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Voir : https://www.fontevraud.fr/abbaye-royale/histoire-fontevraud/
Voir : https://criminocorpus.org/fr/expositions/anciennes/prisons/la-maison-centrale-de-fontevraud/
https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/plutot-partir-au-bagne-que-de-crever-fontevraud-2745897
Après sa fermeture en 1963, la Maison centrale a été prise en charge par le service des Monuments Historiques. Une soixantaine de détenus ont terminé leur peine en participant à la restauration du monument. En 1975, le Centre Culturel de l’Ouest a été créé et les derniers détenus ont quitté le centre de détention en 1985.
https://francearchives.gouv.fr/findingaid/1caf3345cc65fd615547d7a4f270250f65c09dfe
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La photo a été prise lors d’une visite de l’APF dans ce qui est de facto le dernier prieuré fontevriste subsistant.
Merci à Joëlle Gautier-Ernoul qui a bien voulu nous faire parvenir cet émouvant document.
Découvrez mon site prieuresfontevristes.fr
le Président Chombart de Lauwe est en haut au milieu de la photo avec une cravate rouge. Son épouse est à sa gauche.
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Merci à Joelle Ernoul qui nous a transmis cette photo respectivement trés émouvante. Le président Chombart de Lauwe est au milieu en haut de l’image avec une cravate rouge. A sa gauche est placée son épouse.
Site de Joelle Ernoul https://prieuresfontevristes.fr/
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« L’église s’était écroulée au début des années 1800« , explique Agnès Chombart de Lauwe. « C’était complètement en ruine, il n’y avait plus rien. Des arbres avaient poussé, il y avait des mauvaises herbes… Il ne restait que les quatre murs de la structure, qui se détérioraient chaque hiver à cause du gel. Nous nous sommes dit, avec mon mari : si nous ne faisons rien, ce sera perdu pour l’éternité. » En 2006, le couple fait donc appel aux services de la DRAC (direction régionale des affaires culturelles) pour déblayer et estimer la valeur des ruines. Car sous les gravats, se cachent plusieurs colonnes qui composaient auparavant la structure de l’église. « Les experts de la DRAC sont venus à deux ou trois et nous on dit : on n’a jamais vu autant de chapiteaux inconnus, c’est absolument incroyable, c’est une caverne d’Ali Baba. On va vous aider à restaurer« , se rappelle Agnès Chombart de Lauwe.
Les travaux commencent alors, co-financés en partie par la DRAC et le Conseil départemental. Mais ils sont surtout le fruit d’un lourd investissement personnel, raconte la propriétaire : « Nous financions le reste des travaux, et de toutes façons, il fallait avancer le prix. C’est vraiment un gros « fil à la patte » et beaucoup d’abnégation que de se lancer dans une telle entreprise. Il ne faut pas croire que ça se fait comme ça, en claquant des doigts. Et les travaux ont duré sept ans. » Le prieuré retrouve sa splendeur d’antan en 2014. Depuis, les propriétaires s’engagent à l’ouvrir à la visite quarante jours par an, afin de continuer à percevoir les aides des pouvoirs publics.
Agnés et François Chombart de Lauwr devant une des oeuvres de leur vie. Le pieuré de Longefont.
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Venant à l’Abbaye royale de Fontevraud Vous aurez également l’occasion de découvrir ou de redécouvrir la remarquable collection permanente du musée d’Art moderne, issue de la donation de Martine et Léon Cligman. L’originalité du musée et la qualité de son parcours lui a permis d’obtenir sa première étoile dans l’édition 2022 du Guide Vert Châteaux de la Loire, Pays de la Loire, un an seulement après son ouverture.
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Associée à une liturgie processionnelle, la petite chapelle Notre-Dame-de-Pitié est construite en 1579 à l’écart du village par les officiers de l’abbaye qui rendaient ainsi grâce à la Vierge de les avoir protégés d’une épidémie qui menaçait d’autant plus le village qu’elle survenait juste après une période de famine. Il est vraisemblable que l’abbesse Éléonore de Bourbon ait participé au financement de la chapelle, car un acte émanant de l’abbaye ordonne à cette date l’achèvement des travaux de maçonnerie et la couverture de la chapelle.
Elle est placée sous le vocable de Notre-Dame-de-Pitié, dévotion dont la fête avait été instituée dans l’ordre de Fontevraud dès 1519 sous l’abbatiat de Renée de Bourbon.
Sous l’Ancien Régime, la chapelle est administrée par la fabrique de l’église paroissiale.
À la suite de la Révolution française, elle est acquise par les propriétaires de la maison voisine (actuellement 56, rue de l’Hermitage), qui possèdent alors plusieurs parcelles environnantes.
En 1822, le prêtre de Fontevraud demande au Bureau préfectoral d’administration communale l’octroi à sa commune d’une aide financière afin de racheter la chapelle pour le compte de la fabrique paroissiale. Les autorités préfectorales refusent en 1825, justifiant ce rejet par le fait que le fonds alloué aux églises et presbytères est exclusivement affecté aux constructions ou réparations de tels édifices, et non aux acquisitions.
Vers 1859, la propriété de la chapelle passe finalement à la Commune et dès 1860 les archives de la fabrique mentionnent que des messes y sont à nouveau célébrées.
Pour avoir été épargnés par l’invasion prussienne lors de la guerre de 1870-1871, les villageois la font restaurer en 1871-1872 : elle est prolongée d’une sacristie et le décor intérieur est repris. Ces travaux furent financés par des dons et sur les propres fonds de la fabrique paroissiale. Plusieurs inscriptions latines disséminées dans la chapelle évoquent les travaux de restauration et de décoration alors réalisés. L’une d’elles mentionne que cette restauration s’est faite sous le ministère de Charles Chevalier (curé de Saint-Michel de Fontevraud de 1864 à 1874) et que les peintures ont été réalisées par des prisonniers grâce au concours du directeur de la Maison centrale de détention, Pierre-Émile Olivier (directeur de 1871 à 1873).
Cette chapelle et son mobilier furent classés parmi les monuments historiques par arrêté du 8 septembre 1965, dans le contexte de la protection des bâtiments et sites en lien avec l’abbaye de Fontevraud, après la décision de fermeture de la prison.
La chapelle fait l’objet de nouvelles restaurations en 1974 (travaux de couverture et réfection du berceau lambrissé (plâtre et peinture), puis à nouveau en 1999-2000 (mise hors d’eau et reprise des murs).
À la suite de vols survenus en 2003, les éléments notables subsistants du décor intérieur ont été déposés et mis en sécurité hors de la chapelle.
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