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Lorsque le Procureur général du roi se proccupait du décor extérieur d’une église fontevriste ( Mars 1648), celle des Filles-Dieu de Paris.

Il s’agit de l’église du Monastère des Filles-Dieu de Paris. Un certain nombre de personnes ayant été condamnées par contumace , c’est à dire sans être présent, pour avoir tenté d’enlever de son couvent Damoiselle Suzane de Ripary un  » arrêt de la Cour de Parlement  » de Paris ordonna en plus  » de faire élever devant la dite Eglise une Croix, au milieu de laquelle y aura une table d’airain portant la teneur du présent Arret pour servir de mémoire à l’avenir »

Bulletin de l’Association des Prieurés fontevristes (A.P.F.) N° 5 . décembre 2015 p.54.

Et aussi

Les Filles-Dieu s’établirent donc 241 rue Saint-Denis, 75002 Paris, France et elles remplirent pendant long-temps avec exactitude les devoirs que leur imposaient les statuts de Jean de Meulant; mais le relâchement s’introduisit en suite peu à peu dans la communauté. Les religieuses ne servirent plus elles-mêmes les pauvres et abandonnèrent ce soin à des sœurs converses; elles laissèrent tomber en ruine les bâtiments du couvent, ne chantèrent plus l’office, et reçurent parmi elles force vieilles femmes de mauvaise vie que l’âge et la nécessité forçaient de quitter le vice. Enfin, en 1483, il ne restait plus que deux ou trois religieuses et quatre ou cinq converses, qui ne songeaient pas même à faire les lits de l’hôpital. Plainte en fut portée à Charles VIII, qui, par ordonnance datée d’Amboise, le 27 décembre 1483, accorda l’hôpital des Filles-Dieu aux religieuses de l’ordre de Fontevrault, dont Anne d’Orléans, sa cousine, était alors abbesse; mais cette ordonnance ne put être mise sur-le-champ à exécution : l’évêque de Paris se voyait ainsi dépouillé de tous ses droits sur la maison des Filles-Dieu, et il s’y opposa pendant onze ans. Enfin, le 13 avril 1494, Jean-Simon de Champigny, alors évêque, consentit au changement prescrit par l’ordonnance de Charles VIII, mais à condition que la nouvelle communauté ferait tous les ans un service pour lui et pour le roi Charles, qu’elle célébrerait la fête de saint-Louis, et que l’évêque de Paris conserverait le droit de surveiller l’administration du couvent. En conséquence, huit religieux et sept religieuses de l’ordre de Fontevrault, sortis du monastère de la Madeleine, près d’Orléans, et de celui de Fontaine, près de Meaux, furent installés, le 15 juin 1495, dans l’hôpital de la Madeleine, sous le nom de Filles-Dieu, avec quatre sœurs converses de l’ancienne communauté, Jacqueline de la Tour, Gillette Clisson, Louise Turgis et Jeanne Plionne.

Lorsque les religieuses de Fontevrault s’installèrent au couvent de la rue Saint-Denis, elles trouvèrent de nombreux bâtiments, mais qui, pour la plupart, tombaient en ruines. Elles y firent de grands travaux, et en 1496, le chapitre de Saint-Germain-l’Auxerrois leur permit de construire une nouvelle chapelle dans leur jardin, parce que l’ancienne étant située sur la rue, le service divin y était continuellement troublé. La même année, Charles VIII posa la première pierre de l’église, et permit aux religieuses de prendre dans la forêt de Crécy tout le bois de construction dont elles auraient besoin; cet édifice fut achevé en 1508 et consacré par Étienne Poncher, évêque de Paris. Enfin, vers 1581 ou 1582, l’évêque Pierre de Gondi réunit au couvent la chapelle de Sainte-Madeleine qu’avait érigée Jean de Meulant, à la condition d’y célébrer le service divin aux jours indiqués par le fondateur.

