19 ans. Ses connaissances botaniques et en herboristerie lui permettent de préparer des onguents et des remèdes. Elle soigne les sœurs de sa congrégation. Elle imagine une moutarde de santé “ bonne pour le corps et l’esprit ” vers 1787, composée de graines, d’herbes et d’épices locales. Quand elles partent du couvent en 1792, elle loue une chambre au Docteur Lafond de Saint-Genest et lui donne ses recettes pour payer son logis. Il a créé la moutarde de Lencloître. »
Il a terminé son intervention par une annonce: « On a travaillé sur les ingrédients et mis au point trois recettes, une normale et deux aromatisées, qui sortiront en fin d’année!»

https://www.lanouvellerepublique.fr/vienne/commune/serigny/la-moutarde-de-lencloitre-recette-oubliee

et aussi : https://www.centre-presse.fr/article-844366-la-moutarde-oubliee-miraculeusement-retrouvee.html

Se documenter sur la religieuse fontevriste Marcelle-Aimée de James , martyre de la révolution. (1754- Guillotinée pour sa Foi le 18 mars 1794)

https://dictionnaireordremonastiquedefontevraud.wordpress.com/tag/james-marcelle-aimee-de/

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Organigramme de la hiérarchie des Fontevristes du prieuré de Lencloître en 1790.

 

Aimée de James, religieuse de Lencloître (1755-1794), Gwenael Murphy

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Le dernier ouvrage de Claude Thébault sur une religieuse fontevriste est-il crédible ou non?

    Ma surprise fut grande lorsque j’ai découvert dans ma veille  sur l’ordre monastique de Fontevraud l’ouvrage suivant dont l’illustration ne me parait pas  complêtement  être en adéquation avec la  vie  – et la mort sur l’échafaud- d’une moniale de choeur du Prieuré fontevriste de Lencloître-en-Gironde (86140)

   Pour faire bonne mesure , ajoutons  que la particule ( de James)  ne  s’écrit jamais avec une majuscule.

https://dictionnaireordremonastiquedefontevraud.wordpress.com/tag/james-marcelle-aimee-de/

https://www.7switch.com/fr/ebook/9772901149058/histoire-de-marcelle-aimee-de-james

https://www.7switch.com/fr/ebook/9772901149058/histoire-de-marcelle-aimee-de-james

Histoire de Marcelle Aimée de James — Ebook

guillotinée à Paris le 18 mars 1794

Marcelle Aimée de James, dont la marraine se nommait Marcelle Aimée de Nollet, fut appelée à 17 ans, contre sa volonté, à remplacer une parente défunte agée de 70 ans dans une religion de filles. Elle quittait le monde, sur ordre paternel, pour s’enfermer vivante avec 20 autres recluses comme elle dans un couvent royal du Poitou.

Découvrant l’insomnie, traitée avec des pilules d’opium et des bols de tisane de valériane, afin de prendre du repos par nécessité.

Pendant un séjour imposé de 20 années elle entretenait une relation avec sa soeur madame de Chamborand, une riche veuve noble, et sa nièce délurée de 17 ans Louise Silvine. Sans se douter un seul instant du mépris de ces deux femmes à son encontre.

Lorsqu’elle fut expulsée de sa communauté, par la République, personne n’acceptait de la recevoir, ni sa soeur, ni sa nièce,ni non plus son frère.Son père étant décédé.

Elle s’installa d’autorité au Logis familial de Saint Vincent de Vitrac en Charente, comme occupante du château. En ignorant la précarité de sa situation, menacée par les délations de sa soeur, au Comité de Surveillance de Confolens pour activité contre révolutionnaire

C’est ainsi, que Marcelle Aimée de James se retrouva devant le tribunal révolutionnaire, prévenue de conspiration contre la République, pour aide et assistance à ses ennemis.Alors qu’elle avait prêté serment d’être fidèle à la Nation.

Contre elle étaient produit une dizaine de lettres adressées à sa nièce effrontée, dans lesquelles il lui était reproché de verser le poison de la religion. Des documents non portés à sa connaissance à l’audience de sa condamnation à mort.

Des documents déclarés plusieurs mois après, avec mépris, par sa nièce sous le qualificatif « de lettres laissées sans réponse ».

Voila en résumé la première partie de la Saga de James. L’histoire attachante de Marcelle Aimée sacrifiée par la vanité et la corruption de sa soeur.

 

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-J- Marcelle-Aimée de James. Ascendance , Histoire et armoiries d’une martyre fontevristre

Religieuse fontevriste du Choeur du Prieuré de Lencloître-en-Gironde (86140) Marcelle Aimée de James était née le 5 octobre 1754 à Vitrac Saint-Vincent (16310) (Saint-Vincent de La Rochefoucauld en Charente).

lElle prit le voile e 18 février 1772, et fit profession le 27 avril 1773.

Elle était la fille de Jean de James de Longeville (Angoulème) chevalier de la l’ordre militaire de St Louis, brigadier des gardes du corps du Roi, porte étendard de la compagnie de Villeroy

Devant la fermeture de son couvent par la Révolution Marcelle-Aimée rentra dans sa famille à Vitrac. Qulques temps plus tard, accusée de correspondance contre-révolutionnaire, elles fut emmenée à Paris et emprisonnée à la Conciergerie. Condamnée à mort par le tribunal révolutionaire, elle fut guiillotinée le 18 mars 1794 place de la Révolution à quatre heures de relevé.

On imagina la religieuse au cimetière de la Madeleine à Paris. (actuel square Louis XVI, abritant la chapelle expiatoire).