L’église des Filles-Dieu n’avait rien de remarquable; elle contenait le cœur de Catherine de Lorraine, femme de Louis de Bourbon, duc de Montpensier, morte en 1596; celui d’un enfant de Claude de Lorraine, duc d’Aumale, et le tombeau de Cantien Hue, visiteur de l’ordre de Fontevrault, dont Sauval rapporte l’épitaphe. Le maître-autel était décoré de quatre colonnes corinthiennes en marbre, exécutées sur les dessins de F. Mansard. Contre l’un des pitiers de la nef était une figure de J.-C. attaché à la colonne, qui attirait les curieux, et qui avait été, dit-on, envoyée d’Angleterre. Le Christ était assez mal dessiné; mais la corde qui l’attachait était sculptée avec tant d’art et de vérité que des cordiers eux-mêmes, disent les écrivains du temps, y ont été souvent trompés. Mais ce qui avait le plus de prix aux yeux de l’historien et de l’antiquaire, c’était un vieux crucifix de bois, placé sous un dais à l’extérieur du chevet de l’église. On conduisait devant ce crucifix, au moyen âge, les criminels qu’on allait exécuter à Montfaucon; ils le baisaient et recevaient de l’eau bénite. Les Filles Dieu leur apportaient ensuite trois morceaux de pain et un peu de vin : on appelait ce triste repas le dernier morceau du patient. « Jean de Semblançay, dit Sauval, fut conduit aux Filles-Dieu avant que d’être mené au lieu du supplice. »

Le couvent des Filles-Dieu a été détruit pendant la révolution; on a construit, en 1798, sur son emplacement, la rue et les passages du Caire. »

http://weekisto.fr/couvent-des-filles-dieu/

Source : J. de Gaulle, Nouvelle histoire de Paris et de ses environs, Ed P. M. Pourrat frères, 1839-1841, Paris.

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L’Abbesse aux trois dispenses pontificales : Marie-Madeleine Gabrielle de Rochechouart de Mortemart

Jeanne Reillac. Madeleine-Gabrielle  de Rochechouart de Mortemart, abesse de Fontevraud. 

Lemouzi . N° 190 (2 éme trimestre 2009 ) P. 20 à 24

« Entrée en 1664 à l’Abbaye aux  bois ( couvent situé à paris , rue de Sèvres,  démoli en 1907. couvent de l’ordre  de Saint Bernard) , elle reçut le voile , à la vue de toute la Cour , de la main de deux reines Anne et Marie-Thérèse d’Autriche

Puis le 18 août 1670; le roi la nomma Abbesse de Fontevraud. Mais pour celà, elle eut  besoin de trois dispenses  du Pape :

  • La première pour passer d’un ordre à un autre
  • La deuxième parce qu’elle n’avait pas encore  cinq ans de profession
  • La troisième  parce qu’elle n’avait  que vingt-quatre ans .

Mais les dispenses furent accordées  par le pape quelques jours  avant Noël 1670.

 

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Classé dans Abbesses de l'Ordre, Département 49 (a) , Abbaye royale de Fontevraud, Département 75

-J- Marcelle-Aimée de James. Ascendance , Histoire et armoiries d’une martyre fontevristre

Religieuse fontevriste du Choeur du Prieuré de Lencloître-en-Gironde (86140) Marcelle Aimée de James était née le 5 octobre 1754 à Vitrac Saint-Vincent (16310) (Saint-Vincent de La Rochefoucauld en Charente).

lElle prit le voile e 18 février 1772, et fit profession le 27 avril 1773.

Elle était la fille de Jean de James de Longeville (Angoulème) chevalier de la l’ordre militaire de St Louis, brigadier des gardes du corps du Roi, porte étendard de la compagnie de Villeroy

Devant la fermeture de son couvent par la Révolution Marcelle-Aimée rentra dans sa famille à Vitrac. Qulques temps plus tard, accusée de correspondance contre-révolutionnaire, elles fut emmenée à Paris et emprisonnée à la Conciergerie. Condamnée à mort par le tribunal révolutionaire, elle fut guiillotinée le 18 mars 1794 place de la Révolution à quatre heures de relevé.

On imagina la religieuse au cimetière de la Madeleine à Paris. (actuel square Louis XVI, abritant la chapelle expiatoire).

La famille de Marcelle-Aimée de James Famille est d’origine noble, que l’on dit d’origine irlandaise, et qui serait venue se fixer en France sous le règne de Louis XI. Il existe cependant des personnes de ce nom en Poitou, dès 1350. Cette famille vécut d’abord en Bourbonnais, puis vint s’établir en Poitou, dans la partie qui forme actuellement le nord de la Charente.

james

D’or au dauphin de gueules, couché et pâmé
(M. de La Porte).
De gueules au dauphin d’or, couché
(Nouveau d’Hozier).

Origine des armoiries : jm.ouvrard.pagesperso-orange.fr/armor/fami/j/de_james.htm

 

 

Armoiries :

D’or au dauphin de gueules, couché et pâmé
(M. de La Porte).
De gueules au dauphin d’or, couché
(Nouveau d’Hozier).
Devise : « J’ayme qui m’ayme Gwénael Murphy

19 sept. 2010 – Le voile et la guillotine. Aimée de James, religieuse de Lencloître (1755-1794). », Revue d’Histoire du Pays Châtelleraudais n°3, 1er sem.2002 .

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Classé dans Département 16, Département 75, Département 86

-L-Livre d’instruction pour religieuses novices et professes, par Jean Henry , Chantre de l’Eglise de Paris.

CALAMES. Catalogues en ligne  des archives et manuscrits de l’enseignement supérieur.

Manuscrits de la bibliothèque du château de Chantilly

Ms 1-215 THÉOLOGIE

Ms 118-186 SAINTS-PÈRES, THÉOLOGIENS, SERMONS, ETC

Livre d’instruction pour religieuses novices et professes, par Jean Henry

Cote : Ms 158

Date : XVe siècle

Langue : français

Description physique : Papier. 65 feuillets. 265 × 193 mm. Reliure veau marbré, aux armes de Bourbon-Condé.

Description :

Début : « A religieuse et devote fille en Jhesu Crist Marie Gastarde, novice en l’ordre de Fontevrault au couvent de Chaire-Dieu, Jehan Henry, chantre indigne de l’église de Paris, grace de bien preseverer en la saincte reformation… »

 

Imprimé par Jehan Petit, 1516, in-8o, car. goth

Provenance : Ce ms. figure sous le no 234 dans l’inventaire des ms. du connétable de Bourbon, dressé en 1523 à Moulins

Ancienne cote : Ms 659Auteur :     Henry, Jean (14..-14..)

Dédicataire :       Gastarde, Marie (14..-14..)

Propriétaire préc. :       Bourbon, Charles (1490-1527 ; duc de)

Propriétaire préc. :       Condé, Louis de Bourbon (1621-1686 ; prince de)

Propriétaire préc. :       Condé (famille de)

Œuvre :      Livre d’instruction pour religieuses novices et professes

Sujet :        Petit (Jean)

Sujet :        Condé (famille de) – Reliures aux armes

Sujet :        Reliures aux armes

Sujet :        Condé (Hôtel de), à Paris

Sujet :        Moulins (Château de) – Inventaire de la « librairie » du connétable de Bourbon

 

CALAMES. Catalogues en ligne  des archives et manuscrits de l’enseignement supérieur

 

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Classé dans Département 43, Département 75, Ordre monastique de Fontevraud en son ensemble

-C-Guillaume Chartier, Archevêque de Paris, délégué à la réforme de l’ordre de Fontevraud

L’évêque de Paris  pris part , le 3 mars 1460, au Concile de Sens ; Il figura  la même année  dans la commission  chargée  d’examiner le procès des vaudois.. Les 6 et 7 août 1461, il assista  aux obséque de  Charles VII.  Le 15 aoùut  suivant,  , il se trouvait à Reimsa u  sacre de Louis XI et il reçut solenellement  le nouveau roi à son entrée dans la cathédrle de Paris. Le 14 août 1461, Guillaume Chartier ordonna la célébration  annuelle  de la fête de sainte Geneviève ; en cette même année (1461) ,  il fût délégué, avec Thomas de Courcelles,  par le pape Pie II , à une assemblée faite à Tours pour procéder à la réforme de l’ordre de Fontevrault.