La famille de Marcelle-Aimée de James Famille est d’origine noble, que l’on dit d’origine irlandaise, et qui serait venue se fixer en France sous le règne de Louis XI. Il existe cependant des personnes de ce nom en Poitou, dès 1350. Cette famille vécut d’abord en Bourbonnais, puis vint s’établir en Poitou, dans la partie qui forme actuellement le nord de la Charente.

james

D’or au dauphin de gueules, couché et pâmé
(M. de La Porte).
De gueules au dauphin d’or, couché
(Nouveau d’Hozier).

Origine des armoiries : jm.ouvrard.pagesperso-orange.fr/armor/fami/j/de_james.htm

 

 

Armoiries :

D’or au dauphin de gueules, couché et pâmé
(M. de La Porte).
De gueules au dauphin d’or, couché
(Nouveau d’Hozier).
Devise : « J’ayme qui m’ayme Gwénael Murphy

19 sept. 2010 – Le voile et la guillotine. Aimée de James, religieuse de Lencloître (1755-1794). », Revue d’Histoire du Pays Châtelleraudais n°3, 1er sem.2002 .

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-L- PRIEURE FONTEVRISTE DE LENCLOITRE (86140). Pour les religieuses expulsées de leur cloître; le supplice parfois, la dépression, la misère…le déracinement toujours..

9e enfant  née  du mariage   Jean de JAMES Jean, chevalier, seigneur de Longeville (Esse – Charente) et de Marie-Elisabeth de Volvire

Marcelle-Aimée, née à Saint-Vincent de La Rochefoucauld le 4 octobre 1754. Elle prit le voile pour être religieuse de choeur de la communauté de Lencloître, ordre de Fontevrault, le 18 février 1772, et fit profession le 27 avril 1773. Elle fut guillotinée à Paris le Ier mars 1793.                                                                                                      http://jm.ouvrard.pagesperso-orange.fr/armor/fami/j/de_james.htm

L’évacuation du prieuré de La Cloistre                                                                                                                                       Dans sa lettre du 20 août 1792, Marcelle Aimée raconte que le district de Châtellerault vint prévenir avec égard les dames religieuses qu’elles devaient quitter le prieuré avant le 2 octobre. La loi ayant autorisé les religieuses et religieux à partir avec leurs effets personnel, ainsi qu’avec le mobilier de leur cellule, les conditions de déménagement et d’installation posèrent de nombreux problèmes, notamment aux religieuses ayant des parents éloignés et âgés, en période d’insécurité sur les routes. Les soeurs de La Cloistre étaient pour certaines originaires de Saintes, du Berry, ou d’Angoulême. D’autres avaient leurs parents émigrés et se retrouvaient seules et sans aide. Certaines n’avaient plus du tout de parents vivants. Certaines religieuses pouvaient cumuler plusieurs difficultés : éloignement, absence de parent, émigration. Le dernier handicap étant enfin l’âge. Sur 20 religieuses que comptait la communauté, onze d’entre elles étaient âgées de plus de 45 ans et, la plus jeune avait 33 ans. Selon le témoignage de Marcelle Aimée, certaines religieuses laissèrent leur mobilier en dépôt chez un homme de confiance, dans le bourg proche du prieuré. Les archives de l’évêché indiquent que des religieuses, n’ayant pu recevoir d’aide de leur parents, partirent en voiture s’installer à Poitiers. Quelques unes enfin sont mortes de dépression, Louise Raguit âgé de 34 ans à l’hôpital de Châtellerault, et Marie Radegonde Bourbeau âgée de 62 ans à Poitiers.

http://www.dejames.net/                                                                                                                                                               Selectionnez ensuite dans le  bandeau  de  titre  la  rubrique « Marcelle Aîmée » puis  la sous-rubrique nommée « l’engagement religieux »  . Le texte reproduit partiellement  ci-dessus y occupe le second paragraphe.


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-M- LES MARTYRS DE LA REVOLUTION DE L’ORDRE DE FONTEVRAUD

JAMES (de) Marcelle Aimée, religieuse fontevriste  née en 1754 du prieuré de Lencloître-en -Gironde (Vienne) transportée à Paris, soupçonnée de trahison, condamnée à mort par le tribunal révolutionnaire le 28 ventôse an II (18 mars 1794) et guillotinée le même jour

OUVRARD de MONTIGNY de MAZE Marie-Eléonore et  VANMINE Jeanne, religieuses Fontevristes, accusées de complots contre-révolutionnaires furent  guillotinées en janvier 1794.

GUILLON DU PLESSIS (Jean) Hilaire-François; Dernier Grand Prieur  du prieuré Saint Jean de l’Habit  de Fontevraud . Né le 11 mars 1743 à Mazé-en-Anjou.  Condamné à mort comme  compllce dans l’affaire d’Etienne Philippe Renard. Mort sur l’échafaud  le 8 octobre 1794 en compagnie d’Alexandre Guerrier, ex moine, ex curé de Fontevraud et  ex maire de la commune.

Dans la cave de la  maison  construite à l’emplacement de l’ancien couvent de Montaigu (Vendée) , il existait un puits aujourd’hui muré, où, le 30 septembre 1793, fut jeté notamment  le cadavre de  Mathurin FEUVRE, aumônier  des religieuses  fontevristes de Montaigu . Quelques années plus tard, le maçon Poullain fut chargé d’en retirer leurs ossements.

Origine.

Jean de  l’Habit

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Classé dans Département 49 (a) , Abbaye royale de Fontevraud, Département 49 (b) , Commune de Fontevraud-L’Abbaye excepté l' abbaye, Département 85, Département 86