Recherches  sur  Guillaume, Alain  et Jean Chartier. Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie . mars 1871 p. 11

http://books.google.fr/books?id=raZUAAAAcAAJ&pg=PA11&lpg=PA11&dq=fontevrault+%22louis+XI%22+sacr%C3%A9&source=bl&ots=HssE0H5oj2&sig=K-tLIDdOwxfbp08U7oVylsY2gfc&hl=fr&sa=X&ei=0qcMU57sKsSe0QX1-4DADw&ved=0CEoQ6AEwBA#v=onepage&q=fontevrault%20%22louis%20XI%22%20sacr%C3%A9&f=false

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Classé dans Département 37, Département 49 (a) , Abbaye royale de Fontevraud, Département 75

-B-BENEDICTION DE MADAME DE MORTEMART* ; Abbesse de Frontevaux** faite aux Filles Dieu ( Prieuré fontevriste de Paris) en 1671

Bénédiction de Madame de  Mortemart ; Abbbesse de Frontevaux faite aux Filles Dieu en 1671 .

Le 8 de février, Madame de Frontevaux fut bénite par l’Archevêsque  de Rouen  nommé à l’ archevesque de Paris

La cérémonie étnt  escrite dans le  Cérémonial  ecclésiastique on se contentrera de marquer  quelques particularités touchant les personnes qui y assistèrent.

La reine voulant  voir la cérémonie, on fit pendre pour elle  un dais de velours violet à  fleurs delys d’or au dedans du chœur des religieuses où l’on  dressa une estrade sur laquelle on mit un prie-Dieu couvert de velour  violet de mseme parure que le dais . Sur cette estrade, on plaça le fauteuil de la  reine et  huit  sièges pliants ou se mirent Monsieur, les petites filles du Roi et les Princesses du sang ;

Monsieur seul   devait  avoir un siége pliant   mais cette action  étant  une cérémonie paericulière les Petites filles du roi et les prrincesses pouvaient aviur des sièges pliants  comme elles en ont au sermon  car ce haut dais  qui est la marque de   cérémonie n’avait été fait que pour marquer  d’avantage la place de la Reine,  afin que la Reine  vit mieux du chœur des Religieuses  où elle est la bénédiction qui  qui se faisait dans l’église.

On demanda au Sieur Sainctot si l’abbesse et l’archevesque de Rouen  devaient avoir un dais.  Il crut  qu’on ne devait leur en donner ni à l’un ni à l’autre parcequ’on suit en cela  l’usage des lieux où on se trouve et qu’à Paris,  les archevesques  n’ont jamais de dais  quand ils officient.

Les Archevêquerie les évêques assisterent aussi à la  cérémonie et ils prétendirent avoir des sièges à dossier . Il s’adressérent à Monsieur  qui les renvoya au Sieur Sainctot. . Le Sieur Sainctot leur dit que puisqu’aux pompes funèbres de l’archevêque de Paris ils n’avaient que des bancs à plus forte raison en présence de la reine,  ils ne pouvaient  pas espérer d’obtenir des sièges à dos.  Le cardinal de Bouillon se mit proche le prie-Dieu  de de la reine pour limiter la contestation que les évêques auraient formés sur la prétention qu’il a  d’avoir un siège séparé d’eux

Cérémonies du règne de Louis XIV, recueil formé, au moins en partie, d’après le Journal de Mr de SAINCTOT. (1666-1671 et 1682-1691) –1601

Manuscrit . P. 201.

* Marie-Magdeleine-Gabrielle de Mortemart de, abbesse de Fontevrault

http://gallica.bnf.fr/Search?ArianeWireIndex=index&p=1&lang=FR&q=fontevrault

** Lire Fontevrault ou avec l’orthographe actuelle  » Fontevraud »

 

 

 

 

 

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Classé dans Département 49 (a) , Abbaye royale de Fontevraud, Département 75

-T-Un des Testaments de saint Louis (1269) favorise entre autres l’ORDRE DE FONTEVRAULT

Saint Louis, (NDLRB.  Mort le 25 août  1270)  hâtait les préparatifs de la  (NDLRB. 8 éme et)  dernière croisade.  En 1269 il fit, à Paris, son testament. Les Frères Prêcheurs, les Franciscains, établis par lui, les diverses abbayes qu’il avait fondées, y furent, comrre de juste, le plus favorisées. Saint-Victor reçut 5o livres; l’abbaye de la Victoire, autant: 3oo livres devaient être partagées entre les abbayes françaises de l’Ordre de Saint-Augustin les plus besogneuses, au jugement des exécuteurs testamentaires. Les ordres de Cîteaux, de Prémontré, de Fontevrault, de Grandmont, du Carmel, les Ermites de Saint-Augustin, les Béguines, etc., bénéficiaient d’une disposition analogue.

http://archive.org/stream/histoiredelabbay01bonn/histoiredelabbay01bonn_djvu.txt

Voir aussi :

https://dictionnaireordremonastiquedefontevraud.wordpress.com/2011/09/06/l-louis-ix-saint-louis-accorde-par-testament-une-donation-a-labbaye-de-fontevraud/

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Classé dans Département 49 (a) , Abbaye royale de Fontevraud, Département 75

-D- LA DATAR rend hommage à Olivier GUICHARD, son fondateur, dont le BUSTE orne les JARDINS DE l’ABBAYE de FONTEVRAUD

Olivier Guichard,  homme politique français né le 27 juillet  1920  à Néac (Gironde) ,  mort le 20 janvier 2004   à Paris , fondateur  notamment  de la DATAR, aujourd’hui  Délégation interministérielle à l’aménagement du territoire et à l’attractivité régionale , DATAR  qu’il dirigea du 14 février 1963 au 23 octobre 1968.

Bibliographie                                                                                                                                                                                               Olivier Guichard, père  fondateur de la DATAR in Lettre « Territoires en mouvement » N° 11 p. 13

  Retrouvez la photo de ce  buste dans la mise en ligne ci-dessous :

L’ empreinte d’Olivier Guichard a profondément marqué l’histoire de la France et de la Région des Pays de la Loire. Jacques Auxiette , actuel –printemps 2013-président  du Conseil régional des pays de Loire) a  souhaité qu’un hommage lui soit rendu grâce à l’œuvre de Jean Cardot installée à l’abbaye royale de Fontevraud qu’il a contribué à sauver. 

https://dictionnaireordremonastiquedefontevraud.wordpress.com/2011/07/17/g-jacques-auxiette-rend-hommage-a-olivier-guichard-a-l’abbaye-royale-de-fontevraud/

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Classé dans Département 49 (a) , Abbaye royale de Fontevraud, Département 75

-V-Une des VICTOIRES de la MUSIQUE 2013 pour le groupe C2C (Clip musical tourné en l’abbaye royale de Fontevraud)

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http://ores.paysdelaloire.fr/770-spectacles-de-variete-frequentation-representations.htm

Le clip de C2C  tourné en l’abbatiale l’Abbaye royale de Fontevraud primé aux Victoires de la Musique le vendredi 8 février 2013 ( Zénith de Paris).

Les quatre DJ nantais de C2 ont raflē quatre Victoires de la musique 2013 vendredi soir. Ils ont empoché le trophée de la révélation scène de l’année, le trophée du public et le trophée du meilleur album de musique électronique, lors de la cérémonie au Zénith de Paris.

Le groupe a également décroché la Victoire du meilleur clip musical, pour FUYA, tourné en novembre 2011 à l’Abbaye de Fontevraud, dans le Saumurois en Maine-et-Loire. Une production « On And On Records » mixée par Thomas Le Vexier.

C2C (pour « coup de crosse ») est composé de 20Syl et Greem, deux membres du groupe de hip-hop Hocus Pocus, et de Pfel et Atom, qui forment à eux deux le duo de DJ Beat Torrent.

http://www.courrierdelouest.fr/actualite/le-clip-de-c2c-tourne-a-fontevraud-prime-aux-victoires-de-la-musique-08-02-2013-101254

http://www.abbayedefontevraud.com/creation/cinema-danimation/video-clip-fuya-de-c2c-tourne-a-fontevraud-prime-aux-victoires-de-la

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Classé dans Département 44, Département 49 (a) , Abbaye royale de Fontevraud, Département 75

-G- Une exposition sur le GRADUEL DE FONTEVRAUD avait été organisée à LIMOGES en mai 2001

Graduel026

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par | 8 décembre 2012 · 4:27